"Nous savons que deux Etats européens ainsi que plusieurs pays arabes œuvrent dans le sens du départ d'el-Assad de la Syrie", a fait savoir M.Ramadan, sans préciser de quels pays il s'agissait.Selon l'opposant, une démission volontaire constitue la seule solution qui permettrait à el-Assad d'éviter le sort de l'ex-dirigeant libyen Mouammar Kadhafi.
Toujours d'après M.Ramadan, "le succès de la révolution en Syrie dépend du degré d'isolement du régime". Dans ce contexte, la position de Téhéran, qui soutient le régime syrien, constitue "une erreur", a indiqué M.Ramadan. Depuis mi-mars, la Syrie est secouée par un mouvement de contestation du régime en place. Selon les dernières estimations de l'Onu, la répression de la révolte y aurait déjà fait plus de 5.000 morts. Damas dément сe chiffre et affirme que le pays est en proie à des bandes armées financées depuis l'étranger.
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