La grande journée franco-allemande passée par Nicolas Sarkozy et Angela Merkel, ensemble, à Paris, lundi, a suscité le scepticisme, voire, l’ironie d’une bonne partie de la presse outre-Rhin. Notamment, parce qu’Angela Merkel n’a pas, toujours, franchement, apprécié le président français, qu’elle trouvait trop pressé, trop brouillon, et à avec lequel elle exécrait les grandes embrassades, qui inauguraient chacune de leurs rencontres. Elle comparaît même le président à Louis de Funès, archétype du Français, pour les Allemands, rappelle le quotidien "Die Welt", qui titre "Comment Angela Merkel s'est éprise d'un lourdaud" et estime que le soutien de la chancelière au président est "compréhensible, mais dangereux".
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