Les résultats des « stress tests » étaient très attendus pour rassurer les marchés financiers affolés par la crainte d’un défaut de paiement de la Grèce sur sa dette. La publication des résultats est intervenue après la fermeture des bourses européennes. Huit banques européennes sur 90 ont échoué aux tests de résistance aux situations de crise économique et 16 ont réussi de justesse, a annoncé à Francfort l’Autorité bancaire européenne (ABE). Officiellement, les tests étaient destinés à évaluer la robustesse du système bancaire européen, et se fondaient sur des scénarios de crise élaborés en lien avec la Commission européenne et la Banque centrale européenne (BCE). Les hypothèses retenues ont été adaptées à la situation de chaque pays. Les établissements étaient jugés sur leur capacité à maintenir un certain ratio représentant au moins 5% de leurs prêts, investissements et autres actifs, même dans le scénario le plus défavorable. Ce seuil, « Core Tier 1 capital » selon le terme technique, doit permettre aux banques d’absorber des pertes imprévues, et constitue un outil d’évaluation important.
Selon l’ABE, sur les huit banques qui ont échoué aux tests, cinq se trouvent en Espagne, deux en Grèce et une en Autriche. Il s’agit des banques espagnoles Catalunya Caixa, Caja de Ahorros de Mediterraneo, Banco Pastor, Unnim et Grupo Caja, des banques grecques EFG Eurobank et ATEBank, et de la banque autrichienne Österreichische Volksbank.
Les banques qui ont réussi les tests de justesse ont été invitées à renforcer leurs finances, comme celles qui ont échoué. Les tests consistaient à simuler l’impact sur les finances des banques d’une récession durant laquelle la croissance chuterait de plus de 4 points de pourcentage en dessous des prévisions de l’Union européenne.
De nombreuses banques européennes sont impliquées dans la crise de la dette européenne dans la mesure où elles détiennent des milliards d’euros en obligations de pays vulnérables. Un défaut de paiement ou d’autres pertes liées à ces obligations risquerait d’entraîner un resserrement du crédit aux entreprises et particuliers, comme cela s’est produit en 2008 après la faillite de la banque d’investissement américaine Lehman Brothers, considérée comme le point de départ de la crise économique et financière mondiale.
Pour LIESI, nous parlerons de NATIONALISATIONS en 2012. Notre dernier numéro, sous pli, explique pourquoi le cartel bancaire, malgré les dissensions existant entre les différentes factions oligarchiques dominantes, veut maintenir le système jusqu’à l’aube de 2012. Contrairement à d’autres lettres confidentielles, nous confirmons le maintien d’un programme de Quantitative Easing. Tout est affaire de COMMUNICATION et les artificiers de notre époque savent faire en ce domaine… Entre-temps, le napoléon a grimpé de 200 à 240 euros en quelques jours ! Et savez-vous qui achète ? Les gros, ceux qui vous disent que les résultats de leurs sociétés seront dans les clous l’année prochaine… Là, la communication est INEXISTANTE, mais les cours des pièces d’or sont éclairants : leur évolution traduit « l’optimisme » des beaux-parleurs.
Selon l’ABE, sur les huit banques qui ont échoué aux tests, cinq se trouvent en Espagne, deux en Grèce et une en Autriche. Il s’agit des banques espagnoles Catalunya Caixa, Caja de Ahorros de Mediterraneo, Banco Pastor, Unnim et Grupo Caja, des banques grecques EFG Eurobank et ATEBank, et de la banque autrichienne Österreichische Volksbank.
Les banques qui ont réussi les tests de justesse ont été invitées à renforcer leurs finances, comme celles qui ont échoué. Les tests consistaient à simuler l’impact sur les finances des banques d’une récession durant laquelle la croissance chuterait de plus de 4 points de pourcentage en dessous des prévisions de l’Union européenne.
De nombreuses banques européennes sont impliquées dans la crise de la dette européenne dans la mesure où elles détiennent des milliards d’euros en obligations de pays vulnérables. Un défaut de paiement ou d’autres pertes liées à ces obligations risquerait d’entraîner un resserrement du crédit aux entreprises et particuliers, comme cela s’est produit en 2008 après la faillite de la banque d’investissement américaine Lehman Brothers, considérée comme le point de départ de la crise économique et financière mondiale.
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