Quantcast
Channel: alterinfonet.org Agence de presse associative
Viewing all 70521 articles
Browse latest View live

La France était le meilleur soutien de l’apartheid en Afrique du Sud

$
0
0
La France était le meilleur soutien de l’apartheid en Afrique du Sud
Une polémique à deux balles met en cause l’attitude du Front National vis-à-vis de l’Afrique du Sud. Jean-Marie Le Pen expliquait, au moment de la libération de Nelson Mandela, que l’évènement ne l'avait «ni ému, ni ravi», en raison d'«une espèce de méfiance à l'égard des terroristes quel que soit le niveau auquel ils se situent ». De la vieille carne raciste…
Mais ce serait une grave erreur de focaliser sur Le Pen, et le rappel de quelques points d’histoire montre que tout le sytème était pourri. La France gaulliste, puis giscardienne, a été le meilleur soutien de l’Afrique du Sud du temps de apartheid. Eh oui.
 
Le tournant de l’Onu de 1963
Les Nations Unies se sont ouvertement engagées dans la lutte contre l’apartheid en Afrique du Sud à partir de 1963, par deux actes.
Le premier est la résolution 181 du 7 août 1963 du Conseil de sécurité appelant tous les États à arrêter la vente et la livraison d'armes, de munitions et de véhicules militaires à l'Afrique du Sud.
Le second est la résolution 1899 (XVIII)  de l’Assemblée générale du 13 novembre 1963 qui engage instamment tous les États à s'abstenir de fournir du pétrole à l'Afrique du Sud.
C’est-à-dire qu’à partir de ce moment-là, il ne pouvait plus exister de doute sur la nature raciste et criminelle du régime, et ce en particulier pour la France, membre du Conseil de sécurité, et omniprésente en Afrique, gérant par ses réseaux son ancien empire.
Or, la France va tout simplement s’opposer à l’ONU pour soutenir les racistes. Les bases du deal faisait partie des choix essentiels du général de brigade à titre temporaire De Gaulle Charles : tout  est bon pour assurer la maîtrise du nucléaire.
 
De Gaulle bafoue l’ONU, ignore le crime et soutient l’apartheid
sans-titre.pngLe deal gaulliste était simple : la France ignore l’embargo sur les livraisons d’armes à l’Afrique du Sud, et en contrepartie, l’Afrique du Sud fournit à la France l’uranium à usage civil et  militaire nécessaire pour le développement de sa production énergétique et la mise à niveau de sa force de frappe.
L’uranium sud-africain a été la condition de la réussite du nucléaire français.  Acheté hors du contrôle de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique, via sa filiale la COGEMA, le CEA a ainsi bénéficié de livraisons d’uranium pour 1000 tonnes par an, pendant plus de dix ans, un apport considérable, représentant la moitié des besoins.
Les contreparties ont été doubles.
D’abord, les ventes d’armes. Ces années ont été celles d’un flux constant de livraison de matériel militaire, malgré les résolutions que la France avait votées à l’ONU !  L’Afrique du Sud était isolée, et le marché était trop tentant… Le gouvernement français se justifiait par l’argumentaire fatigué de la distinction entre les armes défensives et offensives… une blague éternelle, alors que l’Afrique du Sud cherchait en réalité l’expérience des militaires français dans les guerres d’indépendance. Sous De Gaulle et Pompidou, l’Afrique du Sud était le 3° client pour l’armement… Dassault et la SNECMA se sont gavés.
Ensuite, le flux commercial. L’Afrique du Sud, prospère et maudite en Europe, a été une aubaine pour les entreprises françaises. En 1975, le Centre Français du Commerce Extérieur (CFCE) fait le bilan : « La France est considérée comme le seul véritable soutien de l’Afrique du Sud parmi les grands pays occidentaux. Non seulement elle lui fournit l’essentiel des armements nécessaires à sa défense, mais elle s’est montrée bienveillante, sinon un allié, dans les débats et les votes des organisations internationales ».
 

Giscard accélère…

Valery_Giscard1.jpgGiscard, élu en 1974, accepte avec enthousiasme cet héritage, multiplie les contrats d’armements, double les importations d’uranium dans le contexte du choc pétrolier…. et vend des centrales nucléaires par le contrat de Koeberg, en mai 1976. Mais, ce contrat est le coup de trop, et les réactions dans le monde obligent la France à abandonner l’Afrique du Sud, décidant en aout 1977 de rejoindre l’embargo sur les armes. Ce qui ne remet pas en cause les marchés en cours, dont deux sous-marins Agosta…
Au service de cette complicité avec le crime, s’activait un puissant lobby, diabolisant la cause des Noirs en Afrique du Sud, mi-terroristes, mi-communistes… L’une des bases était le groupe parlementaire d'amités France Afrique, du Sud présidé par le gaulliste Raymond Schmitlein, et dont le président d’honneur était Pierre Raynaud, l’ancien président du Conseil.
La présidence a ensuite été confiée au député Jacques Médecin, qui le 6 Juillet 1974, a signé le jumelage entre sa ville et celle du Cap. Le député communiste Virgile Barel avait interrogé le ministre de l’Intérieur, Michel Poniatowski, qui lui a répondu au Journal officiel du 10 aout 1974 : « Les jumelages entre communes françaises et étrangères sont actuellement à la seule initiative des collectivités locales, l'Etat n’ayant pas de responsabilité en la matière et n’intervenant ni pour autoriser les jumelages, ni pour les soutenir financièrement. Au surplus, une intervention des autorités de tutelle dans ce domaine serait incompatible avec la loi n° 70.1297 du 31 décembre 1970 sur la gestion municipale et les libertés communales »
En 1974, le jeune VGE ne risquait pas de sanctionner Jacques Médecin, alors qu’il intensifiait la coopération avec le régime de l’apartheid. Mieux : en 1976, il nommait Médecin secrétaire d’Etat au tourisme.
f-cell-584.jpg

 La cellule depuis laquelle Nelson Mandela analysait la politique de la France

http://lesactualitesdudroit.20minutes-blogs.fr/

Alter Info l'Information Alternative

Obama en Afrique pour défendre les intérêts stratégiques et pécuniaires américains

