"Il y a trois bonnes nouvelles au cours des changements arabes actuels de promouvoir l'approche de la victoire et l'effondrement du projet sioniste, alors qu'il y a également trois soutiens pour l'accomplissement du projet de la libération", a déclaré, le premier ministre palestinien, Ismail Haniyeh.
Variables et bonnes nouvelles de la victoire
A l'occasion de la commémoration du 63ème anniverssaire de la Nakba, Haniyeh a déclaré, aujourd'hui, après la prière de l'aube, le dimanche 15/5, à la mosquée Omari de Gaza: "Nous sommes en soixante-troisième commémoration de la Nakba et nous estimons qu'il y a des variables conduiront à l'effondrement du projet sioniste en Palestine et au triomphe du projet de la nation".
Réconciliation
Haniyeh a expliqué que ces bonnes nouvelles sont représentées en trois variables importantes: la première est de favoriser la réconciliation palestinienne, qui a été ratifiée cette année en signant les ententes palestiniennes et la feuille égyptienne.
Il a souligné que "l'unité du peuple est indispensable pour atteindre la victoire, la libération et le retour des réfugiés dans leur patrie", ajoutant que «la faiblesse est dans la division et les mésententes".
"Aujourd'hui, nous nous armons avec le début de l'unité, la réconciliation et la coexistence entre les peuples, en dépit de différents programmes politiques, ce qui ouvre devant nous de bonnes perspectives, qui sont très importantes", a ajouté Haniyeh.
Haniyeh a insisté sur la sincérité de l'application fidèle de l'accord de réconciliation, soulignant que "beaucoup de nos gens regardent avec impatience, et beaucoup de prudence et de suspicion (la mise en œuvre de l'accord de réconciliation), en affirmant: «Ces craintes sont légitimes, mais nous devrions tenir l'intention et la volonté pour faire réussir cette tendance et payer le prix pour cela, et que nous tenons en priorité la restauration de l'unité sur la base de la protection des constantes et le choix du djihad, en refusant la politique d'abandon et de relier cette population par ses héritages culturels, la foi et la religion".
Révolutions arabes .. Un changement important
Le Premier ministre a montré que la deuxième bonne nouvelle est les transformations et les révolutions arabes qui commencent autour de nous, dans de nombreuses capitales arabes, exactement ce qui se passe dans notre pays frère l'Egypte qui est le réservoir stratégique de l'homme, ce changement majeur de la révolution qui détruit pour construire.
Il a attiré l'attention a la présence de deux millions dans la place" Tahrir",au Caire, le vendredi, et a déclaré: «Nous avons vu à quel point la question palestinienne est revenue à l'Egypte, et nous avons vu les drapeaux de la Palestine (qui étaient absents auparavant) flottant dans le ciel du Caire et portés par la jeunesse égyptienne.
«Nous vivons dans l'un des signes de la victoire dans l'évolution de la méthodologie de la nation et son rejet de la tyrannie et son attachement à l'affaire et au Coran", soulignant que ces révolutions auraient un impact positif sur l'affaire et un effet négatif sur l'entité sioniste.
Compréhension palestinienne et islamique
Selon Haniyeh, la troisième bonne nouvelle est la grande conscience de notre peuple dans tous les lieux de sa présence et des fils de la nation, qui a chuté l'expréssion qui disait que "les Adultes meurent et les Jeunes oublieront», tout en commentant: «Peut-être les Adultes meurent, mais les Jeunes n'oublieront jamais, ceux qui ont fait éclater les deux intifadhas sont ceux qui sont nés à l'époque de l'occupation.
Il a indiqué aux changements et la mobilisation dans les pays arabes, européens, comme la conférence organisée pour les Palestiniens en Europe, qui s'est tenue en Allemagne, où ils ont refusé la domestication et la réinstallation, appelant à l'unité de la Palestine, ainsi que la manifestation qui s'est mobilisée en Grande-Bretagne portant la responsabilité historique (où le peuple palestinien était sous le mandat brétannique) à la Déclaration Balfour.
Haniyeh a exprimé sa satisfaction aux marches, qui sont sorties en Cisjordanie, et a déclaré: "Nous voyons avec satisfaction aux manifestations communes et unifiées dans les villes de la Cisjordanie et nous voulons plus, et la libération de tous les prisonniers politiques afin que nous puissions obtenir un rythme régulier et sans interruption de réaliser la réconciliation"
"L'Acte de Genève est tombé et aujourd'hui nous le piétinons, car il a relâché le droit au retour, tous ceux qui trahissent les constantes, en particulier le droit au retour seraient hors de l'histore", a poursuivi le premier ministre.
Il a ajouté: «Nous sommes face aux transformations historiques majeures, la roue a tourné rapidement et le projet sioniste n'est plus au sommet de cette roue", ajoutant que: "les projets coloniaux n'ont aucune survie sur la terre arabe et musulmane, notamment sur la terre de Palestine".
Les soutiens de la libération
Haniyeh a confirmé que nous sommes aujourd'hui en face du temps anticipé de la vraie libération, en pointant sur les trois piliers (soutiens) que nous devons respecter afin de réaliser la libération.
"Le premier pilier est l'unité de référence pour la direction palestinienne", notant que le document de réconciliation a abordé cette question en la reconstruction de l'OLP, le cadre directif provisoire et les tâches qui lui est confiées et qui sont très importantes, ainsi qu'on doit se conformer strictement à les appliquer", a insisté Haniyeh.
