La France perd son triple A. Cependant, elle conserve sa divine Morano qui, de fil en anguille, n'en finit pas de gesticuler derrière son étal et d'aborder le quidam en mode twitter pour vanter une politique qui s'écaille quitte à nous en péter l'ouïe sans finesse dans les médias, à force de gouaille, nous prenant pour des hurlu-merlus ! Telle une moule soudée à son rocher politique, Nadine, divine sardine en solde, se la joue poisson pilote d'un gouvernement qui bulle à force de formules qui font sacs et ressacs et qui, au final, n'est que l'écume de nos mauvais jours. Les pissotières de la Démocratie n'attendent plus qu'elle et son odeur de crevettes mal-défraichie de jeune fille négligée.
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