$
0
0
Obama en Afrique pour défendre les intérêts stratégiques et pécuniaires américains
Le président américain Barack Obama a rencontré le président du Sénégal, Macky Sall, ainsi que des juges et des avocats de la Cour suprême du pays jeudi au début d'une tournée africaine d'une semaine qui l'emmènera dans trois pays afin de promouvoir les intérêts stratégiques et pécuniaires des Etats-Unis sur ce continent. Un de ses objectifs essentiels est de contrer la Chine dans ce qui se résume à une nouvelle ruée sur l'Afrique pour les marchés et les ressources énergétiques et minérales substantielles du continent.
Cette tournée marque la première fois où Obama a mis le pied sur le sol africain depuis une escale de 20 heures au Ghana, au retour d'une conférence au sommet en Europe, il y a quatre ans. Le nouveau président d'alors avait déclaré, « J'ai le sang de l'Afrique qui coule en moi. »
Cette fioriture rhétorique avait rendu explicite l'importance pour l'impérialisme américain de la présidence d'Obama : présenter un nouveau visage au monde, tout en poursuivant la même politique prédatrice et criminelle qui avait provoqué la colère internationale et la haine sous son prédécesseur, George W. Bush.
Quatre ans plus tard, la nouveauté du premier président afro-américain des États-Unis est passée de mode, et, d'après les reportages venant d'Afrique, il y a un cynisme très répandu sur les tentatives d'Obama de tenter de se servir de son histoire familiale pour prétendre avoir une affinité spéciale pour ce continent. En fait, l'aide américaine à l'Afrique a baissé sous Obama, chutant de 8,24 milliards de dollars durant la dernière année de la présidence Bush à moins de 7 milliards aujourd'hui.
Sa propre présidence est encore plus profondément empêtrée dans la criminalité internationale que sous Bush, des assassinats par drone à l'espionnage massif par la NSA de la population américaine et du monde entier ainsi qu'à la chasse à l'homme montée contre Edward Snowden pour avoir révélé ce crime. Ces questions ont suivi Obama en Afrique, rendant l'un des principaux objectifs affichés de son voyage, la promotion de la "démocratie", absurde et hypocrite.
D'après un communiqué de presse de la Maison Blanche sur la tournée africaine d'Obama : « Le président va renforcer l'importance que les États-Unis accordent à nos liens profonds et toujours croissants avec des pays d'Afrique sub-saharienne, y compris en étendant la croissance économique, l'investissement, et le commerce ; en renforçant les institutions démocratiques ; et en investissant dans la prochaine génération de dirigeants africains. »
Le représentant du commerce américain Michael Froman, qui accompagne Obama, a déclaré avant ce voyage que, « l'Afrique veut des investisseurs, en particulier des investisseurs américains. » Lui et d'autres responsables américains ont insisté sur le fait que le message de ce voyage est de promouvoir des accords pour la coopération avec les États-Unis plutôt que d'apporter de l'aide, qui a toujours été employée par Washington pour soumettre d'anciens pays coloniaux à ses intérêts. Si plusieurs dirigeants d'entreprises américaines accompagnent Obama dans sa tournée, ce que les États-Unis ont à proposer n'est pas du tout clair.
Le voyage d'Obama suit l'exemple d'une tournée qui a eu lieu il y a trois mois par le nouveau président chinois Xi Jinping, qui a visité les deux pays où le président américain se rendra après le Sénégal – l'Afrique du Sud et la Tanzanie. Dans ce qui a été sa première tournée à l'étranger après avoir pris ses fonctions à Beijing, Xi a également visité la République du Congo.
Durant sa tournée, Xi a proposé aux pays africains une ligne de crédit de 20 milliards de dollars et signé des contrats de première importance notamment pour un projet de port à 10 milliards de dollars à Bagamoyo, en Tanzanie.
La Chine a éclipsé les États-Unis en termes de commerce et d'investissement en Afrique. C'est le premier partenaire commercial de l'Afrique, le commerce dans les deux sens entre eux a pratiquement doublé dans les seules cinq dernières années atteignant près de 200 milliards de dollars, soit le double de ce que font les États-Unis avec ce continent.
La plupart des investissements chinois concernent des mines et des infrastructures visant à faciliter l'extraction des matières premières et leur envoi vers la Chine.
Le mantra de la « démocratie » répété par Washington vise à contraindre les gouvernements africains à faire des réformes libérales, dont des privatisations et l'abolition des subventions et des contrôles douaniers à l'importation exigées par le capital transnational. Il vise également à contrer l'influence chinoise en accusant Beijing, de ne pas être intéressé par la « démocratie » et les « droits de l'homme », supposément au contraire de Washington.
Ce type de déclarations idéologiques semble n'avoir aucun écho en Afrique. À la veille de la visite d'Obama, Foreign Affairs, un journal américain très proche des milieux de la politique étrangère, demandait au président sénégalais Macky Sall si l'investissement de plus en plus important de la Chine était « mauvais pour la perspective de la démocratie africaine. »
Sall a répondu : « Bien, je ne vois pas pourquoi le développement des investissements chinois constituerait un danger pour la démocratie. La coopération avec la Chine est bien plus directe et rapide que la coopération que nous avons avec les pays occidentaux, les États-Unis, les pays européens, et d'autres donateurs bilatéraux. Il y a de nombreux critères de gouvernance, sur ci ou ça, et un grand nombre de procédures […] Je ne dis pas que ce que la Chine fait est mieux, mais au moins ça va plus vite. »
Quant à l'agenda « démocratique » de Washington, l'itinéraire d'Obama dément les affirmations de son gouvernement. Il a été largement remarqué que le président américain n'a pas inclus dans ses visites les alliés les plus proches de Washington en Afrique : l'Éthiopie, le Nigeria, l'Ouganda et le Kenya.
Le premier pays, qui a prêté son armée comme force intermédiaire pour l'intervention américaine en Somalie, est bien connu pour ses répressions internes. Et dans le second, les États-Unis soutiennent une campagne contre la révolte du mouvement islamiste armée Boko Haram au Nord-Est du Nigeria, qui a connu des massacres, des exécutions sommaires et des enlèvements.
L'Ouganda qui a également fourni des troupes intermédiaires pour la guerre en Somalie, a violemment réprimé l'opposition politique, fermé des journaux pour avoir critiqué le gouvernement et mené une campagne brutale contre les homosexuels. Et le Kenya, patrie du père d'Obama, tout en étant un allié proche, est dirigé par un président et un vice-président qui sont recherchés par la Cour pénale internationale pour des crimes contre l'humanité en raison de leur rôle dans l'orchestration des violences qui ont fait plus de 1000 morts après les élections de 2007-2008. Voilà les partenaires « démocratiques » de l'impérialisme américain.
L'impérialisme américain s'en remet toujours plus ouvertement à sa supériorité militaire résiduelle, la seule chose qu'il lui reste, pour contrer l'influence grandissante de la Chine en Afrique. La guerre des États-Unis et de l'OTAN en Libye a servi à priver la Chine d'investissements qui valaient des milliards de dollars et l'a forcée à évacuer des milliers de ses citoyens. Deux ans plus tard, cependant, les compagnies pétrolières publiques chinoises Sinopec et PetroChina font des offres alléchantes pour obtenir des concessions pétrolières en Libye.
Le commandement militaire américain AFRICOM a établi une base de drones au Niger, soutenant l'intervention de l'impérialisme français au Mali. Il a déployé des troupes en Afrique centrale, apparemment pour chasser Joseph Kony, chef d'une guérilla, et a lancé des troupes de formateurs des forces spéciales dans tout le continent pour consolider les relations américaines avec les armées africaines. En Somalie, dans le même temps, il a mené des raids aériens meurtriers.
Le militarisme croissant des États-Unis sur le continent a soulevé une hostilité très largement répandue. Les responsables américains avaient exprimé des inquiétudes que le voyage d'Obama en Afrique du Sud, la deuxième partie de sa tournée, ne soit éclipsé par la mort imminente de l'ex-président africain, dirigeant du Congrès national africain (ANC), Nelson Mandela, avec qui le président américain avait espéré faire une séance de photos.
Cependant, cette visite sera également confrontée à des protestations contre la politique de son gouvernement. Si le gouvernement ANC du président Jacob Zuma a vanté cette visite comme une aubaine pour l'économie de l'Afrique du Sud, les deux partenaires du parti au pouvoir, la confédération syndicale COSATU et le Parti communiste d'Afrique du Sud, participent à une manifestation « NObama » à Pretoria le 28 juin, jour de l'arrivée du président.
Et deux organisations ont demandé qu'Obama soit arrêté pour crime de guerre.
L'Association des avocats musulmans d'Afrique du Sud a déposé une demande devant la Haute cour de Pretoria pour demander l'arrestation d'Obama, mais leur demande a été rejetée.
Et la Société pour la protection de notre Constitution a déposé un affidavit accusant le président américain de « crimes de guerre et de crimes contre l'humanité. »
Mohammed Hussein Vawda, de cette société, a dit que l'affidavit accusait Obama d'avoir en toute responsabilité tué des milliers de gens, dont des femmes et des enfants, au Pakistan, en Syrie, et dans d'autres pays qui « ne représentaient aucune menace pour les États-Unis. »
Ce document accusait également Obama pour les assassinats par drones de gens considérés comme hostiles au gouvernement américain. « Ces attaques ne sont pas autorisées par des mandats édictés par une cour de justice, » a dit Vawda.

