Curieusement, Christine Lagarde s’est exprimée le jour même où les banques centrales sont intervenues pour freiner l’effondrement des cours des valeurs bancaires, et, dans le même temps, mieux noyer les insouciants qui ne veulent pas voir le monde tel qu’il est, mais plutôt à travers le prisme d’un optimisme aveugle. Les mots choisis par la directrice du Fmi sont très intéressants et absolument pas anodins. Elle a parlé des « atermoiements » des responsables politiques et des « dysfonctionnements politiques » qui en découlent. Puis d’un « cercle vicieux » qui frappe toutes les économies mondiales. Dans la foulée, Mme Lagarde a donné une conclusion logique à tout cela : il y aura encore plus d’incertitude sur les banques, sur les Etats, sur l’endettement des ménages, sur les dysfonctionnements du Système, etc., bref, nous risquons une CRISE DE CONFIANCE. Mme Lagarde ne serait-elle pas en train d’envoyer le message que le scénario de l’HYPER INFLATION est dans les tuyaux ? Si les banques font faillite et doivent être nationalisées par des Etats (eux-mêmes en faillite), comment peut-on assurer que les déposants retrouveront leurs billes ? Et s’ils font la queue dans les banques, ce sera la crise de confiance dans un papier monnaie que les banques centrales sont en train de détruire avec célérité, en imprimant sans contrepartie productive.
Bien évidemment, comme Jacques Attali, la directrice du Fmi a une solution : « l’heure n’est pas au repli sur soi, aux demi-teintes ou aux palliatifs». Une seule solution peut fonctionner: le «front commun». Doit-on entendre Gouvernement Mondial ? Réforme monétaire mondiale ? Explications de Mme Lagarde : « Mon rôle est de m’assurer que cet appel à l’action est entendu. Je ne peux pas penser que les gouvernements ne partagent pas mon avis ». Et d’ajouter que « les pays ont intérêt collectivement à agir dans l’intérêt général de l’économie ». Mais de quelle économie parle Mme Lagarde ?
Certainement pas de l’économie non financière, celle qui assure le bien être des populations. On le voit bien aujourd’hui, les taux d’intérêt sont maintenus au plancher pour aider les insiders à plomber les Etats et les banques en empruntant pour une bouchée d’intérêt à rembourser et juteusement rémunéré sur les produits spéculatifs. Le chef d’entreprise, lui, a de plus en plus de difficulté à trouver du crédit pour créer des emplois.
http://liesidotorg.wordpress.com/
Bien évidemment, comme Jacques Attali, la directrice du Fmi a une solution : « l’heure n’est pas au repli sur soi, aux demi-teintes ou aux palliatifs». Une seule solution peut fonctionner: le «front commun». Doit-on entendre Gouvernement Mondial ? Réforme monétaire mondiale ? Explications de Mme Lagarde : « Mon rôle est de m’assurer que cet appel à l’action est entendu. Je ne peux pas penser que les gouvernements ne partagent pas mon avis ». Et d’ajouter que « les pays ont intérêt collectivement à agir dans l’intérêt général de l’économie ». Mais de quelle économie parle Mme Lagarde ?
Certainement pas de l’économie non financière, celle qui assure le bien être des populations. On le voit bien aujourd’hui, les taux d’intérêt sont maintenus au plancher pour aider les insiders à plomber les Etats et les banques en empruntant pour une bouchée d’intérêt à rembourser et juteusement rémunéré sur les produits spéculatifs. Le chef d’entreprise, lui, a de plus en plus de difficulté à trouver du crédit pour créer des emplois.
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