BNP Paribas : le conseil d’administration vient de nommer président d’honneur Michel Pébereau, qui a quitté le même jour la présidence de la banque française, et désigné deux nouveaux DG délégués. Qui mettra un jour les projecteurs sur ce personnage qui est aujourd’hui l’un des responsables patents de la crise actuelle?
- La réponse de Valéry Giscard d’Estaing, ministre de l’Economie et des Finances en 1973, sur son blog est intéressante : on y apprend qu’il a réalisé « une réforme moderne », qu’ « il s’agissait à l’époque de constituer un véritable marché des titres à court, moyen et long terme, qu’il soit émis par une entité privée ou publique ». Il affirme qu’il est préférable de remplacer « une simple émission monétaire » (emprunter à sa propre banque centrale) par « un endettement visible et structuré » (auprès d’établissements privés). Sans quoi ce serait laisser la porte ouverte à « l’inflation des années 50 » !
- Georges Pompidou, président de la République au moment des faits, fut dans les années 50 et au début des années 60 (sauf interruption du 1er juin 1958 au 7 janvier 1959), directeur général de la banque M.M. Rothschild Frères (1956-1962) et administrateur des nombreuses sociétés du groupe Rothschild (Société anonyme de gérance et d’armement, 1954-1962 ; Compagnie du chemin de fer du Nord, 1955-1962 ; Société Rateau, 1957-1962 ; Compagnie franco-africaine de recherches pétrolières françaises). Il fut aussi président de la Société d’investissement du Nord et vice-président de la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans, de 1959 à 1962.
- Michel Pébereau était en 1973 le conseiller technique du ministre Giscard. Il participa à la privatisation du CCF et de la BNP, qu’il présida toutes les deux, ainsi qu’à la création de BNP Paribas. Il fait parti d’un certain nombre de conseils d’administrations (Total, Lafarge, Compagnie de Saint-Gobin, Laboratoires Pierre Fabre), du conseil de surveillance d’Axa. Il représente l’Etat à EADS. Il est président des deux cercles de réflexions (think tank): l’Institut de l’Entreprise et de l’Institut Aspen France. Il est aussi membre du club Le siècle. Son frère Georges fût impliqué dans « l’affaire de la Société Générale » (fin des années 80) dans laquelle un autre Georges, Soros de son état, fut condamné à payer 2,2 millions d’euros pour délit d’initié. En 2005, Michel Pébereau a présidé une commission sur la dette publique… (Source )
Comme tout devient clair… pour éclairer la situation actuelle.
Pourquoi l’Etat a-t-il abandonné en 1973, la possibilité de financer lui-même son déficit au profit d’établissements privés sous contrôle du CARTEL BANCAIRE ?
Battre la monnaie est un droit régalien, souverain, élémentaire. L’hypocrisie et l’absurdité du système actuel réside dans le fait que l’Etat possède la Banque de France mais n’utilise pas le pouvoir d’émission pour ses besoins –sous prétexte de risque inflationniste. Il préfère emprunter au secteur financier privé, qui lui aussi peut créer de la monnaie, générant aussi de l’inflation. La différence se trouve dans les intérêts payés à ces créanciers privés !- La réponse de Valéry Giscard d’Estaing, ministre de l’Economie et des Finances en 1973, sur son blog est intéressante : on y apprend qu’il a réalisé « une réforme moderne », qu’ « il s’agissait à l’époque de constituer un véritable marché des titres à court, moyen et long terme, qu’il soit émis par une entité privée ou publique ». Il affirme qu’il est préférable de remplacer « une simple émission monétaire » (emprunter à sa propre banque centrale) par « un endettement visible et structuré » (auprès d’établissements privés). Sans quoi ce serait laisser la porte ouverte à « l’inflation des années 50 » !
- Georges Pompidou, président de la République au moment des faits, fut dans les années 50 et au début des années 60 (sauf interruption du 1er juin 1958 au 7 janvier 1959), directeur général de la banque M.M. Rothschild Frères (1956-1962) et administrateur des nombreuses sociétés du groupe Rothschild (Société anonyme de gérance et d’armement, 1954-1962 ; Compagnie du chemin de fer du Nord, 1955-1962 ; Société Rateau, 1957-1962 ; Compagnie franco-africaine de recherches pétrolières françaises). Il fut aussi président de la Société d’investissement du Nord et vice-président de la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans, de 1959 à 1962.
- Michel Pébereau était en 1973 le conseiller technique du ministre Giscard. Il participa à la privatisation du CCF et de la BNP, qu’il présida toutes les deux, ainsi qu’à la création de BNP Paribas. Il fait parti d’un certain nombre de conseils d’administrations (Total, Lafarge, Compagnie de Saint-Gobin, Laboratoires Pierre Fabre), du conseil de surveillance d’Axa. Il représente l’Etat à EADS. Il est président des deux cercles de réflexions (think tank): l’Institut de l’Entreprise et de l’Institut Aspen France. Il est aussi membre du club Le siècle. Son frère Georges fût impliqué dans « l’affaire de la Société Générale » (fin des années 80) dans laquelle un autre Georges, Soros de son état, fut condamné à payer 2,2 millions d’euros pour délit d’initié. En 2005, Michel Pébereau a présidé une commission sur la dette publique… (Source )
Comme tout devient clair… pour éclairer la situation actuelle.
Ah ! Si les intérêts de la dette n’existaient pas ! Heureusement que les banquiers internationaux, pardon les MARCHES, ont des complices un peu partout pour faire avancer leur beau projet de Nouvel Ordre Mondial… Car vous savez bien que nous irons vers ce NOM (…de la Bête) et que personne ne pourra s’y opposer. Cela vous rappelle-t-il quelqu’un ?
LIESI
Alter Info
l'Information Alternative