IRIB- Les pays occidentaux, sous prétexte de contrôler les atrocités de Kadhafi, et avec l’objectif d’accéder aux ressources pétrolières de ce pays, sont sur le point de se lancer dans des opérations militaires, à l’encontre de ce pays.
Depuis le déclenchement des troubles, en Libye, le Président américain, Barack Obama, a, pourtant, réagi, avec précaution, aux évolutions libyennes. Des représentants des membres de l’OTAN ont organisé une réunion, pour examiner les positions de l’Organisation et adopter des directives appropriées, sur les évolutions libyennes. La communauté internationale a été critiquée pour son immobilisme, face aux évolutions libyennes, et pour n’avoir pas été aux côtés des Libyens. Les Etats-Unis ont adopté des sanctions contre Kadhafi même et ses fils, en gelant leurs avoirs. Le communiqué de la Maison Banche a, catégoriquement, critiqué la barbarie du gouvernement de Kadhafi et a précisé que les Etats-Unis et l’Union Européenne sont aux côtés du peuple libyen qui réclame la restauration de ses droits bafoués. La plus drastique des positions, contre Mouammar Kadhafi, a été prise, par Nicolas Sarkozy, le Président français, qui a exigé le départ de Kadhafi. Tout cela laisse à penser que les pressions contre Kadhafi se sont accentuées. Le gouvernement de Kadhafi réprime, sauvagement, le peuple. Ces répressions sont sanglantes. Mouammar Kadhafi détient du gaz moutarde et d’autres armes de destruction massive et le spectre d’une utilisation de ces armes par Kadhafi, au cas où les troubles se poursuivraient, en Libye, plane sur le peuple libyen.
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