Le cinéma?...ça sert seulement à modifier notre perception des réalités passé, présentes et à venir.
![Peugeot, Tintin, Sarkosy et Spielberg.]( "Peugeot, Tintin, Sarkosy et Spielberg.")
La chasse au trésor d'afrique a repris en terre de Libye
Scénario :
Philippe Varin President du Directoire Guillaume Faury Membre du Directoire Jean-Marc Gales Membre du Directoire Gregoire Olivier Membre du Directoire Frederic Saint-Geours Membre du Directoire Jean-Claude Hanus Secretaire General Frederic Saint-Geours Finances Caroline Mille-Langlois Communication Carole Dupont-Pietri
Communiqué de Presse :
le président du conseil de surveillance Thierry Peugeot s'est déclaré ouvert « à toutes les formes de croissance, de l'alliance à un accord plus fort »
La réputation sulfureuse de la Bande dessiné raciste n’a pas arrêté la Société Peugeot qui a déjà signé quelques contrats juteux avec les nouveaux propriétaires de la Libye.
Deux ans avant l’agression militaire programmée de certains pays d’Afrique, une vaste opération de communication, ayant pour but de redorer le blason le la colonisation, va être entrepris dans différents pays francophone (France, Belgique, Québec).
Les veilles reliques poussiéreuses de la colonisation et du racisme de la bourgeoisie française vont à nouveau être sortis à cette occasion pour faire la promotion de ce nouveau projet de recolonisation de l’Afrique.
C’est à Stephen Spielberg que va être commandé, bien avant l’agression contre les pays du magreb un film relatant les aventures de Tintin et ces odeurs ravissantes des parfums du temps des cerises, de la laine de moutons pris sur le dos des français, de algériens et du bois exotiques pur essence de nègre. En intégrant l’imaginaire et le rythme Sarkosien dans la trame du film.
Bien qu’ayant supprimé beaucoup des clichés racistes, ce film malodorant donne une inexplicable envie de gerber au moins trois fois par terre.
Un graphisme et une esthétique épurée qui remonte à la surface comme ces vieux cauchemars visqueux de la bourgeoisie nationaliste et négrophobe française en leurs terres étrangères.
Un design néo-nazi qui frise avec les vielles bandes dessinées qui relataient les bonnes vielles aventures coloniales africaines terres de France.
Tout cela dans une ambiance, évidement, de vieux clichés publicitaires de Y’a bon Banania.
Evidement il ne faut pas imaginer, un seul instant, que le publique visé y verra une quelconque tentative de projection d’un esthétique racialiste. Bien au contraire, ils y verront là, a preuve que tintin était un personnage universelle porteur de message de la démocratie occidentale.
Stephen Spielberg, vieil habitué des rendez-vous de l’AIPAC, nous sert à nouveau une soupe malodorante sionisto-nazis.
il y a en effet une différence fondamentale entre un mythomane comme spielberg qui fait du mensonge un art de vivre et Steve Jobs qui bien que juif désapprouvait la politique sioniste, même s’il a été contraint, comme tout personnalité américaine d’être présent dans certains rendez-vous de l’Aipac, Steve job ne mâchait pas ses mots quand il s’agissait de parler du sionisme, d’est d’ailleurs pour cette raison qu’il fut évincé un première fois de la société qu’il avait créé.
Philippe Varin President du Directoire Guillaume Faury Membre du Directoire Jean-Marc Gales Membre du Directoire Gregoire Olivier Membre du Directoire Frederic Saint-Geours Membre du Directoire Jean-Claude Hanus Secretaire General Frederic Saint-Geours Finances Caroline Mille-Langlois Communication Carole Dupont-Pietri
Communiqué de Presse :
le président du conseil de surveillance Thierry Peugeot s'est déclaré ouvert « à toutes les formes de croissance, de l'alliance à un accord plus fort »
La réputation sulfureuse de la Bande dessiné raciste n’a pas arrêté la Société Peugeot qui a déjà signé quelques contrats juteux avec les nouveaux propriétaires de la Libye.
Deux ans avant l’agression militaire programmée de certains pays d’Afrique, une vaste opération de communication, ayant pour but de redorer le blason le la colonisation, va être entrepris dans différents pays francophone (France, Belgique, Québec).
Les veilles reliques poussiéreuses de la colonisation et du racisme de la bourgeoisie française vont à nouveau être sortis à cette occasion pour faire la promotion de ce nouveau projet de recolonisation de l’Afrique.
C’est à Stephen Spielberg que va être commandé, bien avant l’agression contre les pays du magreb un film relatant les aventures de Tintin et ces odeurs ravissantes des parfums du temps des cerises, de la laine de moutons pris sur le dos des français, de algériens et du bois exotiques pur essence de nègre. En intégrant l’imaginaire et le rythme Sarkosien dans la trame du film.
Bien qu’ayant supprimé beaucoup des clichés racistes, ce film malodorant donne une inexplicable envie de gerber au moins trois fois par terre.
Un graphisme et une esthétique épurée qui remonte à la surface comme ces vieux cauchemars visqueux de la bourgeoisie nationaliste et négrophobe française en leurs terres étrangères.
Un design néo-nazi qui frise avec les vielles bandes dessinées qui relataient les bonnes vielles aventures coloniales africaines terres de France.
Tout cela dans une ambiance, évidement, de vieux clichés publicitaires de Y’a bon Banania.
Evidement il ne faut pas imaginer, un seul instant, que le publique visé y verra une quelconque tentative de projection d’un esthétique racialiste. Bien au contraire, ils y verront là, a preuve que tintin était un personnage universelle porteur de message de la démocratie occidentale.
Stephen Spielberg, vieil habitué des rendez-vous de l’AIPAC, nous sert à nouveau une soupe malodorante sionisto-nazis.
il y a en effet une différence fondamentale entre un mythomane comme spielberg qui fait du mensonge un art de vivre et Steve Jobs qui bien que juif désapprouvait la politique sioniste, même s’il a été contraint, comme tout personnalité américaine d’être présent dans certains rendez-vous de l’Aipac, Steve job ne mâchait pas ses mots quand il s’agissait de parler du sionisme, d’est d’ailleurs pour cette raison qu’il fut évincé un première fois de la société qu’il avait créé.
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