Depuis plusieurs semaines, essayistes, journalistes, économistes flagornés par les grands médias, annoncent que la note de la dette de la France, à savoir le triple A, n’est plus de mise. Pourtant, les jours se suivent et semblent se ressembler. Conclusion évidente : si les banquiers internationaux n’ont pas encore donné de consignes précises apparentes, c’est qu’il y a quelque chose à réaliser AVANT la dégradation. C’est tellement logique mais encore faut-il le dire. La journée du 21 décembre 2011 fut assez riche en informations pouvant éclairer les raisons de cette prolongation.
Récemment, nous nous interrogions : pour quelles raisons les pays européens allaient-ils prêter de l’argent au FMI afin que celui-ci prête, à son tour, à certains pays européens ?
L’explication est sans doute dans un article de P. Herlin… et confirme ce que nous pressentions sur ce blog depuis plusieurs semaines.“Ceci dit, comme le FMI et l’UE n’ont pas encore inventé la pierre philosophale, il y a quand même un gage dans cette affaire. Lisons l’article : ‘‘ces avances ne présentent aucun caractère budgétaire pour l’État prêteur : il s’agit en réalité d’accords de swap (échanges) à partir des réserves en devises et en or des banques centrales (telle la Banque de France) et le FMI’’ Et voilà : l’or de la Banque de France (2435 tonnes) sert, au moins pour partie, de garantie à ce montage !” (Source )
Récemment, nous nous interrogions : pour quelles raisons les pays européens allaient-ils prêter de l’argent au FMI afin que celui-ci prête, à son tour, à certains pays européens ?
L’explication est sans doute dans un article de P. Herlin… et confirme ce que nous pressentions sur ce blog depuis plusieurs semaines.“Ceci dit, comme le FMI et l’UE n’ont pas encore inventé la pierre philosophale, il y a quand même un gage dans cette affaire. Lisons l’article : ‘‘ces avances ne présentent aucun caractère budgétaire pour l’État prêteur : il s’agit en réalité d’accords de swap (échanges) à partir des réserves en devises et en or des banques centrales (telle la Banque de France) et le FMI’’ Et voilà : l’or de la Banque de France (2435 tonnes) sert, au moins pour partie, de garantie à ce montage !” (Source )
Voilà qui devient plutôt lumineux. Ne comptons pas sur les carpettes politiciennes pour sonner le tocsin. Elles continueront leur besogne de destruction du pays, cherchant à illusionner sur leur rôle nécessaire dans cette crise qui va nous mener où l’on sait.
Liesi
Liesi
Alter Info
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