Les véritables commanditaires sont eux encore bien vivants !
témoignage d'une victime colatérale :
Saisir que mon dossier n'a rien d'anodin mais qu'il démontre que nos droits civiques, les plus élémentaires, sont menacés, par une minorité, prête à tout, même à tuer, pour sauvegarder ses intérêts.
Si on voit une suite logique, dans les faits, blocages, attentats mentionnés ci-après, on comprend le système mis en place pour protéger la corruption immobilière de la Côte d'azur, avec les trafics s'y référant, et l'importance du meurtre de Yann Piat.
Son dossier est tout sauf isolé: il fait partie d'une logique implaccable, dont des centaines de victimes innocentes font partie et que j'ai mise à jour.
D'entrée de jeu, mon dossier successoral est bloqué par Me XXXXXX, notaire à Paris.
Ni convoquée, ni mentionnée, mais déshéritée d'office. En Juin 1992.
Pour des sommes sans grande importance, dont je me moque royalement...mais ma famille est complice de forfaits impensables.
Comme beaucoup de notaires, impliqués dans des marchés illicites, Me XXXXXX a tout bloqué, certain que rien ne l'atteint, venant de moi.
Aucune action en justice, ni un 2ème notaire, ni un administrateur...aucun recours face à ces gens trop puissants et protégés.
Comme me l'ont confirmé les autres victimes de ces messieurs et les magistrats rencontrés ensuite.
En 1993, armée d'un certificat d'hérédité, je vais voir les banques de mes parents pour avoir une présentation des comptes. BNP, CLC, SMC de Cagnes sur mer et CCP.
Reçue mais non satisfaite dans mes demandes, je reviens sous huitaine: chaque employé des banques citées a été muté.
Et, dans le mois suivant, Sabine Eyssette, ma belle-soeur, est nommée à la Banque de France, responsable de toutes les agences de banque, en France...alors qu'elle était fonctionnaire détachée, ailleurs.
Fin Novembre 92, je demande un extrait pour une vente illégale d'appartement, au 1er Bureau des hypothèques- Rue Joseph Caddei- Nice-
Sous 8 jours, bombe qui fait exploser ce bureau.
Attentat attribué aux Corses, selon le Directeur de la Police judiciaire, rencontré.
Classé sans suite.
Juillet 93, je demande un extrait pour une vente illégale de mas ,à St Paul de Vence, au bureau des hypothèques de Grasse.
Sous 8 jours, le 14 exactement, bombe qui fait exploser le bureau.
Déposition en règle, mais dossier classé sans suite.
Octobre 93, je vais au Bureau des Impôts de Grasse, pour le même bien.
Sous 8 jours, le 10 Octobre, incendie du Bureau concerné, qui détruit des preuves.
Déposition en règle et rencontre du juge Murciano, alors en poste.
Classé sans suite.
Par ailleurs, en 1992 et 93, je suis allée aux centres d'Impôts de:
- Nice: Avenue Durante
-Sophia-Antipolis: fiscalité immobilière- Mme Copelli
Paris: Place St Sulpice
En plus des adresses de Nice et Grasse, pour savoir ce qui avait été déclaré ou à contrôler.
Rien. Jamais aucune réaction à mes demandes.
Autant de signes pour montrer que je dérangeais, bien entendu, mais j'ai eu les tueurs aux trousses et suis devenue pélerine dans des Monastères chrétiens et bouddhistes, en Suisse et en France, pendant 3 ans.
Obligée de changer d'adresse, chaque semaine, j'ai terminé mon périple, épuisée, en Juillet 1996, en Bretagne.
1 an auparavant, en Septembre 95, j'ai rencontré un juge toulonnais, sous un pseudo, qui m'a confirmé que j'avais tout compris, quand je lui ai déposé les 5 noms des responsables du réseau de criminels financiers en action.
Sachant que ses inspecteurs se feraient tuer, en allant enquêter, nous avons convenu de passer autrement: par des réseaux autres que la Justice, pour les confondre.
Aucun nom de juges n'a été mentionné dans toutes mes interventions jusqu'à ce jour et je donnais le change en surface pour mieux les informer, en sous-marin.
L'important a toujours été de me faire passer pour une prâline parfaite afin d'endormir ces mafieux et assimilés...
En 1998, ce juge a su alerter Mr Van Ruymbeke, alors en poste sur Rennes, pour envoyer des enquêteurs vérifier mes dires sur des abus de l'OPAC, EDF, CPAM, CAF etc destinés à me "pourrir la vie". Solution adoptée par les mafieux, quand ils renoncent à tuer.
Mon jeu était de rester à la limite de la Loi pour les pousser à la faute, par abus de pouvoir.
Ainsi, les enquêteurs veulent confondre l'OPAC en 1999: les employés s'en sortent par une acrobatie de comptes, à l'aise.
Mais, forts de cela, ils font saisir des sommes insaississables, sur mes comptes... Pari réussi pour moi, donc.
