IRIB - Dans le JDD, le nouveau président tunisien ne se montre pas tendre avec la France et les Français. En un an, il est passé du statut d’opposant en exil à celui de président de la République de Tunisie. Moncef Marzouki, en poste depuis lundi, n’a pas oublié ses nombreuses années d’exil en France. Mais s’il déclare dans le Journal du Dimanche vouloir être "un pont entre la France et la Tunisie", s’il espère une collaboration "cordiale" entre les deux pays, le nouvel homme fort de Tunis adresse aussi quelques griefs à l’Hexagone et à ses habitants.
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