Des représentants du Conseil national syrien (CNS), qui rassemble une bonne partie de l'opposition, ont demandé au chef de la diplomatie turque, d'autoriser une représentation de leur organisation en Turquie, a-t-on appris lundi de source diplomatique turque.
Lors d'un entretien avec Ahmet Davutoglu qui a eu lieu dimanche soir à Ankara, les opposants syriens ont demandé à leur interlocuteur turc qu'un bureau du CNS soit inauguré en Turquie, a précisé cette source à l'AFP sous couvert d'anonymat.
"Des discussions et des travaux seront menés à cette fin", a souligné cette source sans cependant donner de date.
C'est la deuxième fois depuis le 18 octobre que Davutoglu reçoit publiquement le CNS qui regroupe la plupart des courants de l'opposition syrienne soutenus par l’Occident.
Le ministre turc a, à cette occasion, répété aux opposants que l'"avenir de la Syrie appartenait aux Syriens et qu'il sera bâtie par eux", a-t-on ajouté.
Pour Davutoglu: les dirigeants ne satisfaisant pas leur peuple "partiront"
"Ceux qui ne sont pas en paix au Moyen-Orient avec leur peuple et ne peuvent les satisfaire partiront", a déclaré lundi le chef de la diplomatie turque, en allusion à la Syrie, pays voisin vis-à-vis duquel la Turquie adopte une ligne de plus en plus dure.
Davutoglu "adoptera la position la plus ferme" contre les attaques visant ses représentations diplomatiques sur le sol syrien, a ajouté le ministre devant une commission parlementaire.
La Turquie a demandé dimanche à la communauté internationale d'agir d'une "même voix" face à la situation en Syrie et a convoqué le représentant syrien à
Ankara après de manifestations samedi contre ses missions diplomatiques dans ce pays, son ancien allié dans la région.
Ankara a aussi évacué de Syrie les familles de ses diplomates et ses personnels non essentiels.
Lors d'un entretien avec Ahmet Davutoglu qui a eu lieu dimanche soir à Ankara, les opposants syriens ont demandé à leur interlocuteur turc qu'un bureau du CNS soit inauguré en Turquie, a précisé cette source à l'AFP sous couvert d'anonymat.
"Des discussions et des travaux seront menés à cette fin", a souligné cette source sans cependant donner de date.
C'est la deuxième fois depuis le 18 octobre que Davutoglu reçoit publiquement le CNS qui regroupe la plupart des courants de l'opposition syrienne soutenus par l’Occident.
Le ministre turc a, à cette occasion, répété aux opposants que l'"avenir de la Syrie appartenait aux Syriens et qu'il sera bâtie par eux", a-t-on ajouté.
Pour Davutoglu: les dirigeants ne satisfaisant pas leur peuple "partiront"
"Ceux qui ne sont pas en paix au Moyen-Orient avec leur peuple et ne peuvent les satisfaire partiront", a déclaré lundi le chef de la diplomatie turque, en allusion à la Syrie, pays voisin vis-à-vis duquel la Turquie adopte une ligne de plus en plus dure.
Davutoglu "adoptera la position la plus ferme" contre les attaques visant ses représentations diplomatiques sur le sol syrien, a ajouté le ministre devant une commission parlementaire.
La Turquie a demandé dimanche à la communauté internationale d'agir d'une "même voix" face à la situation en Syrie et a convoqué le représentant syrien à
Ankara après de manifestations samedi contre ses missions diplomatiques dans ce pays, son ancien allié dans la région.
Ankara a aussi évacué de Syrie les familles de ses diplomates et ses personnels non essentiels.
Alter Info
l'Information Alternative