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L’incompréhension de l’Islam à l’origine de l’extrémisme et du terrorisme dans le Sahel

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L’incompréhension de l’Islam à l’origine de l’extrémisme et du terrorisme dans le Sahel






‘‘L’Islam est innocent des actes terroristes, extrémistes et de violence’‘, a souligné Cheikh Mechria lors des travaux de la conférence internationale de solidarité des sociétés civiles des pays du Sahel avec le peuple malien.

M. Mechria qui a mis en évidence l’incompatibilité des principes de l’Islam avec les comportements des groupes terroristes, a précisé que ‘‘les organisations terroristes activant dans la région du Sahel sous prétexte de défendre l’Islam adoptent la voie de la violence et de l’agression ‘‘.

Insistant sur la nécessité de répandre la culture de la tolérance notamment auprès des générations futures, Cheikh Mechria a rappelé que la région du Sahel avait grand besoin du rôle positif des Ulémas au service de l’humanité et dans la protection de l’Islam.

Pour faire face à ses fléaux, Cheikh Mechria a préconisé ‘‘le rapprochement des ‘‘savants et érudits de la région’‘ afin de corriger certains concepts, utilisés à tort, par les groupes terroristes comme ‘‘le djihad’‘ ou ‘‘le salafisme’‘.

La conférence internationale de solidarité de la société civile des pays du Sahel avec le Mali, se tient du 16 au 17 à Alger. Quelque 300 invités dont 123 représentants d’organisations de la société civile des pays du Sahel ainsi que des personnalités africaines y prennent part.

Organisée par le Réseau algérien des amis du peuple malien, la conférence aborde des aspects spécifiques générés par la crise que vit le Mali : sauvegarde de l’unité du peuple malien et défense de l’intégrité territoriale du Mali, problème de la restauration des institutions constitutives de l’Etat malien, réconciliation nationale et cohésion sociale, assistance humanitaire aux réfugiés, reconstruction et co-développement dans les régions sinistrées.


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La Roumanie soupçonnée d’exporter vers l’UE des fruits contaminés par le virus d’hépatite

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La Roumanie soupçonnée d’exporter vers l’UE des fruits contaminés par le virus d’hépatite





La Roumanie est soupçonnée de livrer en Union européenne des baies contenant le virus d’hépatite A.

Un lot de fruits roumains a été retiré de la vente. Des coopératives agricoles en Pologne et en Bulgarie sont également soupçonnées de livrer des baies contaminées.

Une alerte a été décrétée à la suite de cet incident au sein du système alimentaire européen. Une vérification des nouveaux lots qui arrivent en Europe sont actuellement vérifiés. Bucarest nie toutes ces accusations.



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Le concours national de beauté revient en Algérie

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Le concours national de beauté revient en Algérie






Le concours Miss Algérie sera organisé dans ce pays du Maghreb le 21 juin prochain, après une interruption de 10 ans.

Une vingtaine de prétendantes âgées de 18 à 26 ans participeront à ce concours. Elles doivent avoir une taille d’au moins 170 cm, avoir des dimensions de poitrine 90-60-90 et savoir parler français.

La gagnante du concours Miss Algérie ne pourra pas présenter sa candidature au concours Miss Monde, car il est trop tard pour présenter la demande à ce concours, qui aura lieu en septembre.



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France: Gennevilliers – Tag étrange sur une église

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France: Gennevilliers – Tag étrange sur une église






D’après le site christianophobie.fr, ”des tags antichrétiens et antisémites ont été inscrits sur les murs de l’église Saint-Jean [des Grésillons] à Gennevilliers.”

C’est à notre connaissance la deuxième Eglise taguée par des inscriptions “pro-islam” en une semaine.

Argenteuil vit des événements tragiques en raison de l’agression de trois femmes voilées dont l’une a perdu son bébé suite à la violence de l’attaque.

La découverte d’armes chez un argenteuillais qui proférait des propos islamophobes sur facebook nous fait croire que la situation et le respect des différentes communautés risquent de se détériorer.

Bien sur, le tag sur une église par des musulmans n’a jamais été encore vérifié, tout comme l’identité des agresseurs des jeunes femmes voilées.

Il semblerait que ces affaires soient mises en oeuvre afin de pousser chrétiens et musulmans à s’opposer.


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Paris soutiendrait une candidature d'Israël à la Francophonie

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Paris soutiendrait une candidature d'Israël à la Francophonie






La France soutiendrait une candidature d'Israël pour adhérer à la Francophonie, a indiqué mercredi la ministre délégué à la Francophonie Yasmina Benguigui, même si celle-ci n'aurait guère de chances d'aboutir du fait de l'opposition du Liban.

"L'Etat d'Israël compte 700.000 francophones, la Francophonie y est vivante et active. S'il devait déposer une demande d'adhésion à l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF), la France accueillerait cette demande avec bienveillance", a déclaré Mme Benguigui à l'Assemblée nationale en réponse à une question de Meyer Habib, nouveau député UDI (centre) de la 8e circonscription des Français de l'étranger (Europe du sud) qui inclut Israël.
"Si des contacts diplomatiques ont pu avoir lieu entre Israël, l'OIF et ses Etats membres, il n'y a eu, en revanche, à ce jour aucune demande officielle formulée par l'Etat d'Israël pour adhérer à la Francophonie", a ajouté la ministre.

L'entrée d'Israël dans la Francophonie est un serpent de mer depuis des décennies. Sa candidature se heurterait en effet à l'opposition résolue du Liban. Or toute adhésion d'un nouveau pays doit obtenir le consensus des 57 Etats membres de l'OIF.




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Une délégation du Parlement européen annule une visite en Turquie

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Une délégation du Parlement européen annule une visite en Turquie






Une délégation du Parlement européen a annulé mercredi une visite prévue en Turquie en raison de déclarations très critiques faites par le gouvernement turc à l'encontre du Parlement européen.

"Face à des déclarations faites par des représentants du gouvernement turc, la délégation a décidé de reporter sa visite", a indiqué l'eurodéputé conservateur allemand Elmar Brok, qui devait diriger cette délégation.
"Je le regrette", a ajouté M. Brok. "La Turquie est et reste un partenaire important pour l'UE, mais elle doit savoir comment réagir aux critiques", a-t-il dit.

"Nous poursuivrons les contacts avec nos homologues turcs pour rétablir un dialogue constructif avec eux", a-t-il affirmé.

Une délégation de 13 eurodéputés de la commission des Affaires étrangères du Parlement européen devait se rendre à Ankara et dans le Kurdistan turc, à Diyarbakir, mercredi et jeudi. Les députés avaient prévu de rencontrer des représentants du gouvernement ainsi que des dirigeants de la Grande Assemblée nationale de Turquie, des partis de l'opposition, des groupes de réflexion ainsi que des représentants des médias.

Le chef de la diplomatie turque, Ahmet Davutoglu, avait jugé la semaine dernière "inacceptable" une résolution adoptée jeudi dernier par le Parlement européen qui critiquait un usage "excessif" de la force par la police turque contre les manifestants anti-gouvernementaux.
"Cette résolution, lorsqu'elle nous sera transmise, sera immédiatement rejetée", avait dit le ministre turc.

Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan avait également vivement critiqué la résolution des députés européens.
"Vous vous prenez pour qui? Avec quelle audace vous osez adopter une telle décision? Je ne la reconnais pas", avait lancé M. Erdogan, principale cible d'une contestation sans précédent qui agite la Turquie.

Dans leur résolution, les députés européens ont exprimé leur "profonde inquiétude" face à la "violence excessive" et à "l'intervention brutale de la police" contre des manifestations "pacifiques et légitimes".
Le Parlement "met en garde" par ailleurs le gouvernement d'Ankara contre l'adoption de "mesures sévères à l'encontre des manifestants pacifiques" et "exhorte le Premier ministre à adopter une position d'unité et de conciliation afin d'éviter toute aggravation de la situation".



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L'Internet – qui surveille qui?

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Les répercussions du scandale de la surveillance par les services de renseignement américains des citoyens de leur propre pays et d‘autres pays du monde qui a éclaté il a quelques semaines tendent à s‘amplifier de plus en plus.
L'Internet – qui surveille qui?
Comme l‘a déclaré un de ces jours dans le portail européen EurActiv l‘expert hollandais Peter Hustinx, commissaire européen en charge de la protection de données personnelles, les utilisateurs d‘internet sont illégalement surveillés même dans certains pays de l‘UE. En outre, les services de renseignement européens sont de plus en plus souvent tenus responsables de cette surveillance.

