La zone euro a décidé de se tourner, mardi soir, davantage vers le "FMI", pour l'aider à enrayer la crise de la dette. Cela après avoir réalisé qu'elle n'aurait pas, seule, les moyens de faire face, son Fonds de secours financier devant être doté d'une puissance de feu inférieure aux attentes.
La force de frappe de ce Fonds, le "FESF", n'atteindra "probablement pas" le montant de 1.000 milliards d'euros, initialement, prévu, fin octobre, a reconnu Jean-Claude Juncker, le chef de file des ministres des Finances de la zone euro, à l'issue d'une réunion, à Bruxelles. Les ministres ont retenu deux options, pour doper la puissance d'intervention de leur dispositif. La principale consiste en un mécanisme de garantie de remboursement, à hauteur de 20 à 30%, pour les investisseurs, qui accepteront de prêter de l'argent à des pays en difficulté. Mais personne ne sait plus très bien si le montage sera suffisant, pour inciter les banques et compagnies d'assurance à s'engager massivement. Il y a tout juste un mois, le dernier sommet des dirigeants européens avait fixé comme objectif un montant allant jusqu'à 1.000 milliards d'euros, dans l'espoir de rassurer les marchés financiers, sur la capacité de la zone euro de bâtir un pare-feu convaincant. Entre-temps, la tempête a gagné encore en vigueur, menaçant la France, voire, même l'Allemagne, et l'euro tout entier. Les taux d'emprunt de la troisième économie de la zone euro ont dépassé, nettement, le seuil de 7%, jugé insoutenable, à long terme, pour la péninsule très endettée, lors d'une émission obligataire très attendue.
La force de frappe de ce Fonds, le "FESF", n'atteindra "probablement pas" le montant de 1.000 milliards d'euros, initialement, prévu, fin octobre, a reconnu Jean-Claude Juncker, le chef de file des ministres des Finances de la zone euro, à l'issue d'une réunion, à Bruxelles. Les ministres ont retenu deux options, pour doper la puissance d'intervention de leur dispositif. La principale consiste en un mécanisme de garantie de remboursement, à hauteur de 20 à 30%, pour les investisseurs, qui accepteront de prêter de l'argent à des pays en difficulté. Mais personne ne sait plus très bien si le montage sera suffisant, pour inciter les banques et compagnies d'assurance à s'engager massivement. Il y a tout juste un mois, le dernier sommet des dirigeants européens avait fixé comme objectif un montant allant jusqu'à 1.000 milliards d'euros, dans l'espoir de rassurer les marchés financiers, sur la capacité de la zone euro de bâtir un pare-feu convaincant. Entre-temps, la tempête a gagné encore en vigueur, menaçant la France, voire, même l'Allemagne, et l'euro tout entier. Les taux d'emprunt de la troisième économie de la zone euro ont dépassé, nettement, le seuil de 7%, jugé insoutenable, à long terme, pour la péninsule très endettée, lors d'une émission obligataire très attendue.
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