WSWS

Alter Info l'Information Alternative

Suède: des activistes de FEMEN ont organisé une manifestation dans une mosquée

$
0
0
Suède: des activistes de FEMEN ont organisé une manifestation dans une mosquée






Trois jeunes filles se sont dénudées dans l'une des mosquées en Suède, en se prononçant contre la charia.

Les représentants de la loi et l'ordre sont arrivés immédiatement sur le lieu de l'action non autorisée. Les militantes ont été emmenées au bureau de police. Elles sont soupçonnées d'avoir organisé des troubles publics et de l'utilisation de la force physique contre les employés de la mosquée.

Plus tôt cette semaine, trois activistes de FEMEN européennes ont été libérées de prison en Tunisie après l'abolition de la peine de détention pour une période de 4 mois.



Alter Info l'Information Alternative

Prism: un groupe de sénateurs US interpelle le chef du renseignement

$
0
0
Prism: un groupe de sénateurs US interpelle le chef du renseignement






Un groupe de 26 sénateurs, dont 22 démocrates, ont demandé au directeur du renseignement américain James Clapper des informations complémentaires sur les programmes de surveillance dont l'existence a été révélée par l'ex-employé de la CIA Edward Snowden.

Les sénateurs redoutent que la réalisation des programmes en question soit fondée sur des "lois secrètes", et que les affirmations selon lesquelles l'Agence nationale de sécurité (NSA) ne collecte pas d'informations sur les citoyens américains soient fausses. Clapper avait assuré devant le Congrès en mars que la NSA ne possédait aucunes données de ce genre.

Il s'est cependant avéré, grâce aux informations fournies par Snowden, qu'une décision judiciaire a autorisé les services secrets américains à contrôler les communications téléphoniques assurées par l'opérateur Verizon. D'autres compagnies pourraient avoir été contraintes de fournir des données similaires.

M. Snowden a également révélé les détails du programme Prism, qui permet à la NSA et au FBI d'accéder à des données concernant des personnes vivant hors Etats-Unis via neuf géants dont Apple, Facebook, Google, Microsoft, PalTalk, Skype, et Yahoo. Le renseignement américain assure que ces informations sont nécessaires à la lutte contre le terrorisme.

Les sénateurs demandent également à M. Clapper de préciser combien de temps a été utilisé le Patriot Act, des normes juridiques adoptées après les attentats du 11 septembre 2001, afin de collecter des informations sur les Américains. Ils prient également le chef du renseignement d'indiquer si ses services ont étudié la durée des conversations téléphoniques et la localisation géographique des abonnées.

Une autre question concerne le nombre d'attentats déjoués grâce à ces écoutes, et l'utilité concrète de ces dernières dans le cadre de telles affaires. Enfin, M. Clapper est invité à préciser qui a accès aux informations concernant les appels des Américains, et selon quelles conditions.

Alter Info l'Information Alternative

Le Conseil français du culte musulman installe Boubakeur président

$
0
0
Le Conseil français du culte musulman installe Boubakeur président






La partie algérienne représentée par les responsables de la Mosquée de Paris, est arrivée avant-hier, à un compromis avec la partie marocaine sur la question des élections du conseil français du culte musulman, servant à contourner le différend qui consiste le poste de président du Conseil, occupé par Chems Eddine Hafedh, alors que c'est le poste qui revient de droit à l'Algérie après la fin du mandat du président Mohammed Moussaoui .

Selon le doyen de la Mosquée de Paris, Aboubakeur, hier dans une communication téléphonique au quotidien Echourouk, a déclaré que les élections auront lieu demain comme convenu, pour mettre fin au différend entre les frères Marocains et Turcs sur le poste de secrétaire général de la session. Selon le porte-parole, l'accord a eu lieu, une fois que Chems Eddine Hafedh, s'est retiré de la présidence et se proposant en tant vice président, alors que notre interlocuteur en est le président. Quant au troisième algérien, a obtenu le poste du secrétaire de la trésorerie, alors que les Marocains ont obtenu le poste de vice-président et celui du secrétaire général et du vice secrétaire de la trésorerie.

Les Marocains se sont opposés contre Chems Eddine Hafedh, à la présidence du Conseil, car il était l'avocat pour le Front Polisario.


Alter Info l'Information Alternative

« Démocratie » : le NetCom censure les ordinateurs des GI’s

$
0
0
« Démocratie » : le NetCom censure les ordinateurs des GI’s






Le NetCom (Army Network Enterprise Technology Command) a confirmé au Monterey Herald qu’il censurait les accès des GI’s, aux États-Unis et dans 22 pays, aux informations relatives au scandale de la NSA. Cette censure inclut les accès aux articles du site du quotidien britannique The Guardian comme à ceux des grands journaux US.

Selon le porte-parole du NetCom, cette censure s’effectue « de manière routinière », les autorités militaires ayant l’habitude de censurer l’accès des troupes à toute information « sensible ».

Les GI’s ne sont informés des révélations d’Edward Snowden que par les articles brefs et partiaux que leur journal Stars and Stripes y consacre.

Basé à Fort Belvoir (Arizona), le NetCom emploie 16 000 hommes.


Alter Info l'Information Alternative

le FBI à Alger pour enquêter sur l’assassinat de l’ambassadeur Américain à Benghazi

$
0
0
le FBI à Alger pour enquêter sur l’assassinat de l’ambassadeur Américain à Benghazi






Les auteurs de l'attaque de Tiguentourine, capturés vivants, seront auditionnés par les investigateurs américains

Une délégation du Federal Bureau of Investigation (FBI) est arrivée, en fin de semaine à Alger, dans le cadre de la coopération judiciaire entre l'Algérie et les Etats-Unis d'Amérique et, également, dans le cadre de l'enquête américaine sur l'assassinat, en octobre 2012, de l'ambassadeur des Etats-Unis à Benghazi (Libye), J. Christopher Stevens, et de trois autres fonctionnaires de l’ambassade, avons-nous appris de source judiciaire sûre.

La délégation d'enquêteurs du FBI s'est rendue, mercredi dernier, au siège de la cour d'Alger et a rencontré des magistrats algériens chargés de l'instruction judiciaire sur l'affaire de l'attaque terroriste contre le site gazier d'In Amenas, ajoute notre source.

