L'émir du Koweït Sabah Al-Ahmad Al-Sabah n'envisage pas de dissoudre le parlement ou de demander la démission du premier ministre, pris dans une polémique politique, rapportent lundi les médias occidentaux.
L'opposition exige la démission du premier ministre Nasser Mohammad al-Ahmad Al-Sabah, l'accusant de détournement de fonds publics pour son usage personnel. L'émir estime toutefois que la démission du chef du gouvernement n'est pas de leur ressort.
"En vertu de la constitution, cela relève de ma compétence. Même s'il présente sa démission je ne l'accepterai pas. La dissolution du parlement et du gouvernement c'est aussi ma prérogative. Nous défendons la constitution tandis que l'opposition la déforme", a insisté l'émir lors d'une conférence de presse.
Dans la nuit du 16 au 17 novembre, un groupe de manifestants a pris d'assaut le parlement du Koweït.
Agé de 71 ans, Nasser Mohammad al-Ahmad Al-Sabah a été nommé premier ministre en 2006 et est resté en poste malgré plusieurs votes de défiance au parlement.
L'opposition exige la démission du premier ministre Nasser Mohammad al-Ahmad Al-Sabah, l'accusant de détournement de fonds publics pour son usage personnel. L'émir estime toutefois que la démission du chef du gouvernement n'est pas de leur ressort.
"En vertu de la constitution, cela relève de ma compétence. Même s'il présente sa démission je ne l'accepterai pas. La dissolution du parlement et du gouvernement c'est aussi ma prérogative. Nous défendons la constitution tandis que l'opposition la déforme", a insisté l'émir lors d'une conférence de presse.
Dans la nuit du 16 au 17 novembre, un groupe de manifestants a pris d'assaut le parlement du Koweït.
Agé de 71 ans, Nasser Mohammad al-Ahmad Al-Sabah a été nommé premier ministre en 2006 et est resté en poste malgré plusieurs votes de défiance au parlement.
Alter Info
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