Le mufti syrien Ahmad Badreddine Hassoune a révélé avoir été sollicité par des parties de l’opposition syrienne pour se démarquer du président syrien Bachar El Assad et rallier leurs rangs. Ce qu’il a refusé catégoriquement
Dans un entretien accordé à la télévision iranienne arabophone AlAlam, cheikh Badreddine souligne que des représentants de ces parties l’ont rencontré pendant trois heures durant lesquelles ils lui ont suggéré de quitter la Syrie, ce à quoi il s’est refusé, leur demandant de lui donner l’alternative. Alors qu’ils lui affirmaient qu’il fallait coute que coute renverser le régime syrien, et par la suite choisir la voie de la reconstruction.
Le mufti syrien souligne avoir fait l’objet de menaces, du moment qu’il leur a dit qu’il n’est pas question qu’il quitte le pays dans des conditions pareilles : « ils ont mis a exécution leurs menaces en tuant mon fils Sariya. Ils voulaient de la sorte casser ma décision », explique-t-il. Réaffirmant que le président syrien n’est pas attaché au pouvoir et qu’il est même indifférent du pourvoir, il a signalé avoir à plusieurs reprises suggéré aux dirigeants de l’opposition de venir en Syrie le rencontrer.
Selon lui, la Syrie est punie aujourd’hui parce qu’elle a empêché la division du Liban, lutte contre les projets de dissension dans la région, soutient le peuple palestinien et la résistance et parce qu’elle est proche de l’Iran.
Cheikh Hassoune a nié les allégations selon lesquelles l’Iran tente de convertir la Syrie au chiisme, en appelant à visiter ce pays pour prendre connaissance de la condition de la communauté sunnite, de ses écoles religieuses, qui diplôme des milliers d’étudiants dans les différentes régions sunnites.
S’adressant à l’opposition syrienne et en particulier à la confrérie des Frères musulmans, il les a invités à rentrer en Syrie, et à présenter leurs programmes pour voir s’ils servent les intérêts du pays.
Il a mis en garde contre toute velléité de porter atteinte à la Syrie, « car cette terre enflammera tous les ennemis ».
« L’agression contre la Syrie est grande et les complots occidentaux se poursuivent pour diviser la Syrie », avait-il commencé son entretien, rappelant le rôle endémique des Français et des Anglais, et dont le complot englobe tous les aspects culturels, économiques, politiques, sociaux et autres...
Il rappelle que le comportement des arabes d’aujourd’hui à l’encontre de la Syrie rappelle celui des Arabes, la veille de l’éclatement de la guerre imposée contre l’Iran par l’Irak en 1979.
Et d’affirmer que la Syrie soutient et soutiendra tout état ou groupe qui lutte contre les politiques colonialistes.
Dans un entretien accordé à la télévision iranienne arabophone AlAlam, cheikh Badreddine souligne que des représentants de ces parties l’ont rencontré pendant trois heures durant lesquelles ils lui ont suggéré de quitter la Syrie, ce à quoi il s’est refusé, leur demandant de lui donner l’alternative. Alors qu’ils lui affirmaient qu’il fallait coute que coute renverser le régime syrien, et par la suite choisir la voie de la reconstruction.
Le mufti syrien souligne avoir fait l’objet de menaces, du moment qu’il leur a dit qu’il n’est pas question qu’il quitte le pays dans des conditions pareilles : « ils ont mis a exécution leurs menaces en tuant mon fils Sariya. Ils voulaient de la sorte casser ma décision », explique-t-il. Réaffirmant que le président syrien n’est pas attaché au pouvoir et qu’il est même indifférent du pourvoir, il a signalé avoir à plusieurs reprises suggéré aux dirigeants de l’opposition de venir en Syrie le rencontrer.
Selon lui, la Syrie est punie aujourd’hui parce qu’elle a empêché la division du Liban, lutte contre les projets de dissension dans la région, soutient le peuple palestinien et la résistance et parce qu’elle est proche de l’Iran.
Cheikh Hassoune a nié les allégations selon lesquelles l’Iran tente de convertir la Syrie au chiisme, en appelant à visiter ce pays pour prendre connaissance de la condition de la communauté sunnite, de ses écoles religieuses, qui diplôme des milliers d’étudiants dans les différentes régions sunnites.
S’adressant à l’opposition syrienne et en particulier à la confrérie des Frères musulmans, il les a invités à rentrer en Syrie, et à présenter leurs programmes pour voir s’ils servent les intérêts du pays.
Il a mis en garde contre toute velléité de porter atteinte à la Syrie, « car cette terre enflammera tous les ennemis ».
« L’agression contre la Syrie est grande et les complots occidentaux se poursuivent pour diviser la Syrie », avait-il commencé son entretien, rappelant le rôle endémique des Français et des Anglais, et dont le complot englobe tous les aspects culturels, économiques, politiques, sociaux et autres...
Il rappelle que le comportement des arabes d’aujourd’hui à l’encontre de la Syrie rappelle celui des Arabes, la veille de l’éclatement de la guerre imposée contre l’Iran par l’Irak en 1979.
Et d’affirmer que la Syrie soutient et soutiendra tout état ou groupe qui lutte contre les politiques colonialistes.
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