En février 1999, le Procureur de Nice est Mr Eric de Montgolfier.
Une chance de voir ce dossier sortir, pour moi.
Le fait de le rencontrer m'a suffi à saisir dans quel état d'esprit il se trouvait, la surveillance interne dont il était l'objet aussi.
Lui même se voit refuser des documents bancaires ou notariaux, avec superbe.
A ce jour, rien de nouveau, officiellement, et des jeux sociaux toujours aussi dingues envers moi.
Quelques parades: la colocation m'évite les portes fracassées, les vols de mes effets personnels, les intoxications alimentaires...dont j'étais lasse.
IIs passent autrement: influences morales et psychologiques, quasi permanentes, des logeurs, services refusés- appels et internet gratuits- surveillances illimitées etc etc mais c'est plus supportable.
Aucun procès ne saura les confondre, dans l'état actuel de la Justice.
Personne ne leur fait peur ni ne les atteint: complexe de supériorité intact.
Les notaires profitent de privilèges énormes qui leur garantissent toute impunité en matière de délinquance financière.
Les centres d'impôts savent s'acharner contre les citoyens de petite ou moyenne importance mais évitent les notaires, avec des complicités entre employés fiscaux et avocats.
Yann Piat est une victime symbolique, de tout un système en place, et non un cas isolé.
On doit relier les attentats cités ci-dessus à son cas et ne pas traiter chacun séparément.
Mon dossier les dérange, Yann Piat aussi, sans se douter certainement des vrais enjeux, loin du Var.
Ramifications financières en Suisse, au Luxembourg, en Amérique centrale ...
Pour des réseaux dont leurs chefs sont en lien avec Mrs Pasq.., Léo.., Gau..,et deux avocats, chefs imparables des deux camps: politique et mafia des affaires.
Ma famille- frères et belles- soeurs- ont pris une part active, mais ne sont que des pions entre les mains de ces messieurs.
Ceux qui m'intéressent sont ceux à qui les crimes profitent.
En faisant rouvrir les enquêtes de ces attentats, on trouvera. De même pour mon dossier à l'Etude notariale.
Catherine Eyssette, dossier Yann Piat, les amis de Yann Piat :
D'autres vidéos de l'époque sur mon mur Face Book : Bruno DESCURE
Seuls des médias non-alignés sont capables de faire leur travail de journalistes et de publier, nous comptons sur vous et restons à votre disposition pour tout contact "sécurisé"...
Je vous remercie de donner votre avis sur ce sujet en nous répondant même par la négative...
Cordialement
Bruno DESCURE
Si on voit une suite logique, dans les faits, blocages, attentats mentionnés ci-après, on comprend le système mis en place pour protéger la corruption immobilière de la Côte d'azur, avec les trafics s'y référant, et l'importance du meurtre de Yann Piat.
Son dossier est tout sauf isolé: il fait partie d'une logique implaccable, dont des centaines de victimes innocentes font partie et que j'ai mise à jour.
D'entrée de jeu, mon dossier successoral est bloqué par Me XXXXXX, notaire à Paris.
Ni convoquée, ni mentionnée, mais déshéritée d'office. En Juin 1992.
Pour des sommes sans grande importance, dont je me moque royalement...mais ma famille est complice de forfaits impensables.
Comme beaucoup de notaires, impliqués dans des marchés illicites, Me XXXXXX a tout bloqué, certain que rien ne l'atteint, venant de moi.
Aucune action en justice, ni un 2ème notaire, ni un administrateur...aucun recours face à ces gens trop puissants et protégés.
Comme me l'ont confirmé les autres victimes de ces messieurs et les magistrats rencontrés ensuite.
En 1993, armée d'un certificat d'hérédité, je vais voir les banques de mes parents pour avoir une présentation des comptes. BNP, CLC, SMC de Cagnes sur mer et CCP.
Reçue mais non satisfaite dans mes demandes, je reviens sous huitaine: chaque employé des banques citées a été muté.
Et, dans le mois suivant, Sabine Eyssette, ma belle-soeur, est nommée à la Banque de France, responsable de toutes les agences de banque, en France...alors qu'elle était fonctionnaire détachée, ailleurs.
Fin Novembre 92, je demande un extrait pour une vente illégale d'appartement, au 1er Bureau des hypothèques- Rue Joseph Caddei- Nice-
Sous 8 jours, bombe qui fait exploser ce bureau.
Attentat attribué aux Corses, selon le Directeur de la Police judiciaire, rencontré.
Classé sans suite.
Juillet 93, je demande un extrait pour une vente illégale de mas ,à St Paul de Vence, au bureau des hypothèques de Grasse.
Sous 8 jours, le 14 exactement, bombe qui fait exploser le bureau.
Déposition en règle, mais dossier classé sans suite.
Octobre 93, je vais au Bureau des Impôts de Grasse, pour le même bien.
