
Le président français Nicolas Sarkozy envisage de s'entretenir par téléphone avec son homologue russe Dmitri Medvedev au cours des prochaines 48 heures, afin d'évoquer la situation en Syrie, a déclaré un représentant de l'Elysée cité par les médias occidentaux.
"Un entretien est prévu au cours des prochaines 48 heures", a dit le représentant de l'Elysée, avant d'indiquer que Moscou et Paris étaient en train de concerter la date et l'heure.
Le 6 février, lors d'un point de presse conjoint avec la chancelière allemande Angela Merkel, M.Sarkozy a annoncé son intention de discuter de la situation en Syrie avec le leader russe. Natalia Timakova, porte-parole du Kremlin, a à son tour dit aux journalistes qu'aucun entretien avec le président français ne figurait à l'agenda de lundi de M.Medvedev.
Depuis dix mois, le régime syrien fait face à une contestation populaire sans précédent.
Le 4 février, la Russie et la Chine, pays détenteurs du droit de véto au Conseil de sécurité de l'Onu, ont pour la deuxième fois bloqué l'adoption d'une résolution condamnant la répression en Syrie.
Nicolas Sarkozy a qualifié lundi la situation au sein du Conseil de sécurité de "scandale", avant de souligner que Paris et Berlin "n'étaient pas décidés à accepter l'indécision ou le blocage de la communauté internationale". Il a également promis de "ne pas laisser tomber le peuple syrien".
"Un entretien est prévu au cours des prochaines 48 heures", a dit le représentant de l'Elysée, avant d'indiquer que Moscou et Paris étaient en train de concerter la date et l'heure.
Le 6 février, lors d'un point de presse conjoint avec la chancelière allemande Angela Merkel, M.Sarkozy a annoncé son intention de discuter de la situation en Syrie avec le leader russe. Natalia Timakova, porte-parole du Kremlin, a à son tour dit aux journalistes qu'aucun entretien avec le président français ne figurait à l'agenda de lundi de M.Medvedev.
Depuis dix mois, le régime syrien fait face à une contestation populaire sans précédent.
Le 4 février, la Russie et la Chine, pays détenteurs du droit de véto au Conseil de sécurité de l'Onu, ont pour la deuxième fois bloqué l'adoption d'une résolution condamnant la répression en Syrie.
Nicolas Sarkozy a qualifié lundi la situation au sein du Conseil de sécurité de "scandale", avant de souligner que Paris et Berlin "n'étaient pas décidés à accepter l'indécision ou le blocage de la communauté internationale". Il a également promis de "ne pas laisser tomber le peuple syrien".
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