Gaia Health Blog, Heidi Stevenson, 14 décembre 2011
Publiée dans le journal British Medical (BMJ), une nouvelle étude a découvert qu’un lycéen sur cent souffre du syndrome de fatigue chronique. Aussi connu sous le nom d'encéphalomyélite myalgique, ce syndrome est un désordre neurologique caractérisé par une fatigue extrême, des douleurs musculaires, de graves maux de tête, des troubles de mémoire, et un dysfonctionnement du système immunitaire. Il s’agit d’un trouble dévastateur qui, comme l'autisme, n'existait pas jusqu'à l'avènement de la vaccination. Sa poussée est aussi corrélée à la multiplication des vaccinations.
Conclusions de l'étude
L'étude « Unidentified Chronic Fatigue Syndrome/myalgic encephalomyelitis (CFS/ME) is a major cause of school absence: surveillance outcomes from school-based clinics » [Le syndrome de fatigue chronique ou encéphalomyélite myalgique est une cause majeure de l'absence scolaire : Diagnostic résultant du contrôle scolaire], a constaté qu’un pour cent des enfants manquent au moins vingt pour cent de leurs journées scolaires, perdant ainsi au minimum un jour par semaine, à cause de cette affection.
Les chercheurs ont étudié les dossiers d'absentéisme sur une période de six semaines de trois lycées d’Angleterre regroupant 2855 étudiants. Ceux qui avaient manqué au moins 20% de leurs journées scolaires ont aussi été examinés pour savoir combien avaient le syndrome de fatigue chronique. Cinq avaient déjà été diagnostiqués, mais l'enquête a révélé que 23 autres vivaient aussi avec ce syndrome, ce qui portait le total à 28, soit un pour cent du nombre total d'enfants des trois lycées.
Le syndrome de fatigue chronique est de toute évidence énormément sous-diagnostiqué. L’une des chercheuses, le Dr Ester M. Crawley, a déclaré à la BBC que le problème est bien plus grave que ce qu’a fait apparaître son étude :
« Manquer un jour par semaine est grave. Le niveau total va être plus élevé. »
Mary-Jane Willows, directrice générale de l'Association des Jeunes atteints d'encéphalomyélite myalgique, s’est fait l’écho du Dr Crawley :
« Un pour cent représente un nombre phénoménal. Ça montre le problème auquel nous sommes confrontés... Je dirais que ça s’appuie sur l’aspect étriqué. Il s’agit d’au moins 1%. Il y a là une population cachée. »
Bien sûr, rien dans tout ça n’intègre les autres préjudices causés par la maladie. Essayez de vous imaginer en adolescent ayant perdu la capacité de se souvenir, et ayant donc perdu l’avenir qui lui aurait été promis autrement. Imaginez la souffrance, les maux de tête terribles et les douleurs musculaires. Et imaginez avoir si peu d'énergie qu'une partie considérable de votre vie doit être passée au lit à dormir. C'est à quoi ces jeunes sont confrontés.
Syndrome de fatigue chronique et aluminium
Le syndrome de fatigue chronique a été lié à un excès d’aluminium, lors de l’étude d’une personne gravement affaiblie par lui. Le Dr Chris Exley, du Centre Birchall de l'université de Keele dans le Staffordshire, en Angleterre, est un expert de premier plan en matière d'aluminium – d’aluminum dirait-il à la rosbif. Il a documenté un cas manifeste de surcharge d’aluminium associée au syndrome de fatigue chronique et de myofasciite à macrophages. (Il est notoire que la myofasciite à macrophages est due à l’aluminium des vaccins. Nous l’avons documenté dans « New Neurological Disorder Known to be Caused by Common Vaccine Adjuvant » [La dernière vacherie neurologique, due notoirement à un banal adjuvant vaccinal].)
Dans « Leach Aluminum from Your Body: Drink Silicon-Rich Water » [Purgez votre organisme de l’aluminium : Buvez de l’eau riche en silicium], vous pouvez voir en vidéo le Dr Exley donnant une conférence sur les effets de l'aluminium. Exley n’a guère de doute quant au préjudice fait par l'aluminium des vaccinations. Dans cette vidéo, il déclare que le gouvernement britannique savait que l'homme qu'il étudiait avait été rendu malade par les vaccins.
