L'Alliance atlantique a officiellement pris le commandement des opérations en Libye, a déclaré dimanche soir le secrétaire général de l'Otan, Anders Fogh Rasmussen à l'issue d'une réunion des ambassadeurs des pays membres du bloc.
"Les alliés de l'Otan ont décidé de prendre le commandement de l'ensemble de l'opération militaire en Libye en vertu de la résolution (1973) du Conseil de sécurité des Nations unies", a indiqué le secrétaire général.
Selon lui, "notre objectif est de protéger les civils et les zones peuplées de civils, menacés d'attaques de la part du régime du colonel Kadhafi".
C'est le général canadien Charles Bouchard qui a été nommé à la tête des opérations otaniennes en Libye.
Jusqu'à présent, la France était opposée au transfert de la direction des opérations à l'Otan. Paris proposait de créer une structure politique qui impliquerait les pays participant à l'opération ainsi que des représentants de la Ligue arabe et de l'Union africaine.
Jeudi, au bout de six jours d'intenses négociations, les pays membres de l'Alliance ont réussi à s'entendre sur la création de la zone d'interdiction aérienne en Libye. Selon ces ententes, les pays de l'Otan qui ne soutiennent pas les bombardements sont uniquement chargés du respect de la zone d'exclusion aérienne, tandis que les autres alliés effectueront des frappes aériennes.
"Les alliés de l'Otan ont décidé de prendre le commandement de l'ensemble de l'opération militaire en Libye en vertu de la résolution (1973) du Conseil de sécurité des Nations unies", a indiqué le secrétaire général.
Selon lui, "notre objectif est de protéger les civils et les zones peuplées de civils, menacés d'attaques de la part du régime du colonel Kadhafi".
C'est le général canadien Charles Bouchard qui a été nommé à la tête des opérations otaniennes en Libye.
Jusqu'à présent, la France était opposée au transfert de la direction des opérations à l'Otan. Paris proposait de créer une structure politique qui impliquerait les pays participant à l'opération ainsi que des représentants de la Ligue arabe et de l'Union africaine.
Jeudi, au bout de six jours d'intenses négociations, les pays membres de l'Alliance ont réussi à s'entendre sur la création de la zone d'interdiction aérienne en Libye. Selon ces ententes, les pays de l'Otan qui ne soutiennent pas les bombardements sont uniquement chargés du respect de la zone d'exclusion aérienne, tandis que les autres alliés effectueront des frappes aériennes.
Alter Info
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