Le rapport ajoute qu’«il est particulièrement clair que les pratiques illégales israéliennes contre les députés du "CLP" constituent une violation flagrante des Conventions et lois internationales, lesquelles criminalisent l’enlèvement de membres du gouvernement et d’institutions élus, et leur enfermement arbitraire. Le rapport considère qu’il s’agit d’"un acte de vengeance" et que c’est inacceptable». Le rapport pointe, aussi, que l’article 34 de la Quatrième Convention de Genève stipule que : «La prise d’otages est interdite», spécialement, si cet acte met en péril la souveraineté et l’intégrité territoriale de l’autre entité, tel que stipulé par l’article premier de l’Assemblée générale des Nations unies du 14 décembre 1974, relatif à la définition de l’agression : «L’agression et l’emploi de la force armée, par un État, contre la souveraineté, l’intégrité territoriale ou l’indépendance politique d’un autre État, ou de toute autre manière, sont incompatibles avec la Charte des Nations-Unies...».
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