L'intérêt porté par les Américains à la justice algérienne dans le cadre de l'enquête de l'assassinat de l'ambassadeur et de trois autres fonctionnaires de l'ambassade des Etats-Unis dans une attaque terroriste commise contre le siège du consulat américain à Benghazi, en Libye, est expliqué par le fait que les terroristes, auteurs de l'attaque contre le site gazier de Tiguentourine, à In Amenas, appartiendraient au même groupe que celui qui a perpétré l'assassinat des diplomates américains en Libye, selon notre source.

Les investigateurs du FBI seront, durant leur séjour en Algérie, informés du contenu des auditions, par les services de sécurité et la justice algériens, des terroristes comptant parmi les auteurs de l'attaque du site gazier de Tiguentourine, en janvier 2013, arrêtés au terme de l'assaut donné par les forces spéciales de l'Armée nationale populaire (ANP) contre les assaillants.

Les enquêteurs du Federal Bureau of Investigation rencontreront, fort probablement, les terroristes arrêtés en vue de leur audition en présence de magistrats algériens. Les auditions concerneraient l'attentat terroriste qui a coûté la vie à J. Christopher Stevens et à trois autres diplomates américains.

Quatre des 32 terroristes, de 8 nationalités, dont trois Algériens, auteurs de l'attaque contre le site gazier de Tiguentourine, ont été arrêtés par les forces spéciales de l'ANP qui ont éliminé le reste du groupe au cours de l'assaut donné pour la libération des otages.

Pour rappel, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, avait annoncé, peu de temps après l'assaut mené par les forces spéciales de l'ANP, que les terroristes étaient au nombre de 32. «Il y avait 11 Tunisiens, 1 Mauritanien, 2 Nigériens, des Canadiens d'origine arabe, des Maliens et des Egyptiens», avait déclaré Abdelmalek Sellal, ajoutant que «l'opération était planifiée depuis plus de deux mois».

Le Premier ministre avait indiqué que le groupe terroriste auteur de cette attaque, dirigé par l'Algérien Mohamed Lamine Boucheneb, épaulé par Abou Bakr El Misri, «appartient à Belmokhtar» et que ces terroristes «ont longé les frontières algéro-maliennes, puis algéro-nigériennes et poursuivi sur la ligne algéro-libyenne pour arriver au site gazier», rappelle-t-on.

Selon le Premier ministre, ces terroristes avaient, rappelle-t-on encore, deux objectifs : le premier était de prendre des otages, pour demander éventuellement des rançons, et le deuxième de faire exploser le complexe tout entier. L'attaque terroriste avait ciblé le site gazier de Tiguentourine et la base vie, située à 5 km de ce site, gérés par Sonatrach, British Petroleum (BP) et Statoil. ( http://www.letempsdz.com//content/view/97148/1/)

Il semble que Tartag et Tewfik aient vendu la DGSE aux americains, lors de l'operation du 11 septembre 2012 a Benghazi, ou Sarkozy, Netanyahu et Mangoux ont organise la liquidation de Stevens pour placer en orbite l'agent de la mafia juive sioniste Mitt Romney lors des elections presidentielles de 2012. La visite du FBI a Alger ces jours-ci fait suite a la visite secrete de Patrick Calvar a Alger les 25 et 26 Juin derniers pour tenter d'empecher toute enquete sur le role de la DCRI lors de l'operation de Ain Amenas. Les eradicateurs franco-israeliens ont fait parvenir des faux plans secrets de l'attaque sur le complexe gasier, dont le but etait de proteger la DCRI, l'ambassade de France et l'Elysee, maitres d'oeuvre de l'operation dont le but etait de chasser les anglais, americains et imposer TOTAL et GDF-SUEZ dans l'exploitation des gaz de schistes, ainsi que d'obliger Alger a s'investir militairement directement dans la croisade franco-israelienne au Mali. Lire: http://www.algerie-focus.com/blog/2013/06/28/in-amenas-le-plan-secret-des-terroristes/

PS: Je retablis ici une verite les assaillants de Ain Amenas sont venus du sud de la Tunisie, et ils ont ete entraines par les services franco-israeliens, une partie des contras attaquent en Libye et au Maghreb alors que 70% des contras entraines dans le sud de la Tunisie sont envoyes par avions en Jordanie et Turquie pour combattre en Syrie. Les meilleurs recrues sont envoyes aux Emirats Arabes Unis, dans le desert, ou ils cotoyent des africains, des sud americains, des europeens, des caucasiens, et afghano-pakistanais. Ils forment des unites speciales, des escadrons de la mort, que les israeliens envoient partout dans le monde Musulman pour creer de l'insurrection armee. La raison pour laquelle Layaredh a fait assassiner des elements de Ansar Al Sharia est qu'ils menacaient de reveler les liens entre Tunis, Tel Aviv, Paris et Doha dans la destabilisation de plusieurs pays Musulmans. Une partie de nos freres a Tunis a immediatement compris le danger et nous a informe sur le champs de l'implication de la France depuis leur pays dans l'operation de Ain Amenas. Ceci est prouve depuis!
(http://islamic-intelligence.blogspot.fr/)


Alter Info l'Information Alternative

Syrie : la vidéo de trop. Vraie exécution du faux évêque ou fausse exécution d’un vrai évêque ?

$
0
0
Syrie : la vidéo de trop. Vraie exécution du faux évêque ou fausse exécution d’un vrai évêque ?
La vidéo postée sur Youtube, le 25 juin, sur un compte proche du Hezbollah (le compte Baalbek), montre l’exécution de deux hommes, dont l’un est présenté comme un évêque. Le document, analysé par des spécialistes de l’image, semble être un faux, destiné à alimenter l’intox, à terroriser les Chrétiens syriens et l’Occident, à amplifier la menace des islamistes et à justifier la guerre d’extermination menée par le régime et le Hezbollah.

Et voici les photos des deux évêques (ci-dessus), enlevés le 22 avril dernier par la brigade tchétchène. La comparaison de ces photos avec les images de la vidéo permettent de s’interroger sur l’authenticité du document.

En effet, les spécialistes qui ont minutieusement scruté la vidéo et les photos, en ont tiré plusieurs conclusions :

Le chef du groupe qui a exécuté les deux victimes parle avec une très grande difficulté. Il ne maîtrise pas l’arabe, encore moins le dialecte syrien. Coiffé du traditionnel couvre-tête caucasien, l’homme semble être le chef de la brigade tchétchène introduite en Syrie par les services russes pour servir le régime de Bachar Al-Assad [cliquez ici pour lire ou relire nos informations à ce sujet L’implication d’éléments tchétchènes pro-russes de plus en plus évoquée / Syrie : confusion autour des évêques enlevés. Cette brigade, dont l’expulsion d’Alep a été demandée, mercredi 26 juin, par l’opposant Firas Tlass au colonel Abdeljabar Al-Okaïdi, commandant de l’ASL dans la ville, a commis les pires exactions dans le seul but de ternir l’image de la rébellion.

La diffusion de la vidéo, depuis un compte proche du Hezbollah, à partir du Liban, prouve qu’il s’agit d’une tentative de détourner l’attention de ce qui s’est passé à Saïda, ces derniers jours. Au nom de la lutte contre les radicaux sunnites d’Ahmed Al-Assir, les radicaux chiites du Hezbollah, aussi extrémistes que les salafistes, ont menée plusieurs expéditions punitives. Ils avaient besoin d’un écran de fumée pour justifier leur comportement. Par la même occasion, le parti de Hassan Nasrallah cherche à justifier son ingérence de plus en plus flagrante en Syrie. Une vidéo montrant l’exécution d’un (faux) prélat chrétien devait ainsi faire l’affaire, pensent les auteurs du document.

