Le Président français, Nicolas Sarkozy, s'est rendu, en Chine, après la fin du Sommet de Londres, et s'est entretenu, dans la nuit de mercredi à jeudi, à Pékin, avec Hu Jin Tao, son homologue chinois, des relations bilatérales et de la situation, au Moyen-Orient et dans le Nord de l'Afrique, notamment, en Libye.
Bien que Sarkozy ait déclaré que l'objectif de sa visite, en Chine, est de participer au Sommet du G-20, à Nankin, dans l'Est de ce pays, pourtant, de l'avis des observateurs, l'objectif de Sarkozy serait, semble-t-il, de rapprocher les points de vue des autorités chinoises avec ceux des pays occidentaux, dont l'Angleterre et la France, au sujet de l'attaque contre la Libye. Malgré le soutien des pays occidentaux à l'attaque contre la Libye, sous le commandement de l'OTAN, Pékin met l'accent sur le règlement diplomatique de la crise. Le Porte-parole de la diplomatie chinoise, Jian Yu, en évoquant l'opération militaire de la Coalition, sous le commandement de l'OTAN, contre la Libye, a souligné que la Chine s’opposait au recours à la force et qu’elle exige le règlement pacifique du conflit, en ajoutant: "Nous espérons que la communauté mondiale déploiera tous ses efforts, pour l'établissement d’un cessez-le-feu, afin d'empêcher l'aggravation de la situation et la survenance d'une tragédie humaine des plus graves". La diplomatie chinoise, tout en considérant, auparavant, comme humanitaire, l'objectif de la résolution anti-libyenne du Conseil de sécurité, avait souligné que l'action militaire risquait de déstabiliser la région et de créer une tragédie humaine encore plus grave. Les inquiétudes des pays occidentaux, dont la France, des réactions mondiales envers les attaques de la Coalition, sous le commandement de l'OTAN, a poussé les dirigeants de ces pays à expliquer leurs positions, auprès de l'opinion publique mondiale et des dirigeants des autres pays. Le discours d'Obama, justifiant l'action militaire de la Coalition, et les entretiens de Sarkozy avec son homologue chinois, à ce propos, peuvent s'inscrire dans ce même cadre. En fait, les divergences du G-20, au sujet des questions internationales, pourraient avoir des impacts négatifs sur leur coopération économique. De ce fait, Sarkozy tente, en Chine, de rapprocher les points de vue des Chinois avec ceux de la Coalition, concernant l'intervention en Libye. D'autre part, Pékin a été accusé, à maintes reprises, par les pays occidentaux, de violations des droits de l'Homme. C’est pourquoi, les Chinois s’inquiètent que l'approche adoptée, face à la Libye, devienne une règle générale, à l'échelle mondiale, et affecte la situation en Chine. En tout état de cause, la France, qui entretient de vastes relations économiques avec la Chine, tente de la rassurer et d'obtenir son avis favorable, pour coopérer avec l'OTAN, en s’efforçant de la persuader que les évolutions, au Moyen-Orient et dans le Nord de l'Afrique, seraient dans son intérêt.
Bien que Sarkozy ait déclaré que l'objectif de sa visite, en Chine, est de participer au Sommet du G-20, à Nankin, dans l'Est de ce pays, pourtant, de l'avis des observateurs, l'objectif de Sarkozy serait, semble-t-il, de rapprocher les points de vue des autorités chinoises avec ceux des pays occidentaux, dont l'Angleterre et la France, au sujet de l'attaque contre la Libye. Malgré le soutien des pays occidentaux à l'attaque contre la Libye, sous le commandement de l'OTAN, Pékin met l'accent sur le règlement diplomatique de la crise. Le Porte-parole de la diplomatie chinoise, Jian Yu, en évoquant l'opération militaire de la Coalition, sous le commandement de l'OTAN, contre la Libye, a souligné que la Chine s’opposait au recours à la force et qu’elle exige le règlement pacifique du conflit, en ajoutant: "Nous espérons que la communauté mondiale déploiera tous ses efforts, pour l'établissement d’un cessez-le-feu, afin d'empêcher l'aggravation de la situation et la survenance d'une tragédie humaine des plus graves". La diplomatie chinoise, tout en considérant, auparavant, comme humanitaire, l'objectif de la résolution anti-libyenne du Conseil de sécurité, avait souligné que l'action militaire risquait de déstabiliser la région et de créer une tragédie humaine encore plus grave. Les inquiétudes des pays occidentaux, dont la France, des réactions mondiales envers les attaques de la Coalition, sous le commandement de l'OTAN, a poussé les dirigeants de ces pays à expliquer leurs positions, auprès de l'opinion publique mondiale et des dirigeants des autres pays. Le discours d'Obama, justifiant l'action militaire de la Coalition, et les entretiens de Sarkozy avec son homologue chinois, à ce propos, peuvent s'inscrire dans ce même cadre. En fait, les divergences du G-20, au sujet des questions internationales, pourraient avoir des impacts négatifs sur leur coopération économique. De ce fait, Sarkozy tente, en Chine, de rapprocher les points de vue des Chinois avec ceux de la Coalition, concernant l'intervention en Libye. D'autre part, Pékin a été accusé, à maintes reprises, par les pays occidentaux, de violations des droits de l'Homme. C’est pourquoi, les Chinois s’inquiètent que l'approche adoptée, face à la Libye, devienne une règle générale, à l'échelle mondiale, et affecte la situation en Chine. En tout état de cause, la France, qui entretient de vastes relations économiques avec la Chine, tente de la rassurer et d'obtenir son avis favorable, pour coopérer avec l'OTAN, en s’efforçant de la persuader que les évolutions, au Moyen-Orient et dans le Nord de l'Afrique, seraient dans son intérêt.
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