Comme le précise EurActiv, Peter Hustinx est un des auteurs de la réforme actuellement discutée en UE et visant à perfectionner la législation en matière de protection de données personnelles. Selon Hustinx, les prestataires de certains sites internet de l’UE pratiquent la collecte des soi-disant « cookies » ou fragments des données stockées dans la mémoire des ordinateurs et permettant de juger de la fréquentation de tels ou tels sites ainsi que des intérêts et des préférences des utilisateurs. La législation en vigueur interdit la collecte de ces données sans en avoir préalablement avisé les utilisateurs. Mais, toujours est-il, que selon Hustinx, cela se pratique uniquement concernant les visiteurs des sites de la Commission Européenne, du Parlement Européen ou du site EURES (Job Mobility Portal).

Toute porte à croire qu’il est difficile de savoir aujourd’hui qui surveille qui dans le web ou, du moins, dans sa partie européenne. Certes, estime le directeur exécutif du groupe allemand BITKOM Bernhard Rohleder, la coopération entre les services de renseignement s’impose aujourd’hui dans le domaine des communications électroniques contemporaines :

« Il est impossible de sécuriser du jour au lendemain internet à défaut de coopération entre les services de renseignements et les prestataires, - a dit Rohleder dans son interview à notre radio. – Mais toute la question est de savoir jusqu’où peuvent aller les décisions judiciaires et si les cas isolés tendent à se généraliser. »

Vladimir Anokhine, vice-président de l’Académie des problèmes géopolitiques, se montre, quant à lui, plus catégorique :

« Je pense que le terrorisme en tant que tel est le cas échéant un paravent très commode pour pratiquer une surveillance à grande échelle. Le but consiste à exclure les mouvements radicaux, à contrôler la vie sociale et j’en passe. En ce qui concerne les remous que cela provoque en Europe, il est, certes, humiliant de se sentir surveillé. Pourtant, la solidarité européenne et la prédominance des États-Unis ne permettront à personne d’esquisser une reculade. »

Tout porte à croire qu’il ne reste plus aux Européens qu’à se remémorer les sombres anti-utopies de l’écrivain britannique de SF Orwell compte tenu évidemment des acquis technologiques du XXIe siècle.



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Islamophobie à Argenteuil : “Au coeur de la psychose” (reportage)

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Islamophobie à Argenteuil : “Au coeur de la psychose” (reportage)
Suite aux trois agressions successives contre des femmes voilées à Argenteuil, l’équipe d’Islam&Info s’est déplacée afin d’aider les musulmans sur place.

Prévenus assez tôt des différentes agressions par des proches des familles, nous avions le devoir de retranscrire la détresse des habitants tout d’abord par écrit puis en vidéo.

Nos caméras ont suivi Sami, Abdelaziz, Elias, Kamel et d’autres…

Le Collectif des Habitants d’Argenteuil a décidé de prendre les choses en main.


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Merci Madame Wendy Sherman

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Merci Madame Wendy Sherman
Ca y est, les Etats-Unis ont parlé et il y en a qui ont été particulièrement attentifs à ce qu'a dit la sous-secrétaire d'Etat aux Affaires politiques, du haut du piédestal que lui offre les empressés dans l'allégeance. Il n'y a qu'à lire la couverture faite par certains journaux, le choix de leur titraille, pour se convaincre de la soumission ou de l'adhésion aux verdicts assenés par Mme Wendy Sherman. Autant de messages à destination des sollicitations à peine voilées des courants acquis à l'atlantisme conquérant. Du froid parfois, comme cette phrase où elle «souhaite un prompt rétablissement au président algérien qui est très connu aux Etats-Unis et… lui souhaite un retour immédiat» ou celle-ci où elle considère que «l'Algérie continue à avancer sur tous les fronts et (qu') il y a continuité». Ce qui n'a pas dû être accueilli avec enthousiasme par les catastrophistes de tout bord. Il y a aussi le fait que la dame, sachant les attentes en matière d'ingérence, coupe court aux sollicitations en disant : «Nous n'avons aucun rôle à jouer dans le choix du futur président qui, je le répète, revient au peuple algérien.» Au point où il faudrait peut-être lui dire merci de ne pas se mêler de ce qui ne la regarde pas, faute d'avoir des voix assez fortes pour lui demander ce qui l'autorise à un tel paternalisme. Ainsi lancée, elle ne se prive pas de donner des instructions sur tout. A commencer par cette appréciation : «L'Algérie peut mieux faire.» Ici, elle parle bien sûr de cette «démocratie», dont les néolibéraux de Wall Street et d'ailleurs ont le secret. Tant pis, s'il y en a qui la prennent au pied de la lettre et considèrent qu'elle se préoccupe des droits du peuple algérien. Dans le même temps, elle donne une lueur d'espoir à ceux qui désespèrent du «changement» venu d'ailleurs, qui ne se sont pas privés de décortiquer la moindre tournure de phrase, le moindre mot pour y déceler les menaces traditionnellement adressées aux Arabes et assimilés, celles qui font qu'un pays soit éligible au «printemps». Parfois, Mme Sherman leur a facilité la vie, comme quand elle conditionne les élections par leur transparence et leur régularité. Non pas qu'il faille prendre la chose au mot, mais pour y voir le maintien du discrédit à l'égard du pouvoir en place. La chasse à la fraude essentielle est donc permise, par le seul fait qu'il sera bien de prouver à la " «communauté internationale» que la victoire d'un FLN/RND est toujours sujette à caution. La «démocratie» ne pouvant être prouvée et assurée que par l'élection d'un patenté de la presse «démocratique» et des plateaux d'outre-mer. Ce faisant, les fondements du discours étatsunien sont occultés, même s'ils déterminent tout le reste. En ce sens et pour le moment, les Etats-Unis estiment avec raison qu'ils obtiennent tout ce qu'ils veulent du gouvernement algérien. La pleine coopération dans la gestion stratégique de la région, l'inscription dans les plans de «sécurisation» de l'Afrique subsaharienne, de la Tunisie et de la Libye et, par-dessus tout, la «levée des obstacles» devant l'avancée des forces du marché.


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Racisme israélien: l'occupation légifère l'attaque des chiens contre les ouvries palestiniens

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L'armée de l'occupation israélienne voit que l'attaque des chiens contre les Palestiniens désarmés est une action légitime, ce qui a poussé l'organisation "B'Tselem" de porter plainte une autre fois aux autorités de l'occupation israélienne réclamant l'arrêt de ce genre d'agression en utilisant les chiens afin de terrifier les ouvrier palestiniens.

 Cette mesure vient après que l'armée israélienne a utilisé les chiens dans son agression contre les Palestiniens qui ont tenté de pénétrer dans les territoires palestiniens occupées en 1948, ce qui a causé leur blessure et transfert à un hôpital israélien pour le soin.

La directrice générale de "B'Tselem" , Jaseka Montol, a déclaré dans une lettre adressée au conseiller juridique de l'armée israélienne en Cisjordanie occupée, que l'utilisation des chiens à attaquer les Palestiniens est immorale et inacceptable, alors qu'il est un dangereux moyen non contrôlé, ce qui sème la crainte dans les cœurs des habitants et cause des blessures dangereuses pour des citoyens dans des cas déterminés.

La lettre discute de la cause de trois jeunes hommes palestiniens appartiennent au village de Beit Wala qui sont arrivés, le soir  de 15 mai dernier, au mur de séparation pour entrer dans la Palestine occupée en 1948, afin de chercher un travail, mais dès que les soldats israéliens remarquèrent leur existence, et leur demandant de s'arrêter, ils ont tenté de fuir.
Mais les soldats israéliens ont ouvert le feu sur eux, blessant l'un deux eux au pied avec une balle en caoutchouc, avant avoir lancé les chiens pour les attaquer, en leur causant de graves blessures, où ils ont été transférés par une ambulance israélienne à l'hôpital de Barzilai pour le soin et le lendemain, on a ouvert un dossier contre eux dans le tribunal militaire d'Ofer


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Les secrets stratégiques et nucléaires israéliens sur Internet !

