Triple A c'est aussi la note indiquant la qualité de l'Andouille …
Admirons le côté théâtrale de la situation. Le monde soit disant en faillite doit désormais accepter les solutions (sacrifices) qui ne manqueront pas de lui être imposés : pour sa sauvegarde bien entendu…
Deux voies se profilent pour en sortir :
1 – Les états récupèrent leur droit légitime à émettre de la monnaie sans taux d'intérêt. Ainsi les citoyens ne sont plus trahis au profit des banques. La dette nationale n'existe tout simplement plus. Les banques d'affaires impactées par la décision sont mises en redressement judiciaire puis liquidées. Les créances détenues par des particuliers et des entreprises liés à l'économie réelle sont remboursées pour leur part de capital par l'état. La spéculation et l'économie virtuelle disparaissent, ainsi que leurs effets pervers. L'état nationalise les banques de détail. Des grands travaux d'infrastructures sont menés pour relancer l'économie. Les forces créatrices sont libérées. L'état providence revient. Bien sur cela voudrait dire que dans un élan d'altruisme nos "maîtres" renoncent à leur principal outil de contrôle. Alors petit voyage en Utopie?
2- Nos politiciens continuent de vouloir défendre à tous prix les intérêts des financiers (et sans doute les leurs, rien est gratuit…).
Le contribuable, le consommateur, continu de régler la note jusqu'à appauvrissement et épuisement total. La misère, le chaos social s'installe. L'état policier aussi. Rappelons pour mémoire le rôle de la crise de 29 dans l'avènement de la seconde guerre mondiale...
Puisque les loups ne mangent pas les loups, la bonne solution peut elle venir d'en haut ?
© www.laurent-siegward.fr
Admirons le côté théâtrale de la situation. Le monde soit disant en faillite doit désormais accepter les solutions (sacrifices) qui ne manqueront pas de lui être imposés : pour sa sauvegarde bien entendu…
Deux voies se profilent pour en sortir :
1 – Les états récupèrent leur droit légitime à émettre de la monnaie sans taux d'intérêt. Ainsi les citoyens ne sont plus trahis au profit des banques. La dette nationale n'existe tout simplement plus. Les banques d'affaires impactées par la décision sont mises en redressement judiciaire puis liquidées. Les créances détenues par des particuliers et des entreprises liés à l'économie réelle sont remboursées pour leur part de capital par l'état. La spéculation et l'économie virtuelle disparaissent, ainsi que leurs effets pervers. L'état nationalise les banques de détail. Des grands travaux d'infrastructures sont menés pour relancer l'économie. Les forces créatrices sont libérées. L'état providence revient. Bien sur cela voudrait dire que dans un élan d'altruisme nos "maîtres" renoncent à leur principal outil de contrôle. Alors petit voyage en Utopie?
2- Nos politiciens continuent de vouloir défendre à tous prix les intérêts des financiers (et sans doute les leurs, rien est gratuit…).
Le contribuable, le consommateur, continu de régler la note jusqu'à appauvrissement et épuisement total. La misère, le chaos social s'installe. L'état policier aussi. Rappelons pour mémoire le rôle de la crise de 29 dans l'avènement de la seconde guerre mondiale...
Puisque les loups ne mangent pas les loups, la bonne solution peut elle venir d'en haut ?
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