Aucun des deux hommes exécutés n’est identifié comme étant l’un des deux évêques otages. La comparaison entre les photos des religieux et la vidéo confirme que les deux hommes décapités ont été sacrifiés pour terroriser les chrétiens, mais surtout, pour ternir l’image de la rébellion, en lui donnant la connotation islamique et en la liant à Al-Qaïda. Et ce, au moment où l’Occident s’apprête à armer les rebelles face au régime. Les propagandistes du régime, notamment en Europe, prennent le relais et dénoncent le soutien occidental à l’opposition syrienne.

D’autres sites de la propagande syrienne affirment que l’évêque exécuté est Monseigneur François Mrad, supérieur du couvent Saint Siméon le Stylite à Idleb, qui aurait été décapité pour ses liens avec le régime. Or, l’évêché d’Alep dément que l’une des deux victimes de cette vidéo soit le prélat...

Jabhat Al-Nosra, un outil du régime

Au-delà de cette fausse vidéo, les spécialistes rappellent que Jabhat Al-Nosra est une création du régime de Bachar Al-Assad, qui avait déjà manipulé les djihadistes en Irak et au Liban. Fin 2011 et début 2012, Assad avait libéré plus de 500 prisonniers islamistes qui ont formé le noyau dur de Jabhat Al-Nosra. Le diplomate européen en poste à Damas, Anis Nacrour, l’a indirectement admis à deux reprises lors de conférences sur le sujet organisées à l’IREMMO, à Paris, en juin et décembre 2012. Le diplomate s’était en effet interrogé sur l’identité des commanditaires des attentats qui ont endeuillé Damas, depuis décembre 2011, précisant que les attentats les plus violents étaient commis à chaque fois que des observateurs étrangers arrivaient en Syrie (les observateurs de la Ligue arabe, puis ceux déployés par l’ONU).

Depuis la création de ce groupuscule radical, lié aux Services syriens, experts en matière de manipulation, les spécialistes affirment que « Jabhat Al-Nosra a joué un rôle central dans le renforcement du régime sur le front d’Alep ». Les islamistes se sont en effet retirés de la région, ouvrant la voie au retour de l’armée de Bachar Al-Assad, sous prétexte de concentrer leurs efforts sur le nord-est du pays. Ils ont ainsi contrôlé les gisements de pétrole des régions d’Al-Raqqa et de Deïr Ez-Zor, au détriment d’Alep. Leurs liens avec le régime se sont récemment confirmés grâce aux révélations de cadres du ministère du Pétrole, relayées par le site « All4syria ». Selon ces sources, « le ministre du Pétrole, Sleimane Al-Abbas, a cautionné l’achat par son ministère de la production de brut supervisée par Al-Nosra. Le gouvernement syrien verse ainsi 150 millions de Livres syriennes par mois aux islamistes du Front, soit plus de 1,5 million de dollars par mois ».

Plus récemment, le site de propagande du régime, « Dampress », a révélé les coulisses de la chute d’Al-Qussayr, affirmant que « le Hezbollah a réussi à infiltrer Al-Nosra et à acheter la loyauté de certains chefs islamistes, qui lui ont fourni, moyennant plusieurs dizaines de milliers de dollars, les cartes de déploiement des rebelles à Al-Qussayr ». Ce qui a permis au parti de Dieu de prendre le contrôle de la ville. Le prétexte fallacieux d’Al-Nosra a aussi permis à Hassan Nasrallah de justifier la mort de centaines de ses miliciens auprès des familles.

En définitive, les spécialistes sont de plus en plus convaincus que Jabhat Al-Nosra, ou du moins sa composante tchétchène, n’est qu’un outil du régime. Reste à identifier les deux victimes exécutées à Alep, à sanctionner leurs assassins, et à en finir avec le régime qui a trop longtemps exploité Al-Qaïda. L’Occident ne doit plus se laisser berner par la propagande de Bachar Al-Assad.

Dario S.

Alter Info l'Information Alternative

Affaire Snowden : cybersurveillance des diplomates de l’UE

$
0
0
Affaire Snowden : cybersurveillance des diplomates de l’UE






L’agence américaine de sécurité nationale (NSA) pratique la cybersurveillance tant des citoyens européens que des diplomates de l’UE en poste à Washington et New York, - peut-on lire aujourd’hui dans la version électronique du magazine Der Spiegel qui « a pu prendre connaissance de certains documents des services de renseignement américains » qui sont en possession de l’ex-employé de la CIA et de la NSA Erward Snowden.

Le magazine note que des « puces électroniques ont été installées » dans les locaux des missions diplomatiques qui permettaient d’enregistrer les conversations des diplomates européens.

Der Spiegel relève plus spécialement que dans le document marqué « strictement confidentiel » datant de septembre 2010, est décrit par le menu tout le système de cybersurveillance des diplomates de l’UE.


Alter Info l'Information Alternative

Tirer les leçons de la maladie du président Abdelaziz Bouteflika

$
0
0
PRESIDENT ABDELAZIZ BOUTEFLIKA ALGERIE
Tirer les  leçons de la maladie du président Abdelaziz Bouteflika
Tirer les  leçons de la maladie du président Abdelaziz Bouteflika


Il  serait malhonnête de ne pas  reconnaître que la situation économique et sociale de l’Algérie, ne correspond  pas à ses potentialités  et  elles sont énormes, matérielles et surtout humaines, richesse bien plus importante que toutes les ressources en hydrocarbures.

1.-La constitution actuelle concentre tous les  pouvoirs aux mains du président de la  république, politique et  économique, un  pouvoir ultra présidentiel à la  différence des Etats Unis d’Amérique où existe un contre-pouvoir  des deux chambres, tant pour les  nominations à des postes clefs que des questions stratégiques.  Dans ce cadre, en cas  de  faiblesse  du président de la république, au lieu que ce soit les institutions  de la République qui comblent le vide,  le risque n’est –il pas  de voir son, entourage   qui n’ont pas été mandatés ( l’occulte) de  s’accaparer  du véritable pouvoir , soit à son insu ou  faute de discernement ? IL faut donc lever ce vide, en évitant cette concentration excessive du pouvoir sans contrepoids démocratiques, en limitant le nombre de mandats,  en prévoyant des prérogatives  éventuellement à un vice président et en réhabilitant les institutions de contrôle gelées et prévues par  la Constitution  sous l’autorité de la présidence ( Conseil national de l’énergie, Cour des comptes ect..) alors que les  autres instituions relèvent de l’exécutif.