Sous 8 jours, le 10 Octobre, incendie du Bureau concerné, qui détruit des preuves.
Déposition en règle et rencontre du juge Murciano, alors en poste.
Classé sans suite.
Par ailleurs, en 1992 et 93, je suis allée aux centres d'Impôts de:
- Nice: Avenue Durante
-Sophia-Antipolis: fiscalité immobilière- Mme Copelli
Paris: Place St Sulpice
En plus des adresses de Nice et Grasse, pour savoir ce qui avait été déclaré ou à contrôler.
Rien. Jamais aucune réaction à mes demandes.
Autant de signes pour montrer que je dérangeais, bien entendu, mais j'ai eu les tueurs aux trousses et suis devenue pélerine dans des Monastères chrétiens et bouddhistes, en Suisse et en France, pendant 3 ans.
Obligée de changer d'adresse, chaque semaine, j'ai terminé mon périple, épuisée, en Juillet 1996, en Bretagne.
1 an auparavant, en Septembre 95, j'ai rencontré un juge toulonnais, sous un pseudo, qui m'a confirmé que j'avais tout compris, quand je lui ai déposé les 5 noms des responsables du réseau de criminels financiers en action.
Sachant que ses inspecteurs se feraient tuer, en allant enquêter, nous avons convenu de passer autrement: par des réseaux autres que la Justice, pour les confondre.
Aucun nom de juges n'a été mentionné dans toutes mes interventions jusqu'à ce jour et je donnais le change en surface pour mieux les informer, en sous-marin.
L'important a toujours été de me faire passer pour une prâline parfaite afin d'endormir ces mafieux et assimilés...
En 1998, ce juge a su alerter Mr Van Ruymbeke, alors en poste sur Rennes, pour envoyer des enquêteurs vérifier mes dires sur des abus de l'OPAC, EDF, CPAM, CAF etc destinés à me "pourrir la vie". Solution adoptée par les mafieux, quand ils renoncent à tuer.
Mon jeu était de rester à la limite de la Loi pour les pousser à la faute, par abus de pouvoir.
Ainsi, les enquêteurs veulent confondre l'OPAC en 1999: les employés s'en sortent par une acrobatie de comptes, à l'aise.
Mais, forts de cela, ils font saisir des sommes insaississables, sur mes comptes... Pari réussi pour moi, donc.
En février 1999, le Procureur de Nice est Mr Eric de Montgolfier.
Une chance de voir ce dossier sortir, pour moi.
Le fait de le rencontrer m'a suffi à saisir dans quel état d'esprit il se trouvait, la surveillance interne dont il était l'objet aussi.
Lui même se voit refuser des documents bancaires ou notariaux, avec superbe.
A ce jour, rien de nouveau, officiellement, et des jeux sociaux toujours aussi dingues envers moi.
Quelques parades: la colocation m'évite les portes fracassées, les vols de mes effets personnels, les intoxications alimentaires...dont j'étais lasse.
IIs passent autrement: influences morales et psychologiques, quasi permanentes, des logeurs, services refusés- appels et internet gratuits- surveillances illimitées etc etc mais c'est plus supportable.
Aucun procès ne saura les confondre, dans l'état actuel de la Justice.
Personne ne leur fait peur ni ne les atteint: complexe de supériorité intact.
Les notaires profitent de privilèges énormes qui leur garantissent toute impunité en matière de délinquance financière.
Les centres d'impôts savent s'acharner contre les citoyens de petite ou moyenne importance mais évitent les notaires, avec des complicités entre employés fiscaux et avocats.
Yann Piat est une victime symbolique, de tout un système en place, et non un cas isolé.
On doit relier les attentats cités ci-dessus à son cas et ne pas traiter chacun séparément.
Mon dossier les dérange, Yann Piat aussi, sans se douter certainement des vrais enjeux, loin du Var.
Ramifications financières en Suisse, au Luxembourg, en Amérique centrale ...
Pour des réseaux dont leurs chefs sont en lien avec Mrs Pasq.., Léo.., Gau..,et deux avocats, chefs imparables des deux camps: politique et mafia des affaires.
Ma famille- frères et belles- soeurs- ont pris une part active, mais ne sont que des pions entre les mains de ces messieurs.
Ceux qui m'intéressent sont ceux à qui les crimes profitent.
En faisant rouvrir les enquêtes de ces attentats, on trouvera. De même pour mon dossier à l'Etude notariale.
Catherine Eyssette, dossier Yann Piat, les amis de Yann Piat :
D'autres vidéos de l'époque sur mon mur Face Book : Bruno DESCURE
Seuls des médias non-alignés sont capables de faire leur travail de journalistes et de publier, nous comptons sur vous et restons à votre disposition pour tout contact "sécurisé"...
Je vous remercie de donner votre avis sur ce sujet en nous répondant même par la négative...
Cordialement
Bruno DESCURE
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