Les récentes violences, en Somalie, ont laissé 14 morts. Les attaques, menées, mardi, contre le Nord de Mogadiscio, la capitale, ont coûté la vie à, au moins, 14 civils, dont 4 enfants, sans compter les blessés. Secondées par des forces de l'UA, les forces gouvernementales ont pilonné trois zones de Mogadiscio, contraignant des centaines d'habitants de la ville à abandonner leurs domiciles et à s'enfuir. Un gouvernement central puissant fait défaut à la Somalie, depuis 1991, date de la chute du dictateur Ziyad Bare. La guerre, la famine et la sécheresse ont fait, jusqu'à présent, plus d'un million de victimes, tandis que tous les efforts censés établir la sécurité, dans le pays, ont échoué.
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