Il fait remarquer que l'aluminium n'a pas de rôle connu dans l’organisme humain, bien qu’il soit très réactif. Il parle en outre de la manière dont il peut affecter le métabolisme. Il souligne que les animaux (et les gens) peuvent être rendus allergique à pratiquement tout en mélangeant à leur nourriture des antiacides à base d'aluminium.
Comme le fait remarquer Exley, l'aluminium est un antigène. Le fait que le composé d'aluminium antigène est aussi stocké dans le cerveau entraîne la conclusion inéluctable que l'injection d'aluminium par l’intermédiaire des vaccins est une cause probable de troubles neurologiques, puisque le système immunitaire de l’organisme l'attaque. Il est raisonnable de supposer que ce dysfonctionnement auto-immune est une cause probable de l'autisme et du syndrome de fatigue chronique.
Le fait est que la poussée du syndrome de fatigue chronique est parallèle à celle de l'autisme. Avec une corrélation de cause à effet vraisemblable, comme l’a documenté « Aluminum Adjuvant in Vaccines: A Smoking Gun Autism Link? » [L’aluminium adjuvant de vaccins : Preuve flagrante d’un lien à l’autisme ?], de forts liens ont été établis entre l'aluminium des vaccins et l'autisme. Certes, il faut réaliser une étude équivalente pour vérifier si le syndrome de fatigue chronique est lié aux vaccins.
Implications
Le Dr Exley est en train de faire la plus grande étude à ce jour sur la charge d’aluminium dans le cerveau humain. C'est un bon début. Néanmoins, il ne fait guère de doute qu’il est plus que temps de mettre en œuvre le principe de précaution pour les vaccinations. Nous avons de plus en plus de preuves du lien entre vaccinations et plusieurs troubles neurologiques dévastateurs.
Bien sûr, plus de soutien financier, qui vient directement ou indirectement de Big Pharma, va vers l'obscurcissement et le détournement des évidences, au lieu d'essayer de trouver la vérité. La médecine conventionnelle doit donc prendre du recul et adopter une vision large sur ce qui se passe.
Il ne fait aucun doute que nous avons d’énormes taux de graves maladies chroniques et de nouvelles affections neurologiques ayant atteint des proportions endémiques. Des vies sont dévastées par elles. Personne n'a suggéré que le génome humain a subi des changements majeurs dans les 50 à 60 dernières années. Il est par conséquent absurde d’insinuer que la cause est essentiellement génétique, et financer des études pour étudier ces allégations est un monstrueux gaspillage de ressources.
Nous sommes arrivés dans une situation où la mauvaise santé est la règle. Plus que jamais, les enfants sont plus susceptibles de souffrir d'un trouble chronique. Ils vivent avec des doses étonnantes d'allergies, d'asthme et de diabète. Ces plaies étaient extrêmement rares il y a 50 ans. Aujourd’hui, nous pouvons voir que les troubles du spectre autistique touchent au moins un enfant sur cent. C’est aussi vrai pour le syndrome de fatigue chronique.
Pourtant, toutes les mises en garde ont atterri dans des ouïes de tombes. Sans la moindre preuve, les vaccins ont été étiquetés à la fois sûrs et efficaces. Puisque l'épidémie de maladies chroniques dévaste désormais nos enfants, ne serait-il pas temps de mettre un terme à la folie ?
Source principale
De Esther M Crawley, Alan M Emond et Jonathan A C Sterne : « Le syndrome de fatigue chronique ou encéphalomyélite myalgique est une cause majeure de l'absence scolaire : Diagnostic résultant du contrôle scolaire » :
http://bmjopen.bmj.com/content/1/2/e000252
Original : gaia-health.com/gaia-blog/2011-12-14/1-in-100-students-felled-by-chronic-fatigue-syndrome-more-vaccine-victims/
Traduction copyleft de Pétrus Lombard