IRIB- Publiée, dans la revue "Current Biology", une étude britannique aurait décelé une particularité physique, dans le cerveau des chauffeurs de taxi londoniens: leur hippocampe serait, littéralement, saturé, par la connaissance des rues, au détriment de la faculté d’acquérir, facilement, de nouvelles informations… Le Pr Eleanor Maguire et le Dr Katherine Woollett, spécialistes en neuro-imagerie, à l'University College de Londres, ont suivi 79 chauffeurs de taxi stagiaires, durant leurs quatre années d’apprentissage.Tous avaient, au départ, une structure cérébrale semblable, mais, à l’issue de la formation, seuls, les 39 candidats ayant réussi le test final avaient subi des changements physiques.
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