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Un groupe d’intellectuels et de journalistes israéliens ont créé un site sur Internet sur lequel ils dévoilent tous les secrets stratégiques de l’Etat hébreu, y compris les lieux des armes atomiques.


Le groupe qui s’est donné le nom d’Armageddon a recueilli beaucoup d’informations très sensibles sur les armes stratégiques d’"Israël", ainsi que les endroits de leur fabrication et leur conservation.

Le site, en hébreu, publie des cartes détaillant les lieux des armes nucléaires possédées par "Israël", les lieux de leur conservation.

Le groupe, qui lutte pour un Moyen-Orient sans armes nucléaires, biologiques et chimiques, confirme qu’il a l’appui de personnalités en dehors du groupe à l’exemple du député Dof Hanine du Front démocratique de la paix et de l’égalité.

Et pour échapper à toute censure militaire israélienne, le nouveau site est hébergé par une entreprise australienne dont le nom est resté inconnu.

Selon le site, ces dernières années, la menace nucléaire est devenue trop forte. L’opinion israélienne ne sait quasiment rien sur ce sujet tellement sensible, à cause de la politique de désinformation adoptée par l’Etat israélien. Il est alors temps d’agir, dit le groupe.

Se concentrer sur le nucléaire n’est pas été choisi pour contrarier la loi, dit un membre du groupe, mais pour mettre le public au courant, car les autorités israéliennes procèdent de façon permanente à un lavage de cerveau en ce qui concerne les armes nucléaires. Les médias israéliens ne donnent aussi que des informations fausses.

Le député Hanine pense, lui aussi, que le sujet de ces armes doit être connu par le public, car tarder à le faire donnera plus de fils à retordre à "Israël".

Le responsable du site croit qu’"Israël" devient de plus en plus une déchetterie nucléaire. Il attire l’attention sur le fait qu’"Israël" serait effacé de la carte dans le cas d’un tremblement de terre sur la ligne africo-syrienne.

Le bureau du porte-parole de l’armée israélienne dit qu’un contrôle de la légitimité du site est en train d’être effectué.

Remarquons enfin que la page principale du site affiche une carte montrant les sites et les centrales nucléaires israéliens. Et dans le port de Haïfa, plusieurs sous-marins nucléaires accostent. Et sur le terrain de l’aérodrome de Tel Nov, des avions chasseurs nucléaires s’alignent. Et partout dans l’Etat hébreu, des armes nucléaires sont amassées, même dans le mont syrien occupé du Golan.

Article paru dans le journal hébreu Yediot Ahronot, le vendredi 14 juin 2013, traduit et résumé par le département français du Centre Palestinien d’Information (CPI)


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Le Parlement européen s'engage pour la liberté de religion

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Le Parlement européen s'engage pour la liberté de religion
Que les toxicomanes de la souveraineté nationale ne se piquent pas une crise d’angoisse… Que les accros des bénitiers laïcards ne se prennent pas le chou... Ce dont nous allons parler n’est pas une loi, mais juste une recommandation du Parlement européen. C'est la phase des préliminaires.
Le Parlement européen prend position pour la promotion de la liberté de religion. Merci de ne pas s’énerver… Chères sœurs, chers frères, lisons la divine… euh la juridique parole.
Pour les archivistes, il s’agit de la délibération 2013/2082 (INI) que vous trouvez ci-dessous.
Cette excellente recommandation vise la trop méconnue déclaration des Nations Unies sur l’élimination de toutes les formes d'intolérance et de discrimination fondées sur la religion ou la conviction. Ce genre de raisonnement s’étend, et c'est très bien.
Les Etats signent de magnifiques textes quand ils sont dans les conférences internationales, et quand ils sont retour au pays, ils prennent leur masque grincheux de Sarko-Valls, et écrivent des lois en regardant les sondages sur les votes du FN (A propos : Marine bientôt en correctionnelle, privée de son immunité pour islamophobie). Ces actes internationaux n’ont certes pas de force directe en droit interne, mais les Etats qui signent ces textes ne peuvent faire l’inverse avec leurs petites lois. Oki ? Très bien, on a bien progressé.
Le Parlement vise aussi nombre d’autres travaux préparatoires : conclusions du Conseil de 2009 et de 2011 sur l'intolérance, la discrimination et la violence fondées sur la religion ou la conviction, plan d'action de l'Union européenne en faveur des droits de l'homme et de la démocratie, adoptés par le Conseil le 25 juin 2012, communication conjointe au Parlement européen et au Conseil du 12 décembre 2011 intitulée "Les droits de l'homme et la démocratie au cœur de l'action extérieure de l'UE–Vers une approche plus efficace" (COM (2011) 0886).513-laicité.jpg
Là, commencent les choses sérieuses.


Première étape : pourquoi agir ?
1/ Le droit à la liberté de religion ou de conviction, y compris lorsqu'il s'agit de convictions théistes, non théistes et athées, le droit de ne professer aucune religion ou conviction et le droit de changer de religion ou de conviction est un droit humain universel et une liberté fondamentale de tout être humain […]».
2/ Conformément aux normes de droit international, tous les États ont l'obligation de protéger efficacement l'ensemble de leurs citoyens et toutes les personnes relevant de leur juridiction. Or, il est notoire, dans certaines régions du monde, que des persécutions sont perpétrées à l'encontre des personnes et de leur famille, des communautés, des lieux de culte et des institutions, notamment chrétiennes, fondées sur leur pratique religieuse particulière, leurs convictions ou toute autre expression publique légitime de leur religion ou conviction.
3/ La discrimination fondée sur la religion ou la conviction est encore pratiquée dans toutes les régions du monde, y compris en Europe et dans son voisinage, et que de nombreux pays continuent de priver de leurs droits fondamentaux, de discriminer, de mettre aux arrêts, de condamner, voire d'exécuter, des personnes appartenant à certaines communautés religieuses, notamment à des minorités religieuses, ainsi que des non-croyants.


Deuxième étape : Les recommandations9782802722632FS.gif
D’une manière générale
Les lignes directrices devraient souligner que le droit de chacun d'exercer seul ou collectivement sa liberté de religion ou de conviction constitue un élément indispensable de la liberté de religion ou de conviction et comprend notamment :
- la liberté de pratiquer un culte ou de tenir des réunions se rapportant à une religion ou à une conviction et d'établir et d'entretenir des lieux à ces fins ;
- la liberté de fonder et d'entretenir des institutions religieuses, médiatiques, éducatives, sanitaires, sociales, charitables ou humanitaires appropriées;
- la liberté de solliciter et de recevoir des contributions volontaires, financières et autres, de particuliers et d'institutions;
- la liberté de former, de nommer, d'élire ou de désigner par succession les dirigeants appropriés, conformément aux besoins et aux normes de toute religion ou conviction;
- la liberté d'établir et de maintenir des communications avec des individus et des communautés en matière de religion ou de conviction aux niveaux national et international.
Education
Conformément aux normes internationalement reconnues, les parents ou tuteurs légaux d'un enfant veillent librement à ce que celui-ci reçoive une éducation religieuse et morale conforme à leurs convictions, et l'enfant ne doit pas être contraint de se voir dispenser une telle éducation contre la volonté de ses parents ou de ses tuteurs légaux.9782012792807_1_75.jpg
Le droit des parents d'éduquer leurs enfants selon leurs convictions religieuses ou non religieuses inclut leur droit de refuser toute forme d'ingérence indue qu'exerceraient des acteurs publics ou privés dans leur éducation et qui irait à l'encontre de leurs convictions religieuses ou non religieuses.


Droit familial et social

L'Union européenne devrait accorder une attention particulière à la discrimination fondée sur la religion ou la conviction dans le droit familial et social des pays tiers, notamment mais pas exclusivement en ce qui concerne le droit au mariage et le droit de garde des enfants.

