Le Fonds monétaire international (FMI) a défendu son rapport sur l'économie iranienne publié le 2 août dernier. En effet, le FMI est confronté depuis à une vague de propagande négative contre lui, initié par plusieurs médias occidentaux après la sortie de son dernier rapport sur l'économie iranienne.
Dans son rapport publié le 2 août, l'organisation internationale a estimé à 2.3%, le taux de la croissance économique de l'Iran, entre 2010-2011, et jugé positives les perspectives économiques du pays.
Reprenant le site d'information du "FMI", la délégation exécutive du Fonds a salué, dans la 4ème clause de son rapport sur l'économie de l'Iran, l'amélioration économique, la baisse du taux d'inflation et la hausse de la croissance économique et financière de l'Iran, entre 2010-2011.
La délégation a également rappelé que, compte tenu de l'augmentation des cours du brut et de la hausse de l'efficacité et de la compétence nationale, après l'application de la loi concernant les subsides ciblés, les perspectives à moyen terme de l'économie iranienne seront positives.
Le rapport du "FMI" avait aussi salué les efforts du gouvernement iranien, pour renforcer le secteur bancaire du pays.
A la suite de ce rapport, plusieurs médias occidentaux y compris le Wall Street Journal ont cherché à sous-entendre que le dernier rapport du FMI était basé sur les sources et statistiques officielles de la République Islamique d’Iran tandis que le rapport d’Avril, qui évoqué un taux de croissance économique de l'Iran de zéro se basait, lui, sur des informations fournies par des sources indépendantes.
Le quotidien a également tenté d'attaquer le rapport en essayant d’en tirer une conclusion négative.
En réponse aux allégations de cet article, la directrice adjointe du département Moyen-Orient et Asie centrale du FMI , Ratna Sahay, a publié une déclaration dans le même quotidien hier, soulignant que son organisation a utilisé ses propres chiffres et statistiques pour la rédaction du rapport.
Elle a déclaré que les projections rapportées par le FMI sur les perspectives économiques régionales en avril étaient des estimations de l'organisation basée sur des informations limitées.
Elle a précisé que deux facteurs clés ont contribué à réviser les chiffres de croissance vers le haut, d’une part les statistiques des experts du FMI recueillies lors d’une récente mission qui indiquait des performances exceptionnelles dans le domaine agricole au cours des deux dernières années et d’autre part l'impact positif des prix élevés du baril de pétrole sur une économie iranienne très diversifiée.
Cette responsable du FMI a en outre souligné dans son communiqué que comme dans n'importe quel pays membre, les prévisions du FMI restent indépendantes.
Le 4 août, le FMI a publié un rapport annonçant une accélération de la croissance économique de l'Iran et une réduction des subsides mis en place sans une forte inflation et l'amélioration des perspectives de gains supplémentaires.
Le rapport n’a pas plus aux pays et organismes qui ont adopté une politique particulièrement hostile vis-à-vis de l'Iran sur la scène internationale car elle prouve que les sanctions et les pressions économiques sur l'Iran ont été nulles et non avenues et cela en dépit de l’embargo imposé à l’Iran depuis l’avènement de la révolution islamique de l’Imam Khomeiny soit 1979.
Dans son rapport publié le 2 août, l'organisation internationale a estimé à 2.3%, le taux de la croissance économique de l'Iran, entre 2010-2011, et jugé positives les perspectives économiques du pays.
Reprenant le site d'information du "FMI", la délégation exécutive du Fonds a salué, dans la 4ème clause de son rapport sur l'économie de l'Iran, l'amélioration économique, la baisse du taux d'inflation et la hausse de la croissance économique et financière de l'Iran, entre 2010-2011.
La délégation a également rappelé que, compte tenu de l'augmentation des cours du brut et de la hausse de l'efficacité et de la compétence nationale, après l'application de la loi concernant les subsides ciblés, les perspectives à moyen terme de l'économie iranienne seront positives.
Le rapport du "FMI" avait aussi salué les efforts du gouvernement iranien, pour renforcer le secteur bancaire du pays.
A la suite de ce rapport, plusieurs médias occidentaux y compris le Wall Street Journal ont cherché à sous-entendre que le dernier rapport du FMI était basé sur les sources et statistiques officielles de la République Islamique d’Iran tandis que le rapport d’Avril, qui évoqué un taux de croissance économique de l'Iran de zéro se basait, lui, sur des informations fournies par des sources indépendantes.
Le quotidien a également tenté d'attaquer le rapport en essayant d’en tirer une conclusion négative.
En réponse aux allégations de cet article, la directrice adjointe du département Moyen-Orient et Asie centrale du FMI , Ratna Sahay, a publié une déclaration dans le même quotidien hier, soulignant que son organisation a utilisé ses propres chiffres et statistiques pour la rédaction du rapport.
Elle a déclaré que les projections rapportées par le FMI sur les perspectives économiques régionales en avril étaient des estimations de l'organisation basée sur des informations limitées.
Elle a précisé que deux facteurs clés ont contribué à réviser les chiffres de croissance vers le haut, d’une part les statistiques des experts du FMI recueillies lors d’une récente mission qui indiquait des performances exceptionnelles dans le domaine agricole au cours des deux dernières années et d’autre part l'impact positif des prix élevés du baril de pétrole sur une économie iranienne très diversifiée.
Cette responsable du FMI a en outre souligné dans son communiqué que comme dans n'importe quel pays membre, les prévisions du FMI restent indépendantes.
Le 4 août, le FMI a publié un rapport annonçant une accélération de la croissance économique de l'Iran et une réduction des subsides mis en place sans une forte inflation et l'amélioration des perspectives de gains supplémentaires.
Le rapport n’a pas plus aux pays et organismes qui ont adopté une politique particulièrement hostile vis-à-vis de l'Iran sur la scène internationale car elle prouve que les sanctions et les pressions économiques sur l'Iran ont été nulles et non avenues et cela en dépit de l’embargo imposé à l’Iran depuis l’avènement de la révolution islamique de l’Imam Khomeiny soit 1979.
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