Ce candidat s’appelle Michel Thooris. C’est un policier de 31 ans, passé de Philippe de Villiers à Marine Le Pen, qu’il conseille sur les questions de sécurité. Ce que l’on ignorait, en revanche, c’est l’identité et le rôle des personnalités que les deux hommes ont rencontré, en Israël, sachant que certains entretiens, prévus, à la Knesset, (le parlement israélien) ont été annulés, à la dernière minute. En fait, la stratégie élaborée par Aliot et Thooris est de glaner des voix, parmi les nombreux Juifs français vivant dans les territoires occupés. Un vivier électoral négligé par les candidats, déjà, en campagne, les politiques, comme Valérie Hoffenberg (UMP) et Daphna Poznanski (PS), ou même les communautaires, comme Gil Taïeb, ardent soutien de l'armée israélienne, en France, et Edward Amiach, membre du Conseil représentatif des Juifs de France (CRIF). Au cours de ce premier séjour, Michel Thooris s’est rendu, à Eli, en Samarie, afin de mobiliser quelques "précieux" relais.
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