Asile
L'Union européenne doit encourager les Etats à accepter des réfugiés victimes de persécutions en raison de leur religion ou de leur conviction et à leur accorder l'asile, notamment lorsqu'ils sont menacés de mort ou de violences. Les États membres devraient accroître leurs efforts pour accepter des réfugiés persécutés en raison de leur religion ou de leur conviction. 
*   *   *
C'est une excellente initiative du parlement européen.
Les croyances sont des trésors de nos vies, et la loi doit les protéger. L'Europe a une très grande expérience, alors qu'elle agisse, quitte à heurter les délires nationaux construits sur la manipulation de l'opinion. Ce n'est pas plus compliqué.
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http://lesactualitesdudroit.20minutes-blogs.fr/

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Ils voient des "complotistes" partout (et des complots nulle part)

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Ils voient des

Rebelote.

Après le calamiteux débat non-contradictoire qui s’était tenu en septembre dernier, la revue dénommée La Règle du jeu a récidivé dimanche en organisant un nouveau "séminaire" sur la question fallacieuse du "conspirationnisme".

Intitulé de cette rencontre-entre-soi : "Radicalisation politique et théories du complot". Autour de l’inénarrable Alexis Lacroix, les deux invités du jour, Rudy Reichstadt et Guy Konopnicki, ont déployé leur talent sophistique pour fustiger plusieurs cibles, prises en vrac: Reopen911, Alain Soral, Dieudonné, American Free Press, Thierry Meyssan, Serge Ayoub, La Manif pour tous, Christine Boutin, Dominique Venner, Patrick Buisson, la Droite forte, René Balme, Jean-Luc Mélenchon, Robert Ménard, les Indigènes de la République, etc… Alexis Lacroix évoque, à propos de certains d’entre eux, une «Internationale de l’abjection» férue -par antisionisme réel ou supposé- de la «Reductio Ad Netanyahum».

Une cerise sur le gâteau: présenté comme un "politologue" et fondateur de Conspiracy Watch -site dévolu à la diabolisation de toute remise en question des versions officielles atlanto-sionistes, Rudy Reichstadt -venu faire le compte rendu scolaire d’un pseudo-rapport publié par un think-tank anglo-saxon et consacré au "complotisme" des Français- a fait incidemment savoir, avec une infinie délicatesse (à 11’55), qu’il réfutait -une nouvelle fois- le qualificatif de "crypto-neoconservateur" employé à son sujet par l’auteur de ces lignes.

Un regret : l’absence au "débat" -pour des raisons de santé- de Pierre-André Taguieff, un éminent "spécialiste" du sujet.

Un moment cocasse : abordant le cas particulier de l’ultra-sioniste islamophobe Bat Ye’or (citoyenne britannique d’origine égyptienne), Alexis Lacroix bafouille (à 1h28mn44s) et parle d’un «conspirationnisme israélien, euh, enfin, disons un conspirationnisme de production intellectuelle israélienne dans les franges, disons, radicales de la droite israélienne» et de conclure «Y’a pas que des antisionistes parmi les complotistes, y a aussi -malheureusement- des sionistes extrêmes».


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Israël construit des colonies... Abbas les protège

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Le responsable de l’OLP Nabil Shaath a jeté une bombe cette semaine quand il a déclaré aux journalistes israéliens à Ramallah que l’Autorité palestinienne (AP) consacrait une grande partie de son maigre budget à financer la protection des colonies israéliennes contre d’éventuelles attaques par des combattants de la résistance palestinienne. Shaath, connu pour son honnêteté et sa franchise, a dit ainsi que l’AP dépense plus d’argent pour la protection des colonies israéliennes que pour l’enseignement et la santé dans les territoires occupés
Israël construit des colonies... Abbas les protège
Des porte-parole du Fatah ont dit que Shaath avait essayé de dire à l’opinion israélienne que l’AP faisait tout ce qu’elle pouvait pour maintenir la paix et respecter les accords signés avec Israël.

C’est véritablement consternant, mais pas surprenant, c’est un aveu qui devrait embarrasser tous les Palestiniens, surtout ceux qui accordent encore à l’AP le bénéfice du doute et qui pensent que l’OLP est toujours l’unique représentant légitime du peuple palestinien.

Nous savons tous que l’AP remplit l’espace avec des réclamations interminables à propos de l’expansion de la colonisation juive. Alors on peut se demander comment le monde va pouvoir prendre l’AP au sérieux après cette révélation scandaleuse, laquelle illustre vraiment la schizophrénie morale et politique qui submerge la direction OLP-AP. D’autres, moins diplomates, ne vont pas hésiter à envisager la question sous l’angle d’une trahison éhontée envers le peuple palestinien et son aspiration à l’indépendance et la liberté.

L’AP s'appelait elle-même autrefois « l’Autorité nationale palestinienne ». Maintenant, « État de Palestine » remplace « AP » comme nom officiel du régime semi-autonome. Malheureusement, les deux noms sont vidés de leur substance alors que l’occupation israélienne se poursuit pour contrôler chaque rue, chaque quartier en Cisjordanie .

Il est vraiment honteux que le régime de l’AP recherche toujours à apaiser les occupants israéliens, non seulement en allouant une aide financière durement gagnée ou politiquement motivée pour protéger les colonies juives, mais aussi pour continuer à arrêter et à rafler les Palestiniens considérés favorables aux groupes islamiques.

C’est en réalité plus que scandaleux. Au bout du compte, nous protégeons les tueurs d’enfants, les voleurs de terre et les terroristes qui vandalisent nos mosquées et mettent le feu à nos champs de céréales et nos vergers.

Quant au terrorisme contre les Palestiniens, au nom d’Israël, il montre que l’AP marche décidément au doigt et à l’oeil avec Israël, ce qui veut dire que l’AP est responsable devant le régime sioniste, ses coups de tête et ses caprices, alors que c’est au peuple palestinien que le régime de Ramallah doit rendre des comptes.

Outre la dimension politique, on n’arrive pas à trouver les mots justes pour qualifier le scandale de la volonté de l’AP de dépenser des centaines de millions de dollars pour assurer la sécurité des colonies israéliennes en Cisjordanie , où plus de 70 % des Palestiniens vivent sous le seuil de la pauvreté.

Surtout, l’AP, y compris le gouvernement conduit par Rami Hamdallah, n’a pas le courage de dire la vérité aux masses palestiniennes sur sa soumission ombilicale à Israël.

Au lieu de cela, l'Autorité palestinienne continue de se livrer à une rhétorique mesquine et mensongère sur l'Etat palestinien, alors que même les observateurs les plus occasionnels ont fini par réaliser qu'établir un Etat viable et territorialement contigu n'est plus une probabilité réaliste, à la lumière de l'expansion massive des colonies juives et du refus catégorique d'Israël d'accepter le moindre compromis qui permettrait au peuple palestinien de récupérer ne serait-ce qu'une petite partie de ses droits usurpés.
 
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Répression d'une manifestation contre l'AP par les mercenaires palestiniens à Ramallah, juillet 2012


En fait, l'Autorité palestinienne ne trompe pas que le peuple palestinien. Elle trompe aussi les Etats arabes et l'opinion publique musulmane, en répétant que l'aide financière arabe renforcerait la détermination palestinienne et contrecarrerait les plans sionistes colonialistes. Eh bien, la vérité, la vérité toute nue, c'est que l'argent de l'aide arabe et non-arabe sert à améliorer la sécurité des colonies juives, et non à renforcer la détermination palestinienne.

Alors, la prochaine fois qu'un responsable de l'AP viendra réclamer davantage d'argent aux pays arabes, il faudra lui demander combien l'AP a dépensé pour l'éducation, plutôt que pour la protection de colons juifs néo-nazis farouchement déterminés à éradiquer notre peuple de sa patrie ancestrale.

Le peuple palestinien, complètement épuisé par une débacle économique et trompé par la communauté internationale comme par ses propres dirigeants, devrait aussi demander des comptes à l'AP et l'interroger sur le bien-fondé du maintien et du financement de 70.000 agents de sécurité dont le boulot principal est de protéger la sécurité des colonies israéliennes.

Cette semaine, le ministre de l'Economie de l'AP aurait rencontré son homologue israélien et aurait accepté davantage de "coordination économique". Preuve que l'AP n'apprend jamais de ses erreurs.

Après les malheureux accords d'Oslo, l'OLP avait promis au peuple palestinien que la Cisjordanie et la Bande de Gaza allaient devenir les Hong Kong et Singapour du Moyen-Orient. La vérité en la matière, c'est que les territoires occupés sont en fait devenus la Somalie du monde arabe, avec une pauvreté, une déblacle économique et un chômage atteignant des sommets inégalés auparavant.

