Il a souhaité que les autorités libyennes puissent acquérir une certaine légitimité, notamment, dans la perspective des élections, prévues, en juin prochain. Après les nombreux incidents violents, qui ont eu lieu, en janvier, M. Martin a mis l'accent sur le grave problème de sécurité que connaît, actuellement, la Libye. «L'ancien régime a été renversé, mais la dure réalité est que le peuple libyen continue de vivre avec son héritage d'institutions étatiques faibles, voire, absentes. Avec l'absence de partis politiques et d'organisations de la société civile, cela rend la transition du pays plus difficile», a déclaré M. Martin, au cours d'une séance du Conseil de sécurité.
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