"Il est nécessaire d'avoir recours à la force pour obliger le régime à respecter les droits de l'homme. Mais cela ne signifie pas pour autant que nous prônions une intervention étrangère, nous attendons que les Syriens renversent le régime par eux-mêmes", a indiqué M.Galioun."Nous considérons que la situation en Syrie diffère de celle qui prévalait en Libye. Nous pensons pouvoir compter sur les organismes gouvernementaux, les ministères et les fonctionnaires d'Etat", a-t-il expliqué. Evoquant le financement de l'opposition, M.Galioun a reconnu que plusieurs Etats arabes, notamment la Libye, lui avaient garanti leur soutien.
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