Le service religieux de l’armée israélienne a publié il y a un mois un document éducatif, contenant une photographie représentant le Mont du Temple sans le Dôme du Rocher.
Le sujet est d’autant plus sensible qu’il s’agit du troisième lieu saint de l’Islam.
L’image était intégrée à une série d’articles distribués aux soldats durant le festival de l’Hanukka. Selon le quotidien Haaretz, un officier de réserve avait remarqué le caractère insolite de l’image lorsque le document a été transmis. Ce dernier ajoute que l’armée doit d’avantage faire preuve de prudence lorsqu’elle appréhende un sujet aussi sensible que celui-ci.
L’administration militaire reçoit régulièrement des publications du rabbinat sans que ceux-ci ne fassent polémique.
Selon un Porte-parole de Tsahal, l’omission du monument se justifie par le fait que la mosquée n’existait pas au temps de l’antiquité. Sur l’image, on peut apercevoir très clairement le mur des lamentations, dernier vestige du temple détruit par Titus en 70 après Jésus-Christ.
Le gouverneur de Jérusalem, Adnan al Husseini, affirme dans un entretien avec PNN, que ce n’est pas la première fois que les israéliens publient ce type de clichés à travers des agences de voyages par exemple. La démarche démarche aurait pour but, de produire un imaginaire censé « remplacer la réalité ».
L’image était intégrée à une série d’articles distribués aux soldats durant le festival de l’Hanukka. Selon le quotidien Haaretz, un officier de réserve avait remarqué le caractère insolite de l’image lorsque le document a été transmis. Ce dernier ajoute que l’armée doit d’avantage faire preuve de prudence lorsqu’elle appréhende un sujet aussi sensible que celui-ci.
L’administration militaire reçoit régulièrement des publications du rabbinat sans que ceux-ci ne fassent polémique.
Selon un Porte-parole de Tsahal, l’omission du monument se justifie par le fait que la mosquée n’existait pas au temps de l’antiquité. Sur l’image, on peut apercevoir très clairement le mur des lamentations, dernier vestige du temple détruit par Titus en 70 après Jésus-Christ.
Le gouverneur de Jérusalem, Adnan al Husseini, affirme dans un entretien avec PNN, que ce n’est pas la première fois que les israéliens publient ce type de clichés à travers des agences de voyages par exemple. La démarche démarche aurait pour but, de produire un imaginaire censé « remplacer la réalité ».
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