L'ex Premier ministre de l'AP, Salam Fayyad, a fini par en venir à la conclusion qu'il est impossible de bâtir une économie prospère sous une sinistre occupation militaire étrangère.

Aujourd'hui, le nouveau gouvernement à Ramallah marche dans la même voie, qui s'est avérée catastrophique, pensant que les Palestiniens peuvent arriver à une prospérité économique en l'absence de souveraineté et de liberté de circulation.

D'un point de vue politique, l'establishement OLP-PA se comporte comme Alice au Pays des Merveilles. Les responsables de l'AP, y compris le président Mahmoud Abbas, continuent de faire des déclarations quotidiennes affirmant qu'il y a encore une chance de parvenir à un règlement pacifique de l'interminable conflit, alors que chaque observateur et chaque expert, palestiniens et israéliens confondus, savent bien que le temps de la paix est passé, à cause de l'expansion coloniale massive.

Alors, pourquoi l'OLP-AP refuse-t-elle de voir l'évidence ? Sont-ils aveugles ? Ou ivres ? Ou stupides ?



Traduction : MR pour ISM / CZ pour Info-Palestine

Source : Palestine Info


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NON au terrorisme sioniste contre le Musée du Jeu de Paume !

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NON au terrorisme sioniste contre le Musée du Jeu de Paume !
Alertes à la bombe, menaces de mort, nervis essayant de pénétrer de force dans le musée, pourquoi une telle complaisance de nos dirigeants face à ces actes terroristes parce qu’un musée accueille l’oeuvre d’une artiste palestinienne internationalement reconnue ? Le Monde, la revue Paris-Art, l’Humanité, Médiapart, s’indignent à juste titre. Nous appelons nos lecteurs à interpeller la ministre de la culture, Aurélie Philipetti qui ne semble pas comprendre la gravité de ces méthodes.
Le Monde :
"Mardi 18 juin, une alerte à la bombe, suivie d’une évacuation et d’une intervention de la police, a perturbé le centre d’art du Jeu de paume, à Paris. "Nous en avons déjà eu une première vendredi 14 juin, soupire la directrice, Marta Gili. Nos équipes se font harceler". Dimanche 16 juin, des perturbateurs avec des drapeaux israéliens avaient déjà tenté de pénétrer de force sur place. Une plainte a été déposée après des menaces de mort. La directrice se dit "choquée de voir que des gens peuvent utiliser la violence pour fermer une exposition". Elle souligne que l’exposition "Foyer fantôme" a déjà été présentée au MACBA de Barcelone (Musée d’art contemporain) sans problème."
http://www.lemonde.fr/culture/artic...
Paris-Art.com : Jeu de Paume : terreur dans la culture
15 juin 2013 - Numéro 419
"L’exposition « Phantom Home » de l’artiste palestinienne Ahlam Shibli, au Jeu de Paume à Paris, donne lieu à de vives réactions de la part de certains secteurs de la communauté juive, en particulier du Crif qui dénonce une « apologie du terrorisme ». Après des protestations officielles adressées à la directrice du musée et à la ministre de la Culture, une véritable offensive s’est enclenchée : clameurs dans les réseaux sociaux, appel à manifester devant le musée, déferlement d’e-mails et d’appels téléphoniques insultants. Et maintenant : alerte à la bombe, et menaces de mort. Halte à la terreur contre la culture !"
http://www.paris-art.com/art-cultur...
Médiapart : La censure est de retour
"Accusée par certains de faire l’apologie du terrorisme, l’exposition de l’artiste palestinienne Ahlam Shibli au musée du Jeu de Paume, à Paris, fait plutôt « craindre une nouvelle vague de terrorisme moral », redoute Emmanuel Alloa, philosophe et théoricien de l’image, directeur de séminaire 2012/2013 au Jeu de Paume.
Après l’affaire du Concept du visage du fils de Dieu du metteur en scène italien Romeo Castellucci, où des intégristes catholiques étaient presque parvenus à faire déprogrammer au Théâtre de la Ville de Paris ce spectacle accusé de « christianophobie », c’est au tour de l’exposition de l’artiste palestinienne Ahlam Shibli, qui vient de s’ouvrir au Jeu de Paume, aux Tuileries, de faire craindre une nouvelle vague de terrorisme moral. Depuis son inauguration, les menaces sont quotidiennes et le musée a dû être fermé, vendredi soir, pour une alerte à la bombe : l’exposition est incriminée de faire « l’apologie du terrorisme », notamment par la Ligue de défense juive (LDJ). Comble du paradoxe, bien sûr, quand on sait que cette association, interdite aux Etats-Unis et en Israël, avait attaqué physiquement les spectateurs d’une pièce palestinienne en 2009, dans le VIIe arrondissement, et qu’un de ses commandos avait pénétré au Musée d’art moderne de la ville de Paris en 2010, pour saccager l’exposition du photographe allemand Kai Wiedenhöfer dédiée aux conditions de vie dans la bande de Gaza."
Bien sûr, on pourra toujours dire que ces sont là des groupuscules marginaux et d’ailleurs, les “ bien-pensants ” ne manquent pas de se démarquer de leur violence. Mais ils n’en demandent pas moins la déprogrammation de l’exposition, à grands renforts venant de l’étranger. Etrange, quand on sait que pendant toute la période pendant laquelle l’exposition avait été montrée précédemment au Musée d’art contemporain de Barcelone, celle-ci n’avait pas suscité la moindre polémique… En quoi font-elles donc scandale, aujourd’hui, en France, ces photos d’Ahlam Shibli et en quoi feraient-elles « l’apologie du terrorisme » ? Il est peu probable que ce soit la série sur les commémorations de la Seconde guerre mondiale à Tulle, en Corrèze, ni celle sur les orphelinats en Pologne, ni même sans doute celle sur les homosexuels et transsexuels au Proche-Orient.
http://blogs.mediapart.fr/edition/l...
Jeu de paume, les censeurs de l’art ne l’emporteront pas !
"Menaces, alertes à la bombe... des organisations extrémistes juives se déchaînent contre les travaux d’une artiste palestinienne exposée à Paris.
L’art, en France, ne pourrait donc plus déranger, poser un questionnement critique, décortiquer la complexité de ce monde, aller chercher ce qu’on veut nous cacher sous peine d’être menacé, terrorisé, empêché, interdit  ? C’est la conception antidémocratique qu’en ont, en tout cas, des organisations extrémistes juives, qui, ces derniers temps, ont tenté par les moyens les plus effrayants d’empêcher l’accès à plusieurs expositions artistiques  : en 2010, au musée d’Art moderne de la Ville de Paris, lors de l’exposition de Kai Wiedenhöfer, prix Carmignac gestion du photojournalisme, qui montrait les jeunes Palestiniens estropiés, mutilés à la suite de l’opération «  Plomb durci  »  ; en 2012, à Angoulême, où le photojournaliste Frédéric Sautereau, qui montrait un remarquable travail complexe poursuivi depuis dix ans sur le Hamas, avait été harcelé physiquement, et aujourd’hui encore sur le Net, par ces mêmes organisations.
Que fait la ministre ?
Plus grave, les intellectuels, le monde de la culture sont lents à se dresser pour défendre la démarche artistique du Jeu de paume, sa directrice et ses équipes salies, harcelées, menacées de mort. Quant à la ministre de la Culture, qui n’avait formulé aucune réserve lors de sa visite de l’exposition, elle s’est fendue, vendredi dernier, à l’heure où personnel et public étaient évacués à la suite d’une alerte à la bombe, d’une déclaration, qui, loin de défendre le droit à l’expression et au débat, demande maintenant au Jeu de paume, de prendre position sur l’œuvre qu’il a lui-même coproduite à l’occasion de cette exposition. Où va-t-on si les musées doivent désormais se démarquer du droit d’expression des artistes qu’ils exposent  ? Quel est ce point de vue neutre, consensuel, qu’ils devraient exprimer pour qu’il n’y ait pas de vagues  ? N’est-ce pas le contraire que l’on demande à l’art qui, particulièrement dans ce pays, nous fait réfléchir, douter en perturbant nos certitudes  ?
L’objet de tant de haine, c’est «  Foyer fantôme  », rétrospective d’Ahlam Shibli, une Palestinienne de Haïfa née en 1970 en Galilée. Celle-ci a choisi d’explorer, grâce à la photo documentaire, la place centrale qu’occupent, au sein de l’imaginaire palestinien, les morts de la seconde Intifada. Six séries s’attachent ainsi notamment aux homosexuels, lesbiennes et transgenres forcés de fuir leurs pays orientaux  ; au sort peu enviable des Bédouins palestiniens engagés dans l’armée israélienne et considérés comme des traîtres des deux côtés  ; aux survivants corréziens des camps de la mort ou aux descendants des pendus de Tulle qui, au gré de l’histoire, se sont retrouvés combattants en Algérie ou en Indochine, donc bourreaux après avoir été victimes  ; enfin, à la tragique condition des disparus palestiniens, effacés des radars, qu’ils soient en prison, morts au combat ou auteurs d’attentats-suicides.
« Martyr » « Palestinien »
Cette dernière série, Death, qui n’a suscité de réactions négatives ni en Espagne, où elle vient d’être montrée, ni de la part de l’ambassadeur d’Israël en France, venue la découvrir et en discuter, se voit décontextualisée du reste de l’exposition par ces extrémistes et détachée de la cohérence d’une programmation qui a accueilli, depuis trois ans, des talents aussi forts et exigeants que Sophie Ristelhueber, Esther Shalev Gerz, Bruno Serralongue, Ai Weiwei…
Les responsables de ces organisations extrémistes vont même jusqu’à programmer une manifestation, le 30 juin prochain. Ce faisant, ils ne tiennent aucun compte de l’avertissement affiché dans la dernière salle du centre d’art, lequel insiste sur les cartels, inséparables des images, d’une artiste qui ne se pose pas en militante, qui ne dénonce ni ne juge, mais qui travaille sur l’iconographie des non-représentés dans les camps de réfugiés de Naplouse et des alentours. Ces disparus s’affichent sur les murs des cafés qu’ils fréquentaient, dans les salons de leurs familles ordinaires devenues soudain hyper-vénérées. Dans ces «  foyers fantômes  », les enfants grandissent ainsi devant les images envahissantes de ces absents, plus présents que les vivants et montrés éternellement jeunes, dans des poses héroïques, armés jusqu’aux dents. Un travail très singulier sur la représentation. Un travail suscitant le questionnement. Un travail sur l’utilisation du souvenir et sur une situation si désespérée que les mots «  martyr  » et «  Palestinien  » seraient, dans les Territoires occupés, devenus synonymes…
Curieux propos de la ministre La ministre conclut ainsi son communiqué  : «  L’artiste explique vouloir “montrer” et non “dénoncer” ou “juger”, et indique que son travail n’est ni de la propagande ni une apologie du terrorisme, mais explore la manière dont les Palestiniens disparus sont représentés dans des espaces publics et privés, et retrouvent ainsi une présence dans leur communauté. Cette neutralité revendiquée peut, en elle-même, choquer et donner lieu à de mauvaises interprétations, puisqu’elle n’explique pas le contexte des photographies, qui n’est pas seulement celui de la perte, mais qui est aussi celui du terrorisme.  » C’est pourquoi, pour éviter toute confusion et toute caricature, le ministère de la Culture et de la Communication a demandé au Jeu de paume de compléter l’information donnée aux visiteurs pour, d’une part, clarifier et mieux expliquer le propos de l’artiste, et d’autre part, distinguer la proposition de l’artiste de ce qu’exprime l’institution.
Jusqu’au 1er septembre.
http://www.humanite.fr/culture/jeu-de-paume-les-censeurs-de-l-art-ne-l-emporteron-544031
Ne laissez pas la ministre de la culture croire que tous les citoyens apprécient ce type d’intimidation. Dites-lui de ne pas céder au chantage et de demander les moyens nécessaires, ceux que nous finançons avec nos impôts, afin de protéger le musée du jeu de Paume, ainsi que ses visiteurs.
Ecrivez-lui à sp.ministre@culture.gouv.fr
CAPJPO-EuroPalestine