2.-.Les partis  représentés en majorité au parlement  sont des appendices  du pouvoir  comme le démontre  les crises internes  au FLN( dont le président d’honneur est le président de la  République)  et au RND, (FLN/RND très mal élus d’ailleurs moins de 10% par rapport aux inscrits selon les  données du Ministère de l’intérieur , peut être moins par rapport à la réalité ) dont l’issue  de cette crise ne  dépend pas   de ses membres, mais de l’évolution  des rapports de force au niveau   des  sphères du pouvoir. Pour d’autres partis extrémistes ,   ayant été par le passé  des relais du pouvoir mais  récemment mis sous veilleuse, vivant dans  une autre planète, mais n’ayant  aucun  impacts, ils gesticulent en brandissant  l’ennemi extérieur, diabolise le secteur privé  national et international,  étant incapable de mobiliser  les  segments de la société confrontés à la dure vie quotidienne  ( inflation, chômage, logements  ect ). Il faut donc  une   restructuration tan du système partisan que de la société civile loin des intérêts de la rente, en renforçant avec la révolution numérique, le système d’information par  des espaces de liberté.

3.-Le poste de  chef  de gouvernement ayant été supprimé , le premier ministre n’est qu’un premier ministre  , un simple coordinateur,  n’a aucun pouvoir réel ,  gérant les  affaires courantes, par délégation du pouvoir du président,  les grandes décisions se prenant en conseil des ministres, n’ayant  aucun pouvoir de nomination de ministres, Walis, ou hautes fonctions , ni d’emprise sur les affaires étrangères , de la  défense , prérogatives du président  de la république. Faute de suivi et de coordination,( n’existant pas  de veilles  stratégiques à l’instar  des  présidences  des pays développés et pays émergents ) devant distinguer stratégie et tactiques  , cette dernière devant s’insérer dans le cadre d’un objectif stratégique,  nous assistons des pilotages à vue au gré de la conjoncture, à de nombreuses conférences  et réunions, avec des coûts  sans impacts. Je rappelle que les plus grands  planificateurs, à ne pas confondre avec la planification bureaucratique de l’ex camp communiste  sont les services de  sécurité   et les multinationales  ayant  un département de management car vivant dans un monde incertain et turbulent où de fausses prévisions se soldent en pertes de plusieurs milliards de dollars. Ainsi,  le fameux  pacte  de croissance, annoncé à grandes pompes, signé  il y a de cela cinq années sans résultats autant que  les  différentes  réunions gouvernement Walis, n’ont pas changé la situation économique du pays.   La réunion Walis/gouvernement les 26/27 juin 2013  s’est  inscrite  dans cette optique  de combler le vide  afin  d’éviter les tensions sociales,  l’objectif  étant   d’aller vers l’élection présidentielle d’avril 2014, sans remous sociaux , dépenser sans compter, en différant la résolution des véritables problèmes et en essayant de tranquilliser la population avec un discours optimiste( nous avons encore des hydrocarbures)  mais que contredit tant la future géostratégie énergétique mondiale ( les réserves se calculant selon  le couple prix international /coût, pouvant découvrir  des milliers de gisements non rentables face à la concurrence )  et   la crise de confiance reflet du divorce  entre l’Etat et les citoyens où l’absence de morale  en  est  l’essence. Il faut rétablir la fonction de chef de gouvernement notamment en matière de nomination et de gestion économique avec un équilibrage du pouvoir avec le présidence  de la  république dont la fonction  est avant tout d’élaborer la vision stratégique et de veiller  au bon  fonctionnement des institutions.

4.-Le pouvoir centralisateur a favorisé le pouvoir bureaucratique  dominant  qui fonctionne  en  tant que pouvoir bureaucratique, donnant l’illusion qu’il  prend des décisions pour la majorité, à l’image de Narcisse, veut faire croire  des lois résoudront   les problèmes fondamentaux du pays. Or, il s ‘agit de s’attaquer au fonctionnement de la société pour déterminer les  facteurs de blocage, les lois n’étant qu’un moyen. De ce fait en contradiction avec  la loi universelle des 20/80%,  où 20% d’actions biens ciblées ont un impact sur 80% de la société, et 80% d’actions   désordonnées que l’on  voile par le d’activisme, ont un impact sur seulement 20%, l’on a aboutit à au manque de visibilité et de cohérence dans la démarche  face aux enjeux irréversibles de la mondialisation où toute Nation qui n’avance pas recule , la maîtrise du temps  étant le principal défi des gouvernants e ce XXIème siècle, la distribution de la  rente et les réserves de change qui risquent de fondre comme un fromage au soleil,  en Algérie donnant l’illusion d’une prospérité artificielle. De ce fait, la sphère économique publique est fortement connecté au politique, la loi sur l’autonomie  des entreprises publiques n’a jamais été appliquée, limitant d’ailleurs la dépénalisation  de l’acte de gestion, n’ayant aucun sens sans cette autonomie. La gestion administrative  l’emporte  ainsi sur la logique économique.  Ainsi s’est installée  une cour stérile, aux ordres.  Avec les différents scandales de corruption touchant  des secteurs névralgiques de l’économie  nationale, la suspicion   généralisée (alors que la majorité des ares sont honnêtes)  bloque toute initiative créatrice. Il faut réhabiliter l’entreprise tant privée locale qu’internationale  que publique créatrice  de richesses en levant tous les obstacles à l’environnement.
5.-En résumé,  la maladie du président de la  république, tout en lui souhaitant un prompt rétablissement,  aura montré les limites  de l’architecture institutionnelle actuelle  avec le blocage des institutions ayant des répercussions sur l’Economique. L’idéal , surmontant les idéologies réfractaires, mais est ce un rêve,  est que le futur président, après  de élections libres et démocratiques ,  soit un femme ou un   homme de grande moralité  (l’Algérie traversant une très grave crise morale qui se répercute négativement sur l’économique)  s’entourant également  de femmes et d’hommes  compétents ayant une grande moralité  réalisant le  consensus( non pas l’unanimité)   tant au niveau  de la  société que de l’institution militaire, seule force organisée face à l’émiettement des partis ,sans impacts,   afin de préparer la transition démocratique et éviter l’Algérie un  drame,   après  ce que l’on a qualifié peut être faussement  de  printemps arabe.

Professeur  des Universités, Abderrahmane MEBTOUL expert International en management stratégique
ademmebtoul@gmail.com
 
 

Alter Info l'Information Alternative

Inde/inondations: le nombre de victimes pourrait dépasser le chiffre de 10.000

$
0
0
Inde/inondations: le nombre de victimes pourrait dépasser le chiffre de 10.000 (agence)

Le nombre de victimes des inondations et des glissements de terrain dans l'Etat indien d'Uttarakhand (nord) pourrait dépasser le chiffre  de 10.000 personnes, annoncent les autorités locales citées par l'agence Chine nouvelle. Auparavant, il a été annoncé que le nombre de victimes pouvait être supérieur à 6.500 personnes, dont près de 3.000 étaient portées disparues.
Selon l'agence, près de 4.000 personnes restent bloquées dans les régions montagneuses en raison de la destruction de routes et de ponts.
Les pluies torrentielles qui se sont abattues sur la région du 14 au 17 juin ont provoqué des crues, des glissements de terrains et des inondations. A l'heure actuelle, 822 corps de victimes du sinistre ont été retrouvés.
Vendredi, les sauveteurs ont mis fin à l'opération en vue d'évacuer les pèlerins se trouvant dans la région du temple hindou de Kedarnath, sérieusement touchée par la catastrophe. L'opération de sauvetage a nécessité la participation de 55 hélicoptères qui ont effectué plus de 1.800 vols permettant d'évacuer 90.000 personnes. Mardi, un des hélicoptères des forces aériennes indiennes impliquées dans l'opération s'est écrasé en raison des conditions météo, faisant 20 morts

Alter Info l'Information Alternative

Snowden défend l’indépendance de l’Equateur

$
0
0
Snowden défend l’indépendance de l’Equateur
L’Équateur refuse de négocier avec les États-Unis le sort d’Edward Snowden. Le révélateur des secrets des services de renseignement américains peut dormir tranquille parce que son cas est actuellement examiné par Moscou et Quito, - a déclaré le ministre équatorien des AE Ricardo Patiño.

