Le leader de l'"armée syrienne libre", Riad al-Asaad, a déclaré vendredi avoir ordonné un arrêt temporaire des combats avec les forces du président Bachar el-Assad, le temps de la visite des observateurs arabes en Syrie, rapportent les médias internationaux. "J'ai ordonné la cessation de toutes les opérations (contre les forces gouvernementales) à partir de la date d'arrivée des observateurs (de la Ligue arabe) en Syrie", a déclaré M.al-Asaad dans une interview.
Un groupe d'observateurs arabes, dirigé par le général soudanais Ahmed Moustafa al Dabi, est arrivé à Damas le 26 décembre. L'objectif de la mission consiste à évaluer la situation sur place, à déterminer les responsables de la mort de civils et à s'assurer que le gouvernement syrien essaie véritablement de régler pacifiquement la crise et de faire cesser l'effusion de sang.
Selon les rapports de M.al-Dabi, la partie syrienne coopère pleinement avec les observateurs, en assurant leur liberté de mouvement dans tout le pays.
Il y a quelques mois, des déserteurs de l'armée syrienne ont formé, dans les zones frontalières avec la Turquie, une "Armée syrienne libre", qui a commencé une lutte armée contre les forces gouvernementales. Le groupement a notamment organisé mi-novembre une attaque contre les bâtiments du service de renseignement des forces aériennes syriennes, dans une banlieue de Damas.
Depuis mi-mars, la Syrie est secouée par un mouvement de contestation du régime de Bachar el-Assad. Selon l'Onu, la répression de la révolte y aurait déjà fait au moins 5.000 morts. Damas dément ce chiffre et affirme que le pays est en proie à des bandes armées financées depuis l'étranger.
Un groupe d'observateurs arabes, dirigé par le général soudanais Ahmed Moustafa al Dabi, est arrivé à Damas le 26 décembre. L'objectif de la mission consiste à évaluer la situation sur place, à déterminer les responsables de la mort de civils et à s'assurer que le gouvernement syrien essaie véritablement de régler pacifiquement la crise et de faire cesser l'effusion de sang.
Selon les rapports de M.al-Dabi, la partie syrienne coopère pleinement avec les observateurs, en assurant leur liberté de mouvement dans tout le pays.
Il y a quelques mois, des déserteurs de l'armée syrienne ont formé, dans les zones frontalières avec la Turquie, une "Armée syrienne libre", qui a commencé une lutte armée contre les forces gouvernementales. Le groupement a notamment organisé mi-novembre une attaque contre les bâtiments du service de renseignement des forces aériennes syriennes, dans une banlieue de Damas.
Depuis mi-mars, la Syrie est secouée par un mouvement de contestation du régime de Bachar el-Assad. Selon l'Onu, la répression de la révolte y aurait déjà fait au moins 5.000 morts. Damas dément ce chiffre et affirme que le pays est en proie à des bandes armées financées depuis l'étranger.
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