Trois mois après la catastrophe de Fukushima, un technicien retraité de l'usine "Areva" de La Hague a provoqué des remous, cette semaine, en se présentant, publiquement, devant une commission officielle, pour dénoncer la sécurité insuffisante du site, un des plus riches en matières radioactives au monde. "La région ne doit pas être sacrifiée, pour le bien être de la collectivité nationale", a lancé, mercredi, Guislain Quétel, 66 ans, dont 35 consacrés à la protection des salariés de La Hague contre les radiations.
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