Le Président syrien, Bachar al-Assad, refuse de répondre aux appels téléphoniques du secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a indiqué, vendredi, le porte-parole des Nations unies. M. Ban a essayé d'appeler M. Assad, jeudi, mais s'est vu répondre que le dirigeant syrien n'était "pas disponible", a expliqué Martin Nesirky aux journalistes. Le chef de l'ONU a eu trois échanges téléphoniques avec Bachar al-Assad, depuis le début des manifestations, en mars, en Syrie.
Le mois dernier, M. Ban avait indiqué que M. Assad s'était plaint, auprès de lui: "Pourquoi continuez-vous de me téléphoner?". S'agissant de la violence, dans certaines régions syriennes, le régime évoque un complot extérieur visant à déstabiliser la Syrie. Plusieurs éléments armés ont été armés. Ils ont reconnu être recrutés par des parties étrangères. Ban Ki-moon a, la semaine dernière, qualifié les événements, en Syrie, de "répression violente" et indiqué qu'il était "profondément troublé par les violations graves des droits de l'Homme ". Des diplomates du Conseil de sécurité de l'ONU ont eu des entretiens, vendredi, sur une résolution européenne condamnant la Syrie, sans, toutefois, se rapprocher d'un vote. Les discussions autour de cette résolution doivent se poursuivre, ce week-end, alors que la Grande-Bretagne, la France, l'Allemagne et le Portugal expriment une frustration croissante, face à l'opposition de certains des quinze pays membres du Conseil.
Le mois dernier, M. Ban avait indiqué que M. Assad s'était plaint, auprès de lui: "Pourquoi continuez-vous de me téléphoner?". S'agissant de la violence, dans certaines régions syriennes, le régime évoque un complot extérieur visant à déstabiliser la Syrie. Plusieurs éléments armés ont été armés. Ils ont reconnu être recrutés par des parties étrangères. Ban Ki-moon a, la semaine dernière, qualifié les événements, en Syrie, de "répression violente" et indiqué qu'il était "profondément troublé par les violations graves des droits de l'Homme ". Des diplomates du Conseil de sécurité de l'ONU ont eu des entretiens, vendredi, sur une résolution européenne condamnant la Syrie, sans, toutefois, se rapprocher d'un vote. Les discussions autour de cette résolution doivent se poursuivre, ce week-end, alors que la Grande-Bretagne, la France, l'Allemagne et le Portugal expriment une frustration croissante, face à l'opposition de certains des quinze pays membres du Conseil.
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