Le parlement algérien a adopté, ce mardi, une loi, votée, par 287 députés sur 389, qui stipule : qu’il est interdit à toute personne «responsable de l’exploitation de la religion ayant conduit à la tragédie nationale, (les violences islamistes), de fonder un parti politique ou de participer à sa création» rapporte Cyberpresse.ca. Un texte, qui a pour objectif d’empêcher le "FIS" (Front islamiste du salut) de participer aux prochaines élections, en particulier, après les résultats favorable aux islamistes, en Tunisie, Maroc et Egypte. Désormais, un nouveau parti politique devra faire une demande au ministère de l’Intérieur, qui aura 60 jours, pour donner ou non, son autorisation. Une mesure contestée, par l’opposition, qui considère que le gouvernement pourra, ainsi, choisir ses adversaires.
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