Il a souligné que le deuxième pilier est la protection de l'unité palestinienne qui devrait être fondée sur des attitudes d'honnêteté et de ne pas répéter les expériences précédentes.
Haniyeh a confirmé que le troisième pilier est de s'appuyer sur l'aide de la nation, confirmant: "La Palestine se peut qu'elle ne soit pas libérée par es Palestiniens seulement, la libéralisation globale nécessité le soutien de cette nation et son appui à la résistance palestinienne continue, qui est la résistance à l'épuisement du projet de l'ennemi pour laquelle toute partie liébré c'est bon, mais la libération nécessite une position héroïque de la nation et l'implication dans le projet de libération ".
Il a également précisé:"La nation doit assumer son devoir du soutien soutien et de l'aide, financièrement, politiquement et moralement, et même militairement afin de maintenir le peuple palestinien plus fort et capable de faire face à l'occupation et arrêter le cancer des expansions colonisalistes dans les territoires palestiniens et arabes."
Tout un siècle de Jihad
Haniyeh a suggéré, que «si plus de 63 années ont passé sur ce qu'on appelle la Nakba, ou le viol de la Palestine, il y a un siècle du jihad, la fermeté et la résistance face à cette attaque colonialiste depuis l'époque du mandat britannique et jusqu'à l'occupation sioniste.
Il a dit: «Deux choses plus éminents ont été les anticipés du siècle de djihad et de la résistance, premièrement :" La révolution, le Jihad et de la résistanc; la révolution de Buraq en 1929 qui a commencé de la mosquée "al-Aqsa"(la première "Kibla" ), où la mosquée sainte fut le point de lancement du djihad, car la mosquée est l'identification et la protection de ce bienheureux djihad ".
Haniyeh a, en outre, souligné : «Ce lancement a été renouvelé à maintes reprises des mosquées et dans de nombreuses étapes de l'histoire de notre peuple, au cours des cent dernières années, en passant par la révolution, d'al-Qassam, de Hassan Salama et d'al-Husseini, puis la révolution contemporaine, ensuite l'Intifadha des mosquées qui a duré sept ans, qui a été lancée des mosquées et fondée par la génération croyante, puis l'Intifada actuelle qui s'entend et parfois diminue, et par la volonté de Dieu (Allah) c'est aussi l'Intifada d'al-Aqsa".
Il a poursuivi: " Entre la révolution de Bouraq à partir d'al-Aqsa en 1929, et l'Intifadha de 2000, baptisée également l'"Intifada" d'al-Aqsa, ce qui signifie que le peuple palestinien connaît son chemin et connaît bien la voie de la libération, et que la résolution du conflit et la lutte de libération ne peut être que sous la bannière de l'islam".
La mosquée et le retour aux bases de la victoir
"Ce que nous renforçons aujourd'hui, au moment où nous prions la prière de l'aube, en coïncidence à la 63ème commémoration de la Nakba, c'est que nous revenons à cette mosquée priant à la même mesure que notre prière de vendredi, comme l'avait confirmé un sioniste en avertissant sa nation: quand vous voyez la prière de l'aube, comme la prière du vendredi, sachez que nous sommes en danger comme étant une entité sioniste", a insisté Haniyeh en rassurant les Palestiniens.
Haniyeh a notamment indiqué que "c'est la base de la victoire, et un réservoir de la peur et la terreur qu'ils ont (les sionistes). Notre peuple a présenté des modèles de combattant et la campagne du Coran et du fusil .. Au moment où les jeunes ont porté le fusil dans une main et le Coran dans l'autre, ont fait des merveilles et forcé l'ennemi d'admettre la défaite et la réfraction".
"Deuxièmement; c'est le martyre et le sang qui ont été autorisés au nom d'Allah, car avec la révolution de "Buraq", en Septembre 1930 était l'exécution des trois dirigeants: Atta Zeer, Mohammed Jamjoom, Fouad Hijazi, ce qui se renouvelle aujourd'hui de la même mosquée "al-Aqsa" par l'assassinat de l'enfant maqdissins "Mylad", a affirmé le leader palestinien.
Haniyeh a confirmé: "De la mosqué le Jihad a été lancé et aucun djihad ne serait sans sacrifices et sang, pas de liberté sans sacrifices, et notre peuple n'a pas encore épargné dans la fourniture d'un projet de loi sacrifices".
Le premier ministre a insisté également qu'il n'y ait pas de retour en Palestine que par un retour à Dieu (Allah), particulièrement, qu'il n'y ait pas de retour à Jaffa, Safed et Lod qu'après le revient à l'ombre de la mosquée et le Coran.
Le triomphe est à venir
En effet, Haniyeh a conclu en insistant sur le non renoncement ou la négligence aux droits et principes fondamentaux du peuple peuple, déclarant :". Nous ne reconnaîtrons pas l'occupation .. aucun abandon au projet de la résistance comme l'un des principaux piliers de la libération .. on ne renoncera plus à la question des prisonniers, nous nous attachons à toutes les exigences de la résistance afin de réaliser leur liberté".
Finalement, Haniyeh a réafirmé que "la victoire et l'État vont venir, les réfugiés vont être rapatriés et l'occupation disparaîtra".