L'opposition syrienne a annoncé la création d'une nouvelle structure militaire - du Conseil suprême révolutionnaire (CSR), destiné à remplacer l'Armée syrienne libre (ASL), groupement de déserteurs de l'armée régulière, rapporte lundi le journal égyptien en ligne Al-Masry Al-Youm.
Le CSR s'assigne pour objectif principal de "libérer la Syrie" du régime du président Bachar al-Assad, lit-on dans la déclaration du Conseil, présidé par le général Moustafa Ahmed al Cheikh, plus haut gradé parmi les déserteurs, qui est en exil en Turquie.
Le porte-parole de l'ASL, le commandant Maher al Naimi a gardé la même fonction au sein du CSR.
La multiplication des désertions de hauts officiers, dont des généraux, aurait imposé une réorganisation de l'ASL, de façon à pouvoir "absorber" les nouveaux arrivants, dont le nombre est appelé à croître dans les jours et semaines à venir, selon l'opposition.
Depuis une année environ, le régime syrien fait face à une contestation populaire sans précédent. Selon l'Onu, la confrontation entre forces gouvernementales et protestataires a déjà fait plus de 5.000 morts. Damas dément ce chiffre et affirme que le pays est en proie à des bandes armées financées depuis l'étranger qui ont tué plus de 2.000 militaires et membres des forces de l'ordre.
Le CSR s'assigne pour objectif principal de "libérer la Syrie" du régime du président Bachar al-Assad, lit-on dans la déclaration du Conseil, présidé par le général Moustafa Ahmed al Cheikh, plus haut gradé parmi les déserteurs, qui est en exil en Turquie.
Le porte-parole de l'ASL, le commandant Maher al Naimi a gardé la même fonction au sein du CSR.
La multiplication des désertions de hauts officiers, dont des généraux, aurait imposé une réorganisation de l'ASL, de façon à pouvoir "absorber" les nouveaux arrivants, dont le nombre est appelé à croître dans les jours et semaines à venir, selon l'opposition.
Depuis une année environ, le régime syrien fait face à une contestation populaire sans précédent. Selon l'Onu, la confrontation entre forces gouvernementales et protestataires a déjà fait plus de 5.000 morts. Damas dément ce chiffre et affirme que le pays est en proie à des bandes armées financées depuis l'étranger qui ont tué plus de 2.000 militaires et membres des forces de l'ordre.
Alter Info
l'Information Alternative