Et bien que la décision de lui octroyer le droit d’asile ne soit pas encore prise, l’ex-employé de la CIA devient progressivement le défenseur de la souveraineté équatorienne.

Le gouvernement équatorien a assuré tous les potentiels demandeurs d’asile que les droits de l’homme ne pouvaient pas faire l’objet de marchandages ou de pressions politiques. Cette déclaration a été faite par l’ambassade de l’Équateur à Washington pour que le message soit sûrement entendu aux États-Unis. Ayant auparavant renoncé aux préférences dans le commerce avec les États-Unis, Quito a fait comprendre que le thème de Snowden était clos.

Les exonérations douanières pour les produits équatoriens doivent s’interpréter comme la reconnaissance des États-Unis pour la contribution de l’ Équateur à la répression du trafic de drogues et parce que le pays a remplacé la culture de coca par celle de bananes, de broccoli et de fleurs. Ce régime était maintenu depuis les années 1990 mais progressivement ce que les États-Unis appellent la lutte contre le trafic de drogues a pris pour l’Équateur la dimension de lutte pour l’indépendance, - a raconté dans l’interview à notre radio le directeur du Comité pour la sécurité alimentaire et le développement agricole Miguel Carvajal.

« Les États-Unis instrumentalisaient les préférences tarifaires comme moyen de chantage et de pression politique. L’Équateur est un pays souverain et non pas une colonie. Il n’est pas l’arrière-cour de qui que ce soit, pas plus que le reste d’Amérique Latine. Les préférences douanières permettent à certains produits d’être plus compétitifs et s’exporter vers les États-Unis exonérés de droits de douane. Nous pensons que grâce à leur qualité, les produits équatoriens n’ont nullement besoin de ces préférences mais c’est en grande partie pour cela que nous sommes présents sur le marché nord-américain ».

Néanmoins, ce sont les États-Unis qui drainent près de la moitié des exportations équatoriennes. Quito est actuellement en négociations avec l’UE concernant les préférences commerciales et il y a encore la Chine qui occupe depuis longtemps le premier rang dans les échanges commerciaux avec les pays d’Amérique Latine.

Quito estime que ce qui compte le plus dans « l’affaire Snowden » ce n’est pas la décision qui sera prise par l’Équateur mais les arguments qu’ « avanceront les États-Unis pour justifier la cybersurveillance globale ».

Les États-Unis qui ont l’habitude de mener les négociations en utilisant tous les leviers de pression semblent avoir pour une fois surestimé leurs possibilités. Le fait qu’un petit pays latino-américain refuse ouvertement d’obtempérer à leurs injonctions montre clairement que leur influence dans le monde contemporain a ses limites. Certains analystes pensent même que le scandale de la cybersurveillance avec Edward Snowden en vedette et la position adoptée par Quito, peuvent s’interpréter comme les premiers signes du déclin de la puissance américaine. Pourtant, la Maison Blanche n’a pas encore pris toute la mesure de ce qui se passe dans le monde .


Alter Info l'Information Alternative

Une nouvelle manifestation aura lieu au Brésil

$
0
0
бразилия футбол презентация россия чм-2018 стадион Маракана
Les représentants du Comité populaire de la Coupe des Confédérations et des Jeux Olympiques ont notifié le siège social de la police à Rio de Janeiro, qu'ils vont organiser un rassemblement avant la finale de la Coupe des Confédérations au stade Marakana.

Selon le porte-parole du comité, Marcelo Edmundo, la manifestation sera pacifique, si les manifestants ne font pas face à l'agression de la part de la police.

Parmi les exigences des manifestants sont l'annulation de la privatisation du stade, en investissant le revenu d'événements sportifs dans l'éducation et la santé publique du pays, ainsi que l'arrêt d'« élitisation» du football et d'autres.


Alter Info l'Information Alternative

Fukushima : de l'eau hautement radioactive dans un puits près de l'océan

$
0
0
11.05.2011 фукусима вода фукусима радиация

 

L'opérateur de la centrale accidentée de Fukushima a annoncé samedi avoir découvert des niveaux d'éléments radioactifs encore plus élevés que précédemment dans l'eau souterraine accumulée au pied des réacteurs, dans un nouveau puits creusé plus près de l'océan, et se dit incapable de juger si ladite eau s'écoule ou non en mer, indique l'AFP.
 

L'exploitant, Tokyo Electric Power (Tepco), a mesuré un niveau de 3.000 becquerels par litre pour les éléments radioactifs produisant des rayons béta, comme le strontium 90, dans le liquide extrait vendredi dernier d'un nouveau point de prélèvement situé entre les réacteurs et la mer.

Ce niveau est plusieurs dizaines de fois supérieur à la dose limite admise pour de l'eau de mer.


http://french.ruvr.ru/news/2013_06_30/Fukushima-de-leau-hautement-radioactive-dans-un-puits-pres-de-locean-3400/

Alter Info l'Information Alternative

Les USA ont accès aux données privées de 70% des citoyens de l'UE

$
0
0
мобильный телефон рука звонок мобильник сотовая связь

 

Les services spéciaux au moins de 7 pays de l'Union européenne transmettent des informations sur les appels téléphoniques et l'activité Internet de ses citoyens vers la National Security Agency (NSA) américaine, a déclaré le site Privacy Surgeon, qui a publié une interview avec l'ancien collaborateur de la NSA, Wayne Madsen, samedi dernier.

Selon Madsen, l'Allemagne, la France, l'Italie, l'Espagne, les Pays-Bas et le Danemark ont conclu un accord avec les États-Unis, qui oblige les services spéciaux de ces pays à transmettre des informations sur ses citoyens sur la demande de la NSA. Auparavant, on a appris l'information sur la coopération de l'intelligence de Grande-Bretagne avec la NSA. Ces sept pays représentent près de 70% de la population de l'UE.

http://french.ruvr.ru/news/2013_06_30/Les-USA-ont-acces-aux-donnees-privees-de-70-des-citoyens-de-lUE-0526/


Alter Info l'Information Alternative

Un officier égyptien abattu dans le Sinaï

$
0
0
синайский полуостров египет блокпост

 

Des hommes armés ont abattu samedi un officier de haut rang de la police dans le nord du Sinaï égyptien, a indiqué une source au sein des services de sécurité, rapporte l'AFP.

« Le colonel Mohamed Hani, officier de haut rang, a été tué de six balles dans la tête tirées par des inconnus dans une rue d'El-Arich », a déclaré cette source.

« Ces hommes lui ont coupé la route avec leur voiture, depuis laquelle ils ont tiré à la mitraillette ».

Une autre source au sein des services de sécurité a accusé « des éléments jihadistes d'être derrière cette attaque, la deuxième visant la police depuis le début du mois ».