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Nouvel Ordre Mondial: JP Morgan (Rockefeller) demande plus d’autoritarisme aux gouvernements européens…

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Nouvel Ordre Mondial: JP Morgan (Rockefeller) demande plus d’autoritarisme aux gouvernements européens…
Pour ceux qui en doutaient encore: Les banksters, l’économique, ont phagocyté le politique depuis belle lurette. Leurs diktats sont suivis à la lettre par les larbins de la politique. Croire encore que voter c’est pouvoir changer quoi que ce soit n’est même plus de la naïveté mais quasiment de la complicité de crimes contre l’humanité !
La banque JP Morgan Chase est la résultante de la fusion des intérêts financiers des familles Morgan et Rockefeller, gérés par les Rockefellers… Ces mêmes ordures étaient déjà derrière le financement de la révolution russe de 1917 avec Lénine et Trotski, d’Hitler, puis de Staline et de Mao.
Ces mêmes criminels monopolistes imposent maintenant les états policiers partout pour vérouiller la grille de surveillance de leur gouvernance mondiale tant souhaitée par les sbires tels Attali and Co…
A un moment donné, il faudra bien que les peuples se réveillent et reprennent les commandes, sans intermédiaire !..
– Résistance 71 –
 
JP Morgan réclame des régimes autoritaires en Europe
 
Dans un document publié à la fin du mois de mai, le géant des banques d’investissement américain JPMorgan Chase réclame l’abrogation des constitutions démocratiques bourgeoises établies après la Seconde Guerre mondiale dans une série de pays européens et la mise en place de régimes autoritaires. Le document de 16 pages a été réalisé par le groupe Europe Economic Research de JPMorgan et est intitulé « L’ajustement de la zone euro – bilan à mi-parcours. » Le document commence par faire remarquer que la crise de la zone euro a deux dimensions.
Pour commencer, il affirme que des mesures financières sont nécessaires pour garantir que les principales institutions d’investissement comme JPMorgan puissent continuer à engranger d’énormes bénéfices de leurs activités spéculatives en Europe. Ensuite, les auteurs soutiennent qu’il est nécessaire d’imposer des « réformes politiques » destinées à supprimer l’opposition aux mesures d’austérité massivement impopulaires qui sont appliquées au nom des banques.
Le rapport exprime sa satisfaction vis à vis de l’application par l’Union européenne d’un certain nombre de mécanismes financiers visant à garantir les intérêts bancaires. A cet égard, l’étude souligne que la réforme de la zone euro en est pratiquement à mi-chemin. Mais le rapport réclame aussi davantage d’action de la part de la Banque centrale européenne (BCE).
Depuis l’éruption de la crise financière mondiale de 2008, la BCE débloque des milliers de milliards d’euros en faveur des banques pour leur permettre d’effacer leurs créances douteuses et de redémarrer une nouvelle série de spéculations. En dépit d’une pression grandissante venant des marchés financiers, le chef de la BCE, Mario Draghi a déclaré l’été dernier qu’il ferait le nécessaire pour consolider les banques.
En ce qui concerne les analystes de JPMorgan, ceci n’est cependant pas suffisant. Ils exigent de la part de la BCE une « réponse plus spectaculaire » à la crise.
Les critiques les plus dures du document sont cependant formulées à l’égard des gouvernements nationaux qui ont mis bien trop de temps à appliquer le genre de mesures autoritaires nécessaires à l’imposition de l’austérité. Le processus d’une telle « réforme politique » précise l’étude, a « même à peine commencé. »
Vers la fin du document, les auteurs expliquent ce qu’ils entendent par « réforme politique. » Ils écrivent : « Au début de la crise l’on avait pensé que ces problèmes nationaux hérités du passé étaient en grande partie d’ordre économique, » mais « il est devenu manifeste qu’il y a des problèmes politiques profondément enracinés dans la périphérie qui, à notre avis, doivent être changés si l’Union monétaire européenne (UME) est censée fonctionner à long terme. »
Le document détaille ensuite les problèmes existant dans les systèmes politiques des pays de la périphérie de l’Union européenne – la Grèce, l’Espagne, le Portugal et l’Italie – qui sont au centre de la crise de l’endettement en Europe.
Les auteurs écrivent: « Les systèmes politiques de la périphérie ont été établis après une dictature et ont été définis par cette expérience-là. Les constitutions ont tendance à montrer une forte influence socialiste, reflétant la force politique que les partis de gauche ont acquise après la défaite du fascisme. »
« Les systèmes politiques autour de la périphérie affichent de manière typique les caractéristiques suivantes : des dirigeants faibles ; des Etats centraux faibles par rapport aux régions ; une protection constitutionnelle des droits des travailleurs ; des systèmes recherchant le consensus et qui encouragent le clientélisme politique ; et le droit de protester si des modifications peu appréciées sont apportées au statu quo politique. Les lacunes de cet héritage politique ont été révélées par la crise. » Quelles que soient les inexactitudes historiques contenues dans leur analyse, il ne peut y avoir l’ombre d’un doute que les auteurs du rapport de JPMorgan plaident pour que les gouvernements adoptent des pouvoirs de type dictatorial afin de mener à bien le processus de contre-révolution sociale qui est déjà bien avancé à travers toute l’Europe.
En réalité, il n’y avait rien de véritablement socialiste dans les constitutions établies durant la période d’après-guerre partout en Europe. De telles constitutions visaient à garantir le régime bourgeois dans une situation où le système capitaliste et ses agents politiques avaient été totalement compromis par les crimes des régimes fascistes et dictatoriaux.
Les constitutions des Etats européens, y compris celles de l’Italie, de l’Espagne, de la Grèce et du Portugal, ont été élaborées et appliquées en collaboration avec les partis socialistes et communistes des pays respectifs et qui ont joué le rôle clé dans la démobilisation de la classe ouvrière pour permettre à la bourgeoisie de maintenir son régime.
Dans le même temps cependant les classes dirigeantes discréditées de l’Europe étaient parfaitement conscientes que la Révolution russe demeurait une inspiration pour de nombreux travailleurs. Elles se sont senties obligées de faire une série de concessions à la classe ouvrière dans le but d’empêcher une révolution – sous la forme précisément de protections sociales et constitutionnelles, dont le droit de manifester, ce que JPMorgan aimerait à présent voir aboli.
