Le ministère syrien de l'Intérieur a exhorté la population à ne pas prendre part à la manifestation prévue dimanche soir sur la place des Omeyyades, en plein centre de Damas.
Dans un communiqué diffusé par l'agence officielle syrienne Sana, le ministère a demandé aux citoyens syriens de ne pas répondre aux appels dont les auteurs "ne poursuivent que leurs propres intérêts".
Des appels à tenir une manifestation antigouvernementale sur la principale place de la capitale syrienne ont circulé par SMS.
Plus tôt dans la journée la conseillère du président syrien Bachar el-Assad, Boussaïna Chaabane, avait annoncé la décision d'abroger la loi d'urgence, en vigueur depuis 1963.
Une vague de contestation secoue la Syrie bien que les autorités se soient engagées jeudi à satisfaire les revendications du peuple. Ainsi, le pouvoir a annoncé le début des réformes politiques et économiques et a libéré samedi plus de 260 détenus politiques.
En près de dix jours d'émeutes, les affrontements entre la police et les manifestants ont fait plusieurs dizaines de victimes.
La déferlante de révoltes populaires qui s'est abattue ces derniers mois sur la région a déjà conduit à la chute du régime en Tunisie et en Egypte. Les troubles se poursuivent actuellement au Yémen.
Les manifestations anti-gouvernementales se sont tenues également en Algérie, en Irak, en Jordanie, au Maroc et en Oman. Les événements en Libye ont mené à une intervention militaire internationale.
Dans un communiqué diffusé par l'agence officielle syrienne Sana, le ministère a demandé aux citoyens syriens de ne pas répondre aux appels dont les auteurs "ne poursuivent que leurs propres intérêts".
Des appels à tenir une manifestation antigouvernementale sur la principale place de la capitale syrienne ont circulé par SMS.
Plus tôt dans la journée la conseillère du président syrien Bachar el-Assad, Boussaïna Chaabane, avait annoncé la décision d'abroger la loi d'urgence, en vigueur depuis 1963.
Une vague de contestation secoue la Syrie bien que les autorités se soient engagées jeudi à satisfaire les revendications du peuple. Ainsi, le pouvoir a annoncé le début des réformes politiques et économiques et a libéré samedi plus de 260 détenus politiques.
En près de dix jours d'émeutes, les affrontements entre la police et les manifestants ont fait plusieurs dizaines de victimes.
La déferlante de révoltes populaires qui s'est abattue ces derniers mois sur la région a déjà conduit à la chute du régime en Tunisie et en Egypte. Les troubles se poursuivent actuellement au Yémen.
Les manifestations anti-gouvernementales se sont tenues également en Algérie, en Irak, en Jordanie, au Maroc et en Oman. Les événements en Libye ont mené à une intervention militaire internationale.
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