« J’ai donné l’ordre de ne pas payer les intérêts. Le pays est donc en défaut sur sa dette extérieure. Nous savons qui nous affrontons, de véritables monstres qui n’hésiteront pas à tenter d’écraser le pays, mais je ne pouvais pas permettre qu’on continue à payer une dette immorale et illégitime. En tant que président de la République, j’en assume toute la responsabilité. » Qui a tenu cette déclaration le 12 décembre dernier ? Rafael Correa, président socialiste de l’Equateur. Preuve qu’il existe deux attitudes possibles : se coucher devant les financiers ou prendre le parti du peuple. Ce ne sont pas nos larbins du capital de l’Union européenne, les Merkel-Sarkozy-Papandreou-Zapatero et les autres, qui seraient capables de ça : l’histoire de la dette, finalement, se résume à en avoir ou pas !
Plume de presse
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