Dans une certaine mesure, les critiques de la banque à l’égard du manque d’autoritarisme des gouvernements européens sonnent creux. Partout en Europe, les gouvernements ont à maintes reprises recouru ces dernières années à des mesures d’Etat policier pour réprimer l’opposition à l’encontre de leur politique.
En France, en Espagne et en Grèce, des décrets d’urgence et l’armée ont été utilisés pour briser des grèves. La constitution adoptée en Grèce en 1975, après la chute de la dictature des colonels, n’a pas empêché le gouvernement grec de licencier en masse des fonctionnaires. Et dans un certain nombre de pays européens, les partis dirigeants sont en train d’encourager le développement de partis néofascistes tel le mouvement Aube dorée en Grèce.
Toutefois, pour JPMorgan cela ne suffit pas. Afin d’éviter une révolution sociale dans la période à venir, ses analystes préviennent qu’il est indispensable que les gouvernements capitalistes partout en Europe se préparent aussi vite que possible à mettre en place des formes de régime dictatoriales.
A la fin du document, les auteurs avancent une série de scénarios qui, selon eux, pourraient découler de l’échec des gouvernements européens à ériger des systèmes autoritaires. Ces variantes comprennent : « 1) l’effondrement de plusieurs gouvernements favorables aux réformes en Europe méridionale, 2) un effondrement du soutien à l’euro ou à l’UE, 3) une victoire électorale incontestée de partis anti-européens radicaux quelque part dans la région, ou 4) l’ingouvernabilité de fait de certains Etats membres une fois que les coûts sociaux (notamment le chômage) dépasseront un certain seuil. »
C’est la voix authentique du capital financier qui parle. Il faut rappeler que JPMorgan est profondément impliqué dans les opérations spéculatives qui ont dévasté la vie de centaines de millions de travailleurs partout dans le monde. En mars de cette année, une commission du sénat américain a rendu public un rapport de 300 pages documentant les pratiques criminelles et la fraude réalisées par JPMorgan, la plus grande banque des Etats-Unis et le plus grand agent de produits dérivés du monde. En dépit des révélations détaillées dans le rapport, aucune action ne sera prise à l’encontre du PDG de la banque, Jamie Dimon, qui jouit de la confiance personnelle du président américain.
Cette même banque se permet à présent de faire la leçon aux gouvernements. Soixante-dix ans après la prise de pouvoir par Hitler et les nazis en Allemagne, dont les conséquences furent catastrophiques pour l’Europe et le monde, JPMorgan est le premier à réclamer des mesures autoritaires pour réprimer la classe ouvrière et éradiquer ses acquis sociaux.
 
Stefan Steinberg
url de l’article: http://www.cameroonvoice.com/news/news.rcv?id=11326
 
 

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Israël : Walker dit la vérité mais la Ligue Anti-diffamation* ne veut pas le savoir

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Israël : Walker dit la vérité mais la Ligue Anti-diffamation* ne veut pas le savoir
“… l'ADL a violemment fustigé Walker pour avoir qualifié ce qu'Israël fait aux Palestiniens de “génocide,” “nettoyage ethnique,” “crimes contre l'humanité,” et de “cruauté et torture diabolique” (Haaretz, 18 juin 2013).
 
 
Le dernier livre d'Alice Walker, "Le coussin sur la route", consacre plus de 80 pages à l'état d'Israël et à la manière dont cet état traite les Palestiniens. Il semble que la Ligue Anti-diffamation (ADL) ait pris ombrage du fait qu'elle a exprimé librement ses opinions sur l'idéologie sioniste qui est parvenue à emprisonner les Palestiniens sur leur propre terre tout en leur en volant la plus grande partie. Pour eux c'est de l'antisémitisme. La liberté d'expression est réservée à ceux qui ne critiquent pas Israël, et aux Sionistes et à leurs supporters qui critiquent tous ceux qui critiquent Israël. Ils ne supportent pas l'idée qu'Israël puisse être amené devant la justice pour déterminer si cet état a ou non commis des crimes contre l'humanité et c'est pour éviter cela qu'ils ont déversé d'immenses quantités d'argent sur notre Congrès afin que le peuple Etasunien mette son veto à toute poursuite légale contre Israël. La vraie question est : Walker dit-elle la vérité ou non, et est-ce que l'ADL dénigre un grand auteur étasunien parce que ce qu'elle écrit menace de révéler au grand jour la réalité du génocide qu'Israël commet contre les Palestiniens? 
 
En tant que rédacteur en chef d'un livre qui soulève les mêmes questions que celui de Walker, j'aimerais souligner que ceux qui s'intéressent à la vérité, sachant que les Etats-Unis ne permettront pas que l'état d'Israël soit poursuivi en justice, n'ont qu'à lire les 20 auteurs internationaux qui ont collaboré à l'ouvrage "The Plight of the Palestinians: a Long History of Destruction" (Le calvaire des Palestiniens: une longue histoire de destruction) publié par Macmillan Company en 2010, pour comprendre qu'un génocide est en cours en conformité à la volonté politique d'Israël depuis 1947. Tous les auteurs qui ont participé à cet ouvrage sont des experts reconnus de l'histoire du Moyen-Orient comme Dr. Ilan Pappe, Dr. Richard Falk, Chris Hedges, Robert Fisk, Jeff Halper, etc.; ce sont tous des observateurs compétents et sérieux de cette épouvantable entreprise qui condamne le peuple palestinien à l'humiliation, la dépression, la privation économique, l'isolation, la destruction, le désespoir et la mort.  
 
L'introduction établit, à l'aide de documents précédemment classifiés, que la politique de l'Agence juive a été, dès le départ, de débarrasser la Palestine des Arabes. La Nakba en a été le moyen et le terrorisme contre le Mandat Britannique la conséquence, et, depuis, les efforts pour radier un peuple de son propre pays se poursuivent sans relâche. Il est vraiment détestable et hypocrite de la part de l'ADL de tenter de discréditer une humanitaire de la stature de Walker en affirmant qu'elle est raciste et qu'elle ne sait pas de quoi elle parle alors qu'en fait ce sont les attaques de l'ADL et de ses sympathisants qui sont hypocrites, odieuses et méprisables. IL faut que le monde sache la vérité; il faut qu'Israël soit amené devant le Tribunal International de Justice pour que le monde entier puisse prendre la mesure du génocide dont sont victimes les Palestiniens depuis plus de 65 ans.
 
