L’activiste égyptien Ibrahim Draoui et président du centre des études palestiniennes au Caire a expliqué qu’il est de l’intérêt des Etats-Unis de communiquer avec les Islamistes en Egypte, après la victoire du parti islamiste « parti de la liberté et du développement » issu du mouvement des frères musulmans, qui a décroché environs 45% des sièges du parlement et qui a été suivi par d’autres partis d’autres courants islamistes, qui ont décroché en tout la totalité de 70% des sièges de l’Assemblée Egyptienne
Ibrahim Draoui, un jeune dirigeant de la révolution Egyptienne a affirmé, hier, à El Khabar qu’il est de l’intérêt des frères musulmans égyptiens d’avoir des relations avec les Etats-Unis pour assurer la société internationale et lui donner une vision claire sur leur projets de développement.
Notre interlocuteur a estimé que les rencontres qui ont eu lieu entre des dirigeants des Frères Musulmans et l’assistant du ministre des Affaires Etrangères s’inscrivent dans le cadre du rétablissement de la confiance entre les Etats-Unis. Idem pour les pays européens avec lesquels les frères se sont rencontrés, à l’instar des représentants de la Grande Bretagne, de la France et de l’Allemagne. Pour ce qui est du refus des Frères musulmans de communiquer avec les américains avant la révolution Egyptienne, M. Draoui a indiqué que les Frères Musulmans égyptiens ont refusé, auparavant, de traiter avec les américains qu’à travers le ministère égyptien des affaires étrangères.
Notre interlocuteur a estimé que les rencontres qui ont eu lieu entre des dirigeants des Frères Musulmans et l’assistant du ministre des Affaires Etrangères s’inscrivent dans le cadre du rétablissement de la confiance entre les Etats-Unis. Idem pour les pays européens avec lesquels les frères se sont rencontrés, à l’instar des représentants de la Grande Bretagne, de la France et de l’Allemagne. Pour ce qui est du refus des Frères musulmans de communiquer avec les américains avant la révolution Egyptienne, M. Draoui a indiqué que les Frères Musulmans égyptiens ont refusé, auparavant, de traiter avec les américains qu’à travers le ministère égyptien des affaires étrangères.
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