Il y a trois semaines, des hommes armés non identifiés avaient abattu par balle un officier de la police, Mohammed Abou Chaqra, qui travaillait au sein de département de lutte contre le terrorisme à El-Arich.

La sécurité dans le Sinaï s'est fortement dégradée depuis le soulèvement qui a chassé du pouvoir le président Hosni Moubarak en février 2011, avec une multiplication d'enlèvements, notamment d'étrangers, et d'attaques visant régulièrement les forces de l'ordre.

La population bédouine est de longue date rétive face au pouvoir central qu'elle accuse de négliger la péninsule. Le Sinaï a également vu une recrudescence d'activités de la part des groupes islamistes radicaux hostiles à Israël.
En août 2012, des hommes armés soupçonnés d'être des jihadistes avaient attaqué un poste-frontière entre l'Egypte et Israël, tuant 16 gardes-frontières égyptiens avant de pénétrer avec un véhicule blindé sur le territoire israélien où ils avaient été neutralisés

http://french.ruvr.ru/news/2013_06_30/Un-officier-egyptien-abattu-dans-le-Sinai-4651/


Alter Info l'Information Alternative

La « solution » pour un transfert de Snowden entre les mains de la Russie (Correa)

$
0
0
Рафаэль Корреа Президент Эквадора

 

Le président d'Equateur, Rafael Correa, a affirmé samedi que la « solution » pour un transfert du fugitif américain Edward Snowden, bloqué à Moscou après avoir demandé l'asile politique à Quito, était « entre les mains des autorités russes », rapporte l'AFP.

« Pour instruire cette demande d'asile, il doit se trouver en territoire équatorien. Pour l'instant, la solution, la destination de Snowden, est entre les mains des autorités russes », a déclaré M. Correa, lors d'un entretien accordé à la télévision équatorienne Oromar.

http://french.ruvr.ru/news/2013_06_30/La-solution-pour-un-transfert-de-Snowden-entre-les-mains-de-la-Russie-Correa-8422/


Alter Info l'Information Alternative

"RÉVOLUTION" PARTOUT... MAIS SURTOUT PAS EN ISRAËL

$
0
0
On aura sans doute remarqué que les désordres au Moyen-Orient affectent surtout des pays musulmans où l'influence occidentale est grande dans les cercles dirigeants. Mais en principe, aucun pays arabe n'est à l'abri.... On peut se demander pourquoi Israël lui-même est épargné. C'est parce qu'il s'agit de la "seule démocratie de la région", expliquent les sionistes - très drôle...

Pourtant, beaucoup d'habitants de l'Etat voyou - juifs et non-juifs - auraient de bonnes raisons de se plaindre et de se révolter . S'ils n'en font rien, c'est que la démocrasserie les en empêche. Israël est bel et bien un Etat policier. Il laisse les manifestants (juifs) inoffensifs et encadrés agiter leurs pancartes dans les rues quand ils en font bien poliment la demande - c'est la soupape de sécurité qui n'existe pas dans les pays arabes. Mais les manifestations politiques sérieuses - déclarées dangereuses pour "l'existence d'Israël" - sont interdites et sévèrement réprimées, surtout quand elles ont lieu dans les territoires occupés ou à proximité du mur de l'apartheid.

Pourquoi n'y a-t-il jamais eu de putsch militaire aux Etats-Unis ? demande une célèbre blague sud-américaine. Réponse : parce qu'il n'y a pas d'ambassade US dans ce pays... C'est exactement la même chose en Israël. C'est le seul pays au monde sans lobby juif ni cinquième colonne israélienne. La subversion, c'est pour les autres...

Il serait peut-être temps d'employer chez eux les méthodes qu'ils utilisent partout ailleurs. Mais la chose est extrêmement difficile, voire impossible - à cause, justement, du caractère policier de leur soi-disant démocratie. Pour que ce soit efficace, il faudrait d'abord que les pays non-juifs - de préférence les pays arabes, mais pas seulement - noyautent les institutions israéliennes, les entreprises, les banques, les médias, les écoles, les universités, etc... Qu'ils mettent en place des réseaux "sociaux" chargés de recueillir des informations sensibles sur tous les citoyens israéliens. Qu'ils aient carte blanche pour agir à l'intérieur d'Israël (au nom de la liberté). Que leurs entreprises assurent la sécurité dans les aéroports, les centrales nucléaires et les bases militaires israéliennes. Que l'ensemble des télécommunications d'Israël soit placé sur écoute depuis l'étranger. Que l'ONU exige de l'Etat israélien qu'il célèbre chaque année la Journée de la Nakba, et que chaque synagogue soit tenue de demander pardon pour tous les crimes israéliens commis depuis 1948, etc... etc... complétez vous-mêmes...

Alors, et alors seulement, la dictature sioniste tomberait comme un fruit mûr - ce n'est pas demain la veille... D'ailleurs, pour pouvoir passer à la réalisation de ce plan utopique, il faudrait que les Etats non-juifs (occidentaux, arabes et autres) se débarrassent d'abord des chaînes sionistes qui les entravent. Comment sortir de ce cercle vicieux ?...



Alter Info l'Information Alternative

Le refroidissement du climat dans l'hémisphère Nord débutera en 2015

$
0
0
Le refroidissement du climat dans l'hémisphère Nord débutera en 2015





En 2015, le climat dans l'hémisphère Nord va progressivement tourner vers le refroidissement. Ces conclusions ont été faites par Mototaka Nakamura, le spécialiste de l'Agence nationale japonaise pour la recherche marine.

Au cours de l'étude, le scientifique japonais a analysé les changements de température de l'eau à la surface de la mer du Groenland depuis 1957 jusqu'à nos jours, et comparé ces informations avec le changement climatique pour la même période.

En conséquence, il a appris que l'actuel cycle de réchauffement climatique sur la planète se terminera d'ici au milieu des années 2010, et sera remplacé par une nouvelle tendance pour le refroidissement.


Alter Info l'Information Alternative

L'ancien président tchadien Hissène Habré arrêté à Dakar

$
0
0
L'ancien président tchadien Hissène Habré arrêté à Dakar






L' ancien président tchadien Hissène Habré a été arrêté dimanche dans la matinée à sa résidence dans un quartier de Dakar par des éléments de la gendarmerie sénégalaise, ont annoncé une de ses femmes et un de ses avocats, sur les ondes de la radio privée sénégalaise RFM.

"Hissène Habré a été enlevé et conduit dans un endroit inconnu. C' est de l' acharnement", a confirmé son conseiller Me El Hadj Diouf.

Aucune indication n' a été fournie de source officielle sur les motifs de l' arrestation de Hissène Habré, en exil à Dakar depuis la chute de son régime en 1990, après huit ans au pouvoir.

L' ancien chef de l' Etat tchadien qui est accusé de crimes contre l' humanité, crimes de guerre et torture, doit être jugé au Sénégal à la demande de l' Union africaine.

Pour ce faire, les autorités sénégalaises ont créé, au début de l' année, des chambres africaines extraordinaires pour permettre le jugement de l' ancien président tchadien.

Le mandat des chambres sera de poursuivre la ou les personnes responsables des crimes commis au Tchad entre 1982 et 1990. Les chambres auront différentes sections chargées de gérer les enquêtes, les procès et les recours en appel et seront composées de juges sénégalais et africains.


Alter Info l'Information Alternative
Viewing all 70521 articles
Browse latest View live