William A. Cook est professeur d'Anglais à l'Université de La Verne au sud de la Californie. Il collabore fréquemment à des sites Internet comme The Palestine Chronicle, MWC News, Atlantic Free Press, Pacific Free Press, Countercurrents, Counterpunch, World Prout Assembly, Dissident Voice, et Information Clearing House. Il est l'auteur deTracking Deception: Bush Mid-East policy, The Rape of Palestine, The Chronicles of Nefaria, un roman, et bientôt de The Plight of the Palestinians.
 

William A. Cook, Countercurrents.org

Note:
*L'Anti-Defamation League (ADL, « Ligue antidiffamation ») est une ONG fondée par l'organisation B'nai B'rith aux États-Unis dont le but premier est de soutenir les Juifs contre toute forme d'antisémitisme et de discrimination, par tous les moyens légaux possibles et des campagnes d'information et de sensibilisation. Ses statuts précisent qu'elle « combat l'antisémitisme et toute forme d'intolérance, défend les idéaux démocratiques et sauvegarde les droits civiques pour tous ».
 
Pour consulter l'original: http://www.countercurrents.org/cook190613.htm
 
Traduction: Dominique Muselet

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La colonisation française de l'Afrique

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La colonisation française de l'Afrique
Premier film anticolonialiste de l'hexagone, interdit pendant plus de quarante ans, cet efficace pamphlet contre le colonialisme en Afrique noire valut à son auteur treize inculpations et une condamnation à un an de prison.

C'est l'après-guerre. L'Europe s'est reconstruite. Tout marche pour le mieux dans les « colonies-modèles » où la République française mène ses pupilles d'une main maternelle vers les lumières de la raison et du progrès. Tout le monde, pourtant, n'est pas de cet avis.

Sur une proposition de la Ligue française de l'Enseignement, René Vautier part filmer les conditions de vie dans les villages des colonies françaises d'Afrique occidentale (Côte-d'Ivoire, Haute Volta, Sénégal, Soudan français -- actuel Mali). Sur place, il décide de témoigner d'une réalité non commandée; sans la permission des autorités françaises, il tourne ainsi le premier film anticolonialiste français consacré à l'Afrique noire.

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Aujourd’hui en France, l’islamophobie tue

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Aujourd’hui en France, l’islamophobie tue
 Rendez-vous le samedi 22 juin 2013 à 15 h pour un rassemblement silencieux devant la sous-préfecture d’Argenteuil, 2, rue Alfred Labrière, pour témoigner notre solidarité et notre soutien à Rabia, Sofia, Leila et son bébé, Mounir, Djamel et toutes les autres victimes de l’intolérance.


Aujourd’hui en France, l’islamophobie tue



 



À Argenteuil, en l’espace de quelques semaines, plusieurs citoyennes musulmanes ont été la cible d’agressions lâches. L’une d’entre elle, particulièrement grave, s’est conclue par la perte d’un enfant.

Devant un silence politico- médiatique assourdissant et l’indifférence générale, des citoyen-ne-s de tous horizons ont décidé d’agir.

Nous exigeons :
-  des forces de l’ordre et des pouvoirs publics, une détermination sans faille pour retrouver et sanctionner de manière exemplaire les auteurs de ces attaques ignobles.
-  de la classe politique toute entière, une condamnation ferme et des mesures urgentes et pérennes pour enrayer la spirale des actes et attitudes islamophobes.
-  des médias français, un traitement objectif et précis de ces drames.

Parce que les événements d’Argenteuil et d’ailleurs minent la paix sociale et constituent une menace pour le vivre ensemble, nous invitons l’ensemble de nos concitoyens à se mobiliser pour réclamer justice.

Rendez-vous le samedi 22 juin 2013 à 15 h pour un rassemblement silencieux devant la sous-préfecture d’Argenteuil, 2, rue Alfred Labrière, pour témoigner notre solidarité et notre soutien à Rabia, Sofia, Leila et son bébé, Mounir, Djamel et toutes les autres victimes de l’intolérance.

Premiers signataires : AFD (Alliance for Freedom and Dignity), ATMF (Association des Travailleurs Maghrébins de France), CFPE (Collectif des Féministes pour l’Egalité), CCIF (Collectif Contre l’Islamophobie en France), CRI (Coordination contre le Racisme et l’Islamophobie), CMF (Collectif des Musulmans de France), Groupe des associations de Bagnolet, Participation et Spiritualité Musulmanes (PSM), Parti des indigènes de la république (PIR),Urban Care International...

http://www.indigenes-republique.fr/article.php3?id_article=1846
 


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Argenteuil : Rassemblement samedi 22 juin 2013 à 15h devant la sous-préfecture

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Argenteuil : Rassemblement samedi 22 juin 2013 à 15h devant la sous-préfecture
  • - Une délégation de responsables des deux mosquées d’Argenteuil à été reçu ce mercredi soir afin de les persuader d’en appeler au calme lors de la prière du Vendredi
  • - Un concert de rap est prévu ce vendredi, rassemblement des jeunes de toutes l’Ile-de-France, qui entraîne tous les ans des débordements de tous genres
  • - Les avocats des familles ont eu des réponses positives quant à la possibilité de visionner certaines vidéos de surveillance, jusque là aux mains de la police national
  • - La mairie d’Argenteuil aurait fait pression sur une famille pour que celle-ci n’ébruite pas l’agression d’une des soeurs

 

- Le collectif des familles des victimes d’Argenteuil en appel à un nouveau rassemblement ce samedi 22 juin 2013 à 15h devant la sous-préfecture

 » À Argenteuil, en l’espace de quelques semaines, plusieurs citoyennes musulmanes ont été la cible d’agressions lâches. L’une d’entre elle, particulièrement grave, s’est conclue par la perte d’un enfant.

Devant un silence politico- médiatique assourdissant et l’indifférence générale, des citoyen-ne-s de tous horizons ont décidé d’agir.

Nous exigeons :
-  des forces de l’ordre et des pouvoirs publics, une détermination sans faille pour retrouver et sanctionner de manière exemplaire les auteurs de ces attaques ignobles.
-  de la classe politique toute entière, une condamnation ferme et des mesures urgentes et pérennes pour enrayer la spirale des actes et attitudes islamophobes.
-  des médias français, un traitement objectif et précis de ces drames.

Parce que les événements d’Argenteuil et d’ailleurs minent la paix sociale et constituent une menace pour le vivre ensemble, nous invitons l’ensemble de nos concitoyens à se mobiliser pour réclamer justice.

Rendez-vous le samedi 22 juin 2013 à 15 h pour un rassemblement silencieux devant la sous-préfecture d’Argenteuil, 2, rue Alfred Labrière, pour témoigner notre solidarité et notre soutien à Rabia, Sofia, Leila et son bébé, Mounir, Djamel et toutes les autres victimes de l’intolérance.

Premiers signataires : AFD (Alliance for Freedom and Dignity), ATMF (Association des Travailleurs Maghrébins de France), CFPE (Collectif des Féministes pour l’Egalité), CCIF (Collectif Contre l’Islamophobie en France), CRI (Coordination contre le Racisme et l’Islamophobie), CMF (Collectif des Musulmans de France), Groupe des associations de Bagnolet, Participation et Spiritualité Musulmanes (PSM), Parti des indigènes de la république (PIR),Urban Care International…

 

  • - La fameuse brigade  » chti’s  » est sous le coup d’une enquête interne mais rien ne présage que celle-ci sera menée de manière indépendante ( intérêts différents du Préfet, du maire et du ministère de l’intérieur )

 

Ci-dessous la vidéo du rassemblement de la semaine dernière

 

  • Le maire chahuté dès la 20ème minutes
  • A la 30èmes minutes : Le permis de construire de la future mosquée est signé
  • 38ème minutes : Clash entre le maire et AbdelAziz Chaambi – Le maire tente de lui reprendre le micro par la force

 

Nb : il manque un passage sur la vidéo, un commissaire de police bousculé


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